La catastrophe sanitaire des confinements de 2020 en France

5 ans après le confinement, tentons d’analyser les conséquences sanitaires et sociétales. Cette tribune s’attache à préciser le bilan sanitaire factuel du confinement à une période où les responsables de cette mesure tentent d’éluder leurs responsabilités, preuve probable qu’il ne s’agissait pas d’erreurs, mais bien d’une ingénierie sociale, visant à conditionner la population à l’obéissance aveugle.[1]
Propagande terrorisante et censure pour empêcher tout débat démocratique.
Cette période a été marquée par une propagande terrorisante omniprésente et une censure féroce pour éviter tout débat démocratique sur la pertinence des mesures imposées.
Contrairement aux informations factuelles rassurantes qui étaient diffusées lors de la grippe asiatique (1956-1958) et celle de Hong Kong (1968-1970), tous les médias ont adopté d’une même voix unique et homogène une présentation dramatique de l’épidémie.
Le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, surnommé rapidement le croque mort du 20 H quotidien, n’a pas hésité à comparer le covid à la peste « la crise épidémique que nous traversons actuellement est comparable aux pires pandémies de l’histoire de l’humanité, elle peut être comparée à la pandémie de peste de 1347 ou à celle de grippe espagnole en 1917 ». Quelle honte !
Le ministre de la Santé allemand a osé affirmer que « les gens seront « vaccinés, guéris ou morts » d’ici la fin de l’hiver en raison de la flambée actuelle des infections au Covid-19 dans le pays ». Il serait plaisant si ce n’était si tragique de comparer ce discours à la triste réalité qui accumule chaque jour de plus en plus de décès chez les injectés et d’effets secondaires graves, dont la maladie de Charcot dont on n’avait jamais vu autant de cas en si peu de mois. Les Allemands commencent à découvrir l’ampleur des mensonges car leurs médias sont plus bavardes que les nôtres[2], mais en France le silence continue à régner en maitre.
En même temps que l’isolement forcé, une censure féroce s’est abattue sur tous ceux qui tentaient de ramener l’épidémie à sa réelle gravité ou de proposer des traitements précoces. Ils ont été diffamés, traités de complotistes et, lorsqu’il s’agissait de médecins pourchassés par l’ordre qui a recréé le délit d’opinion[3] et interdit d’exercer plusieurs donneurs d’alerte. Et pour éviter toute critique précise les délibérations du mal nommé « Conseil Scientifique » ont été dissimulées par un « secret défense » qui n’a toujours pas été supprimé, contrairement à d’autres pays dont l’Allemagne dont les dossiers ont été publiés.
Confinement contraire aux connaissances scientifiques du moment
L’expérience des épidémies historiques a démontré que la seule technique non médicamenteuse efficace pour lutter contre la propagation d’une maladie infectieuse est la quarantaine, séparation des biens portants des malades le temps que ces derniers ne soient plus contagieux. Le confinement qui nous a été imposé, enfermant ensemble malades et bien portants, avait été abandonné après l’échec retentissant du confinement de Marseille en 1720 qui avait été suivi de la mort de la moitié des habitants sans empêcher la diffusion de la maladie à toute la Provence et à l’Italie. Faisant fi de l’expérience médicale de toujours, le confinement a été décidé sur la foi d’une simulation mathématique aux hypothèses fausses diffusée par l’OMS. Bien des preuves apparaissent démontrant qu’il s’agissait d’une ruse et non « d’erreurs ».
Nous l’avions rappelé (malheureusement en vain) dans économie matin[4] début avril 2020.
Dissimulations et mensonges d’état
Pour prévenir toute étude critique, le gouvernement a gardé longtemps secret le rapport 9 de Ferguson [5], qui nécessitait pourtant une analyse objective par des experts indépendants pour éclairer la représentation nationale comme cela a été fait en Grande -Bretagne, Suède et aux Pays-Bas. La solidité du rapport aurait dû être évaluée et publiquement débattu par le Parlement avant de prendre une décision aussi lourde de conséquences que celle du confinement aveugle. La Suède et les Pays-Bas ont pris cette précaution aboutissant au rejet des conclusions de Ferguson et au refus du confinement policier.
Pour éviter toute critique et responsabilité personnelle précise, les délibérations du très mal nommé « Conseil Scientifique » ont été dissimulées par un « secret défense » qui n’a toujours pas été levé.
