«Africa-Intelligence» du misérable Maurice Botbol de la DGSE

En plus des crapules, des pourris, des malfrats, des truands, des drogués, des voyous, des corrompus, des débauchés, des brigands, des assassins, et on en passe et des meilleurs, de ces résidus « indigènes » du colonialisme (qui se reconnaîtront avec ou sans la « fourchette » de Jacques Bénet), qui ont été injectés dans la société algérienne par l’ancienne puissance coloniale (qui rêve toujours de voir le peuple algérien à genoux), il n’a échappé à personne que le système, le vrai, celui qui ne veut pas mourir, produit aussi les pires outrancières créatures, qui battent des records infâmes de monstruosité calibrée dans les canaux d’égouts de la désinformation, faisant échapper librement leurs odeurs pestiférées d’expression satanique, au moyen des mécanismes de propagande neurobiochimique, appelées « démocratiques » !
Nous pouvons donc affirmer, sans nous « Trumper », que les antidotes politiques (pour ceux qui continuent de rêver et de refuser d’entendre qu’en face « ils sont en guerre » contre les peuples, bien qu’éructé à six reprises par le putschiste « tête à claques » de l’Élysée, le lundi 16 mars à 20 heures, n’ont aucun effet. Ce n’est pas « la chamaillerie » avec Brigitte « Trop gnon », où Jupiter s’est ramassé une fessée faciale devant le monde entier (attribuée au vi-Russe Poutemkine) qui est préoccupante, mais le Conseil d’attaque des Musulmans, appelé à l’envers « Conseil de défense et de Sécurité nationale », qu’il a présidé le mercredi 21 mai 2025, juste après avoir déroulé le tapis, rouge de sang, des enfant palestiniens, à Abou Mohammed al-Joulani, le N° 3 d’Al Qaïda, qui a été aussi le patron du Front Al-Nosra (qui fait du bon boulot, selon le responsable, mais pas coupable du sang contaminé injecté au peuple d’en bas en France).
Avant d’être décoré de la légion « d’horreur », Abou Mohammed al-Joulani est maintenant rangé par Mohamed Sifaoui (le chasseur des fonds publics « Marianne » Schiappa) dans la catégorie des coupeurs de têtes modérés, puisque Bruno Rocailleux, le sinistre-fasciste, ne l’a pas vu arriver, et ne l’a même pas vu repartir! Chez le sinistre raciste Rocailleux, Al Joulani a obtenu un visa multi-entrées en France, pour pouvoir organiser à distance les prochains attentats d’Al Qaïda, en parfaite symbiose avec ce système, qui prétend lutter contre le terrorisme depuis plus de 20 ans!
Les nombreux et puissants services de renseignements français (DGSI, DGSE, Préfecture de Police de Paris, …etc), qui traquent les musulmans, les étudiants, les femmes et les enfants, les syndicalistes, les journalistes et les militants, ne l’ont pas vu non plus passer par la grande porte du système colonial, devenu aujourd’hui une colonie israélienne, au service du régime des généraux génocidaires de Tel-Aviv.
Même Maurice Botbol, l’expert autoproclamé de Ben Laden, devenu spécialiste reconnu (on ne sait d’où, ni de quoi!) n’a rien vu passer. Les services de renseignement français ne sont plus ce qu’ils étaient, puisqu’ils rendent même publiques leurs correspondances de service dans « Africa-Intelligence », l’un de leurs organes préférés, rédigées (en chef) par Paul Deutschmann, et dont le vrai patron n’est autre que Maurice Botbol, un juif marocain né à Séfrou le 28 mars 1951, là où il y existait déjà un certain Maurice Botbol, Inspecteur des Institutions israélites au « Maroc terre d’avenir ». C’est pour dire que ce plan ne date pas d’aujourd’hui.
