Ingénierie sociale : vous prendrez bien un peu d’euro numérique ?

À ceux qui se demanderaient par quelles méthodes d’ingénierie sociale, la BCE compte nous vendre l’euro numérique, l’observation des manœuvres récentes des autorités chinoises offre probablement des éléments de réponse.

Certains naïfs se demandent peut-être encore ce que le passage à « l’euro numérique » (comme crypto-monnaie de banque centrale : CBDC) peut bien ajouter à l’arsenal des possibilités d’ores et déjà créées par la numérisation très avancée (déjà presque complète, par exemple, en Scandinavie) des paiements en Europe ?

Réponse simple : la possibilité de nous fliquer et de nous rationner en temps réel – naturellement pour « le bien de la planète », la lutte « contre les discours de haine » etc.. La « numérisation » dont il est question n’est donc qu’un nom de code de la soviétisation socio-économique planifiée par Davos sous un camouflage de science-fiction technolâtre.

Du coup, on peut effectivement se demander comment l’élite de l’Union européenne de Davos compte – par exemple en Allemagne, ou les gens tiennent beaucoup à l’argent liquide – faire passer cette très grosse pilule. Et, comme la Chine communiste, « amie de tous les peuples » est l’exemple à suivre pour le philanthrope Klaus Schwab, on aura tout intérêt à jeter un coup d’œil sur les méthodes de lancement du renminbi « numérique » (CBDC).

Pour toute adoption de l’euro numérique, un plat de lentilles à l’œil !

C’est en effet sous forme de virements municipaux à la population (comme aux heures les plus fastes de l’arnaque covidiste sous… Trump) que le gouvernement éclairé du camarade Xi s’est efforcé, pendant les festivités du nouvel An chinois, de booster l’adoption de ces nouvelles menottes par une population qu’il venait de libérer des chaînes de la très inutile et liberticide politique du Zéro Covid.

Les Chinois étant notoirement portés sur la bouffe, le virement a souvent pris la forme de « coupons » à dépenser dans le secteur de la restauration livrée à domicile. Les Euromondialistes tenteront-ils de personnaliser ce modèle, conformément aux préférences de leur propre public-cible ? Si tel était le cas, on gagnera à se souvenir de l’initiative « une injection : une pipe » par laquelle certaines maisons de tolérance suisses avaient choisi de contribuer à la lutte contre les pandémies imaginaires.