Macron-Leyen-Scholz-Michel, ou la dérive totalitaire européiste
Ils sont quatre, on ne voit, on n’entend qu’eux depuis la crise entre l’OTAN et la Russie, qu’ils ont envenimée à dessein. Ce sont les quatre cavaliers de l’européisme, les Allemands Scholz & Leyen, le Français Macron et le Belge Michel.
Image symbolique à #Berlin: Emmanuel #Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz ensemble à la porte de #Brandebourg illuminée aux couleurs du drapeau ukrainien pic.twitter.com/Myu1Hrb9Ru
— Guillaume Daret (@GuillaumeDaret) May 9, 2022
À marche forcée vers la guerre, le vaccin et la surveillance
À eux quatre, ils tiennent le pouvoir politique dans l’UE (on met Lagarde de côté, qui tient la banque), au-delà des mécanismes classiques dits démocratiques : le Parlement, le Conseil et la Commission. Certes, il y a des décisions, des rouages, des votes, mais au fond, ce sont ces quatre cavaliers qui tiennent le manche. Et ils sont fous, dans le sens où ils nous entraînent, sciemment, vers le gouffre.
Car ces quatre cavaliers de l’européisme sont, sans jeu de mots, des cavaliers de l’apocalypse :
apocalypse économique, via l’inflation, l’immigration et la paupérisation,
apocalypse sanitaire, puisqu’ils poussent à la vaccination forcée, inutile, coûteuse et dangereuse de 450 millions de citoyens européens,
apocalypse liberticide, puisqu’ils préparent le passeport numérique, véritable fichage mobile des citoyens,
et enfin apocalypse tout court, puisqu’ils font tout pour pousser la Russie à bout et faire de l’Europe un champ de ruines.
On se demande, si un tel conflit survient, comment ces fauteurs de guerre, ces BHL de l’axe Paris-Bruxelles-Berlin, vont pouvoir s’en sortir. Les peuples embrigadés, maltraités, floués, n’oublieront pas 2022.
Concrètement, la prise de pouvoir de la bande des 4 passe par une réécriture des traités et des constitutions nationales, qu’on croyait intouchables. Mais quand il s’agit de l’européisme, tout est possible.
Le PR a annoncé soutenir ces mesures qui visent donc à confier la souveraineté de la France à l’Europe alors que les citoyens appellent à plus d’indépendance. Quid dans ce cas du parlement Français ? L’Europe fédérale contre la volonté des peuples, c’est une Europe de la guerre. https://t.co/5SjCIzskHe
— Alain Houpert (@alainhoupert) May 9, 2022
Fier de s’être fait avoir à acheter un vaccin 2 doses qui en demande 4 pour ne pas éviter la propagation d’un virus dont on ne connaît toujours pas l’origine.
— Alexis Poulin (@Poulin2012) May 9, 2022
Fier du pass, débilité antidémocratique au possible.
Ces gens sont fous. Ou corrompus.
pic.twitter.com/VpyC8CGGkf
Mais, comme le souligne Le Figaro, les 27 ne sont pas tous d’accord sur cette OPA.
« Nous ne sommes pas en faveur de tentatives inconsidérées et prématurées visant à lancer » une telle procédure, écrivent ces pays dans cette note, qui pourrait rallier d’autres États membres. Sa diffusion coïncide avec les célébrations de la Journée de l’Europe. Elles seront marquées par un discours devant le Parlement européen à Strasbourg du président français Emmanuel Macron qui devrait prôner une Europe plus puissante prête à se réformer, alors que la guerre russe en Ukraine a révélé les dépendances des Vingt-Sept en matière d’énergie.
Mme @vonderleyen de plus en plus contestée dans son projet fou d'un embargo sur le #pétrole russe : après la Hongrie et la Slovaquie, la République tchèque, la Bulgarie, la Grèce, Chypre et Malte résistent ! Tant mieux, cette aberration doit être abandonnée.
— N. Dupont-Aignan (@dupontaignan) May 9, 2022
Dans la séquence qui suit, le grotesque le dispute au dangereux. On découvre ce que la bande des 4 veut faire de la jeunesse : des ambianceurs de travées, de la chair à viol et éventuellement à canons.
Après le Mont Gothard, une danse "mystico-hypnotico-érotico-soumissive" au parlement Européen, préfiguration de ce que cette élite décadente souhaite faire de la jeunesse... pic.twitter.com/gz9NQUJ2TK
— Armel Joubert des Ouches (@des_ouches) May 9, 2022
Ce coup d’État dans l’État européen, cette OPA supranationale par les pires des européistes, n’a trouvé que « l’efficacité » comme argument pour avancer ses pions, et détruire ce qui restait de démocratie dans l’Union.
Emmanuel Macron s’est déclaré aujourd’hui pour la fin du vote à l’unanimité au sein de l’Union européenne, c’est-à-dire pour la fin de la souveraineté des États membres, qui ne pourront plus individuellement s’opposer à une politique qu’ils jugeraient contraire à leurs intérêts.
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) May 9, 2022
D’élection truquée en détournement des traités, les leaders euromondialistes sont parvenus à imposer leur projet. Mais il leur reste maintenant le plus dur : piquer les Européens de force, alors que les statistiques des vaccinations successives s’effondrent (voir l’échec de la 4e dose), que la confiance dans le politique national et le politique européen s’est aussi effondrée, que le gouffre n’a jamais été aussi grand entre les élites et les peuples, un gouffre que la coercition, la propagande et les forces de l’ordre ne pourront pas combler.
Il y aura peut-être la guerre avec la Russie, mais cette UE macabre n’échappera pas à une guerre intérieure, et pas une guerre civile, non, une guerre du bas contre le haut, puisque le haut vient de déclarer la guerre au bas, comme il l’a fait avec la Russie, contre l’avis des peuples.
Si nous voulons comprendre le présent, il faut se replonger dans les années 30.
— Anice Lajnef (@AniceLajnef) May 10, 2022
Nous vivons la fin d'un cycle usuraire. Jadis, un jubilé était imposé pour éviter le pire. Depuis 3 siècles, il faut tout détruire pour partir dans un nouveau cycle.
Pourtant, une autre voie existe.
- Source : E&R