Le ministère a constamment menti sur la gravité réelle de la maladie, les prétendues – efficacité et innocuité – de ce qu’il a présenté comme vaccin alors qu’il s’agissait de médicaments expérimentaux à ARN qui se sont depuis révélés peu efficaces et très dangereux.
Ces dissimulations, mensonges directs et par omission ont mis à mal la confiance entre concitoyens, gouvernement et scientifiques et suscité la méfiance actuelle de la population envers la parole publique et les vaccinations et plus généralement la médecine. Ce divorce gouvernants/population risque de durer tant que les dirigeants n’adopteront pas une attitude plus transparente.
Censure et discrimination des opposants
La liberté d’expression est le socle même de la démocratie et du pluralisme qui la caractérise.
La crise du covid a été le prétexte d’une atteinte sans précédent de ce droit fondamental avec une censure féroce de tous ceux qui tentaient de ramener l’épidémie à sa réelle gravité, de proposer des traitements précoces ou d’appeler à la prudence envers des injections expérimentales à ARN qualifiées de vaccin. Ils ont été diffamés, traités de complotistes et socialement discriminés avec des propositions plus ignobles les unes que les autres.
Cette instauration de la censure en France comme en Europe sous prétexte d’empêcher la diffusion de toute opinion contraire à celles des gouvernants constitue la pire agression contre la liberté d’expression depuis la dernière guerre mondiale.
La liberté d’expression est officiellement garantie par les textes fondamentaux tels que la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 (DDHC – article 11 qui a vocation à s’appliquer à toute personne, sans distinction, notamment en considération de sa profession.
Et aussi par la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme (CESDH – article 10) qui proclame que : « Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière ».
La Cour d’Appel de Paris a rappelé en 2024 que la liberté d’expression inclut le droit de libre critique. La responsabilité de l’auteur de propos litigieux doit ainsi s’apprécier strictement (CA PARIS 31 janvier 2024 n°23/06084).
L’inertie de la justice y compris de la cour européenne des droits de l’homme pour défendre ce droit fondamental d’expression durant la crise covid entache gravement leur crédibilité.
Suppression du droit de s’exprimer des médecins
L’ordre des médecins a recréé le délit d’opinion, pourchassé les médecins donneurs d’alerte et interdit à plusieurs d’exercer leur sacerdoce parce qu’ils avaient averti des risques des mesures sanitaires ou des traitements proposés par le ministère.
Au terme de la loi n° 2022-401 du 21 mars 2022 [6], un lanceur d’alerte se définit comme : « une personne physique qui signale ou divulgue, sans contrepartie financière directe et de bonne foi, des informations portant sur un crime, un délit, une menace ou un préjudice pour l’intérêt général, une violation ou une tentative de dissimulation d’une violation d’un engagement international régulièrement ratifié ou approuvé par la France, d’un acte unilatéral d’une organisation internationale pris sur le fondement d’un tel engagement, du droit de l’Union européenne, de la loi ou du règlement. Lorsque les informations n’ont pas été obtenues dans le cadre des activités professionnelles mentionnées au I de l’article 8, le lanceur d’alerte doit en avoir eu personnellement connaissance »…Art. 7-1.-Les lanceurs d’alerte définis au I de l’article 6 bénéficient des protections prévues au présent chapitre :
« 1° Si, ayant eu connaissance des informations concernées dans le cadre de leurs activités professionnelles, ils adressent un signalement interne dans les conditions prévues au I de l’article 8 ;
« 2° S’ils adressent un signalement externe dans les conditions prévues au II du même article 8, après avoir adressé un signalement interne ou directement ;
« 3° S’ils procèdent à une divulgation publique, dans les conditions prévues au III dudit article 8.
« Lorsqu’un signalement ou une divulgation publique a été réalisé de manière anonyme, le lanceur d’alerte dont l’identité est révélée par la suite bénéficie des mêmes protections ».