Maurice Botbol, informateur des services secrets, fondateur et président d’Indigo Publications, la société éditrice d’IOL (Intelligence Online), née en 1980 sous le titre « Le Monde du renseignement» (LMR pour les initiés) en français, et « Intelligence Newsletter » en anglais, est un peu le Bob Denard médiatique du système, puisqu’il était déjà spécialisé sur la « France à fric ». En 1989, Il l’a repris à Olivier Schmidt, son fondateur, pour en faire un « organe professionnel de manipulation des services du système », en ratissant aussi les bruits de couloir des anciens espions, et des salariés licenciés des agences de renseignement.
Il ne s’en cache même pas, puisqu’il le précise lui même, dans l’interview qu’il a accordée à Nicolas Moinet de la revue « Hermès » en 2016 (N° 76) : il roule non seulement pour les décideurs, mais aussi pour les services secrets (DGSE), les professionnels du monde militaire, et de l’industrie de la mort! Celui qui a été formé à « l’école des reptiles » (Centre universitaire d’enseignement du journalisme -CUEJ- où l’on apprend la manipulation des masses) de Strasbourg, et qui a affûté sa plume dans plusieurs torchons médiatiques coloniaux («Dernières Nouvelles d’Alsace», «L’Est Républicain», «Le Quotidien de La Réunion», « Le Monde »), précise explicitement qu’il s’adresse aux très expérimentés agents quadragénaires de la DGSE, pour faire moins d’erreurs et être plus pertinent lorsqu’il écrit ses proses pour ses clients (comme les E- mi-rats, mi-humains, mi vampires, bourrés de dollars Akbar) qui ont une véritable « exigence du service ». Il vend du vent de 1 à 7 € l’unité, dans son épicerie journalistique aux 970 gogos (selon Jeannot Ramambazafy, dans« La Gazette de la Grande île » du samedi 30 janvier 2021)qui veulent accéder aux sensationnelles nouvelles du front de guerre du capital, même sans l’empire Bolloré…
Ce général mercantiliste, de l’élite médiatique française va même jusqu’à commenter avec beaucoup de précision ses propres productions : « le modèle de la lettre confidentielle remonte au XIXème siècle. Entachée d’une bien mauvaise réputation, c’était un organe d’influence politique, avec son côté rumeurs, intoxication, propagande, etc. » Y-a t-il quelque chose à rajouter à l’Ubérisation totale de la politique française, qui a pris de l’avance avec la « botbolisation » médiatique ?
Maurice « Botte » lèche, semble t-il, le Kamis des « E mi-rats, mi-vampires », puisque son encre sanguine projetée sur son papier toilette d’intelligence rectale, vise à répondre à une publication du miraculé Jacques-Marie Bourget (intitulée « A Benghazi, les députés qui critiquent Haftar sont enlevés »), dans le journal anticolonial « Afrique-Asie » en date du 5 mai 2025, sur les méthodes du maréchal-marionnette: Haftar, le chef de la milice fasciste de l’Est de la Libye, installé par les forces impérialistes (la France en premier lieu, avant les mi-rats arabes, mi-vampires), alliées des monarchies féodales arabes, qui fait disparaître les voix discordantes, et pratique une politique de nettoyage politique dictée par le régime des généraux génocidaires de Tel-Aviv, en emprisonnant, en faisant disparaître et en torturant les opposants à la famille criminelle de l’autoproclamé maréchal Haftar.
A cet effet, et dans le même sillage que la « presse » à excréments « merdiatiques » de son régime colonial, « Africa trop Intelligence militaire pour rester honnête», décrit un pseudo-complot algérien d’infiltration en France, organisé autour d’un « écosystème de plumes » dans le journal anticolonial « Afrique-Asie », dirigé par Majed Nehmé, l’intellectuel Franco-syrien qui lutte contre le chef terroriste Al Joulani, l’invité d’horreur de ce régime de têtes à claques.
En gros, il explique ce ne sont pas leurs frères du « CRIF » qui orchestrent les complots dans cette colonie israélienne, mais plutôt Jacques-Marie Bourget, le miraculé et rescapé des balles meurtrières de l’armée du régime des généraux génocidaires de Tel-Aviv, et l’anti-colonialiste Majed Nehmé, celui qui dénonce les coupeurs de têtes installés à Damas. Sournoisement, il a tenté d’installer Majed Nehmé, dans le giron du fasciste E. Zemmour, par l’intermédiaire d’un imprimeur (logé à la même adresse que Print France Offset–PFO-, l’imprimeur d’E. Zemmour), comme s’il affichait ses idées politiques sur ses cartes de visites, et sur la devanture de son magasin! C’est ce qu’on leur apprend dans les écoles de journalisme en France.
A cette maigre liste de deux « complotistes » préétablie par les services (de qui vous savez), il ajoute Brahim Madaci, qui serait en lien (aller chercher la preuve chez Momo!) avec le Collectif Unitaire Franco-algérien, dirigé par Abdelkader Dahmani (l’un des plus anciens militants et syndicalistes parisiens, attaqué violemment sur la Place de la République par les agents « indigènes » de la troupe de Sanhadja Akrouf) et Boualem Snaoui (celui qui a été raflé à son domicile par la police du régime, en raison de la solidarité qu’il a exprimée avec le peuple palestinien). Africa-Intelligence est très fort, on s’interroge juste sur les raisons qui ont fait que Maurice Botbol n’a pas habillé en « terroriste » ses cinq comploteurs !
Pour marquer de leur empreinte habituelle les services du régime de « la tête à claques » du château de l’Elysée, hanté par un mouchoir de cocaïne, relayé par leur proche ami Maurice Botbol, ils alignent bêêê-llement Boualem « Sent Sale » (le compagnon du cercle des algérianistes de l’OAS, et expert officiel du site des faschos « Frontières », qui affiche sur ses vidéos un losange stylé, rappelant la « rune d’Odal », emblème de deux divisions de Waffen SS, ) et Kamel David (l’ancien « islamiste », escroc littéraire et contrebandier de l’Histoire de Rachid Boudjedra, qui n’est plus à présenter).
Cela prouve que Momo a beaucoup de mauvais goûts au risque de la vérité, qui vont peut-être lui dessiner un vilain rictus sur sa silhouette faciale, dont il ne fait pas profiter son public, sélectionné au moyen de l’argent qui a une mauvaise odeur.
Le canard électronique « Africa-Intelligence » de Maurice Botbol, l’un des gourous de la presse « merdiatique » de la France coloniale, dont le rédacteur cache-chef est Paul Deutschmann, fait partie de la belle toile du système de désinformation générale (Commission paritaire des publications et des agences de presse) de la colonie israélienne. Il est publié par la société « Indigo Publications » de ce gourou, secondé par son fils Quentin Botbol, directeur-Général, qui vend aussi l’information « Lettre A » à 1200 €/an, et son billet « Glitz » à 600 € pour la Jet set. C’est « Challenge », le journal des riches, qui avait consacré un joli papier le 13 février 2023 au bambin Botbol; « Challenge » avait même prédit avec précision un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros en 2024, à sa boîte à outils « Indigo Publications ». Il atteint 10,2 millions d’euros: bravo les experts!
Ce laboratoire de la désinformation avait atteint le chiffre d’affaire de 8 803 350€ en 2023, avec juste un capital de 42 803,20 €. En 2024, il a palpé 10,2 millions d’euros (annonçant 9,711 millions d’euros de chiffre d’affaires), tout en percevant une subvention de 348 000 € du régime colonial français (Ministère de l’inculture de Rachida Dati). Il est très fort dans les tours de passe-passe, leur Maurice Botbol, puisqu’il fait racheter sa boîte « Revue 21 », mise en redressement judiciaire, par sa propre entreprise « Indigo Publications », au moment même où ce SDF se paye1500 m2 (le prix moyen du mètre-carré est de 9416 € : faites les calculs) de bureaux dans le 11ème arrondissement de Paris (10 rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris).
On espère que ses clients monstrueux, dont 53 % seraient à l’étranger, sont informés du changement d’adresse décidé par le boss (qui s’est réuni avec lui-même), transférant ses activités de maraboutisme domiciliées dans le très étroit siège du 142 rue Montmartre-Paris 75 002 (Procès Verbal « Indigo Publications » du 3 juillet 2024)!
Cherchez les erreurs qui échappent naturellement au Trésor Public, puisqu’il n y a rien voir dans ces « contes » financiers à dormir debout! Et ce n’est qu’un petit filon de la grande machine de la toile familiale de Maurice Botbol, lequel est en réalité assis confortablement sur un tissage entrepreneurial financier à l’image du grand banditisme (26 ministres ou proches collaboratrices ou collaborateurs de la tête à claques de l’Elysée sont impliqués dans des affaires politico-financières depuis 2017) de cette élite politico-médiatique qui règne sur la France, pour servir les intérêts du régime des généraux génocidaires de Tel-Aviv :
* Si Maurice Botbol domine seul la société « Smartnews Factory », il partage le pouvoir avec sa progéniture, Quentin Botbol, sur les entreprises « Indigo Publications », « Indigo Editions », « Chez Sarrey », « News Lab » ! (Avec un capital de 1 619 200€ en 2024, et un chiffre d’affaire de 0 €, elle obtient des résultats net allant de 150 000€, en 2018, à 58 040€, en 2023!), et « La Hall Magenta », elle même filiale d’« Indigo Publications ».
* l’entreprise « Chez Sarrey », au capital officiel de 122 000€ (et 0 salarié) est aussi dirigée par Nicolas Botbol et Michele Botbol (voilée pour l’administration fiscale en Michele François, présumé né en juillet 1951 ?) qui a un bon pied dans l’énorme groupement forestier « Avenir Forêt ».
* Autour de sa société SCI « Maubeuge-Rochechouart », Maurice Botbol s’est entouré de David Botbol (gestionnaire), Raphaël Botbol, Rebecca Bobtol et d’Irène Botbol (appelée Irène Goldmann, née en 1964, de nationalité israélienne, qui ressemble à une Sayanim des bourreaux de l’humanité). « Maubeuge-Rochechouart » (avec un petit capital de 1200 €, domiciliée au 59 rue de Maubeuge 75009 Paris) est introduite dans les puissants groupements : « Avenir Forêt », « GFV GAIDA CAMI DE LATOUR » et « Château De La Bonnelière ».
Maurice Botbol, le prototype représentant du système du FMI (France-Maroc-Israël), ne pourra pas produire le compte-rendu de la DGSE, dans son canard « Africa-Intelligence », détaillant l’exfiltration du terroriste (Julien Soufir ?) en avril 2002, qui avait poignardé Alexis Marsan, patron de section à la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) à Paris. Julien Soufir, le protégé du régime du « Crif » a été exfiltré de la colonie israélienne, pour qu’il aille égorger un chauffeur de taxi palestinien le 14 mai 2007 ? Qui a exfiltré Julien Soufir ? Qui ?
Maurice Botbol ne pourra pas publier le compte-rendu de la DGSE, dans son canard électronique « Africa-Intelligence », relatant l’exfiltration de Gregory Chelli, alias « Ulcan », ce fasciste de la LDJ (Ligue de Défense Juive), dont l’avocat n’est autre que le raciste : Gilles-William Goldnadel (l’avocat des groupes terroristes berbéristes du MAK), qui a semé la terreur dans les rédactions françaises, et dans les familles de militants entre 2013 et 2014, causant même la mort du père du journaliste Benoît Le Corre, pourtant renvoyé aux Assises. Qui a exfiltré Gregory Chelli, alias « Ulcan » ? Qui ?
Maurice Botbol ne pourra pas publier les comptes-rendus de la DGSE sur tous les réseaux criminels et d’escroquerie israéliens qui foisonnent en France, y compris le tout petit exemple révélateur de l’ampleur de ce pillage de la France (juin 2021), de la famille de Dan J., qui a détourné plus de 11 millions d’euros, usurpé l’identité de 3 600 entreprises, et tenté de soutirer plus de 40 millions d’euros à l’Etat (arnaque au chômage)! Qui a aidé la famille de Dan J. à détourner 11 millions d’euros, tout en couvrant sa tentative de fuite en Israël ? Qui ?
Maurice Botbol ne pourra pas publier l’enquête interne sur l’assassinat (maquillé en suicide) du commissaire Helric Fredou, numéro 2 du Service Régional de la PoliceJudiciaire de la Haute-Vienne, chargé de l’enquête sur l’attentat de « Charlie Hebdo » le 8 janvier 2015 (le lendemain de l’attentat du 7 janvier 2015) ? Qui ?
Maurice Botbol ne pourra pas publier le rapport sur la descente militaire nocturne de la quarantaine de membres du puissant GIPN (Groupes d’Intervention de la Police Nationale) chez l’écrivain Pierre Jovanovic, diligentée par le régime. Qui a ordonné cette opération militaire contre un écrivain qui n’est pas « Sent Sale », sans aucun mandat judiciaire, et dans quel but ? Qui ?
Maurice Botbol ne pourra pas publier le rapport de la gendarmerie, concernant l’affaire Pierre Palmade, décrivant la participation de Bruno Le Maire, comme du premier « anal » sinistre Gabriel (avec son conseiller en communication Louis Jublin) à des soirées chemsex, « plus hype », sous cocaïne. Selon la journaliste Zoe Sagan, Bruno Le Maire (ministre de l’économie ) était chez Pierre Palmade à la soirée “chemsex” qui précéda son accident de voiture ! Qui protège Pierre Palmade ? Qui ?
Un Gabriel, premier Ministre-anal, cocaïnomane, un Ministre de l’économie cocaïnomane, un Président pris la main dans un mouchoir plein de morve blanche (et pas de cocaïne) trainant sur la table, une Assemblée de représentants du peuple élu et leurs collaborateurs, qui font la queue pour sniffer les rails de cocaïne préparés par les dealers agréés par le système et sa présidente, Yaël Braun-Pivet.
Cette présidente, qui glorifie le génocide en cours du peuple palestinien, mené par ses amis criminels de Tel-Aviv, a même chassé la journaliste Elise Lucet, laquelle s’est aventurée à tenter de tester la salive dégoulinante de poudre euphorique de la gueule des « dépités » de l’assemblée.
Maurice Botbol baigne donc à plein poumons dans ce régime des cocaïnomanes qui prétendent lutter contre le narco-trafic, des pédophiles qui prétendent lutter contre les pédocriminels (350 000 enfants- de 6 à 16 ans- sont arrachés à leurs parents, et placés à l’ASE –Aide Sociale à l’Enfance- pour être livrés à la prostitution, à la drogue et à de monstrueux prédateurs pédophiles), des racistes qui prétendent lutter contre le racisme, des espions qui prétendent lutter contre l’espionnage, des escrocs qui prétendent lutter contre l’escroquerie, des violeurs qui prétendent lutter contre le viol des femmes, des parrains du terrorisme qui prétendent lutter contre le terrorisme, des assassins qui prétendent lutter contre l’insécurité, …etc.
Au final, et pour ne pas boucler la boucle du système de Maurice Botbol, patron « d’Africa Intelligence » et porte voix de la DGSE, on se demande s’il n’est pas à l’origine de la loi légalisant l’euthanasie des plus faibles, inscrite sous la belle appellation « d’aide à mourir », puisqu’il s’agit d’un juteux business privatisé, où même la mort a été pensée par ce système comme une solution non seulement économique, mais aussi idéologique! N’est-ce pas un retour discret des pratiques les plus sombres de l’Histoire de la bourgeoisie mondialisée, propriétaire de la logique eugéniste, et promotrice des chaos identitaires qui nous entourent.
Maintenant, peut-on savoir si Antoine Galindo, l’agent de Maurice Botbol-DGSE, arrêté en février 2024, pour « conspiration en vue de créer le chaos » en Ethiopie, est toujours en mission ?
- Source : Algérie 54 (Algérie)