Mais la protection des donneurs d’alerte prévue par la loi a été refusée à ceux qui s’opposaient au crédo officiel comme celui de la toxicité de la chloroquine, de la nécessité des masques, de la fermeture des écoles, de l’efficacité et l’innocuité des vaccins…
Suppression du droit de prescrire des médecins
Dès le début de l’épidémie le ministère a proclamé « n’allez pas voir votre médecin », il a prescrit le « traitement par Doliprane », puis interdit la prescription de chloroquine en prétendant qu’elle serait dangereuse…
Avant la crise la prescription des médicaments était réservée aux médecins qui, après examen du malade, adaptait l’ordonnance à chaque malade particulier en fonction de ses antécédents et de ses risques. Avec le covid le ministère s’est arrogé le droit de prescrire un même produit à tout le monde sans examen personnalisé, ni surveillance et violé l’article 8 du code de déontologie médicale qui proclame « dans les limites fixées par la loi, le médecin est libre de ses prescriptions, qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance ».
Le ministère a fait condamner par l’ordre les médecins qui continuaient de traiter selon le serment d’Hippocrate et guérissaient leur malade sans respecter les ukases gouvernementaux pourtant très douteux scientifiquement.
L’obéissance aveugle de trop nombreux médecins et l’échec de l’administration des traitements officiels a fortement ternis l’image du médecin dans la population et diminué la confiance qu’elle accordait à la médecine académique et aux soignants.
Exclusion d’un grand nombre de médecins multipliant les déserts médicaux.
L’exclusion des médecins non vaccinés des hôpitaux et l’interdiction d’exercer pour les médecins libéraux sous ce même prétexte a aggravé la pénurie nationale de médecins créé par le numérus clausus (décidé par des énarques qui pensaient qu’en réduisant le nombre de médecins ils réduiraient les dépenses de santé) et multiplié les déserts médicaux.
La récente loi restreignant la liberté d’installation des nouveaux médecins ne va pas résoudre le problème mais risque au contraire de l’aggraver. Une profession libérale ne peut s’exercer que librement ; les contraintes bureaucratiques dissuadent de l’exercice médical et poussent les diplômés vers le travail salarié dans les laboratoires ou l’industrie et les encourage à de s’exiler dans les pays étrangers ou la liberté règne encore d’autant que les rémunérations y sont souvent nettement plus élevées qu’en France.
Suppression du droit de manifester
L’expérience des épidémies historiques a démontré que la seule technique non médicamenteuse efficace pour lutter contre la propagation d’une maladie infectieuse est la quarantaine, séparation des biens portants des malades le temps que ces derniers ne soient plus contagieux.
Notre tribune précédente a bien montré que le confinement, enfermant ensemble malades et bien portants, a aggravé la mortalité. Il s’agissait d’une mesure purement politique pour, en autre interdire toute réunion politique et toute manifestation.
Les consignes inhumaines des fins de vie et des enterrements lors du covid.
L’inhumation des morts veillant à la dignité et au respect des morts et respectant la sensibilité de leurs proches constitue un marqueur de civilisation. Tout au long de l’histoire, les religions, traditions et pratiques culturelles ont influencé la manière de traiter les morts, tant en période de conflit armé qu’en temps de paix. Mais, lors du covid pour la première fois dans l’histoire, l’accompagnement des morts tant dans leurs derniers instants que lors du trajet à leur dernière sépulture a été gravement entravé.
La fin de vie est adoucie par la présence des proches et des amis. Le confinement a autoritairement empêché nombre de ceux -ci de montrer leur attachement au mourant. On se rappelle tous le scandale de la verbalisation d’une femme de 79 ans qui voulait témoigner son amour par sa présence devant la fenêtre de la chambre occupée par son mari de 93 ans prisonnier d’un ephad.[7,8]
Le décret du 16 mars 2020, a considérablement réduit la possibilité d’assister à l’enterrement d’un ami proche. Le Premier Ministre a déclaré que « nous ne devons pas déroger à la règle fixée ».
Pendant le confinement, il était interdit d’organiser une cérémonie religieuse pour les obsèques. Lors des crémations les personnes présentes étaient limitées aux descendants et aux ascendants interdisant l’adieu d’un cher voisin, du parent d’une amie, d’un collègue de travail, d’un camarade d’enfance…. Il n’était pas possible d’organiser une cérémonie civile avant la crémation [9].
Les principes éthiques qui président à l’accompagnement de la fin de vie et du décès depuis les débuts de l’histoire de l’humanité ont donc été gravement reniés. Le gouvernement s’est comporté envers les proches des défunts un peu comme Créon envers Antigone.
Brimades inutiles, profondément inhumaines et médicalement inefficaces.
Les mesures Covid-19 ont limité aussi la liberté religieuse
Des cardinaux ont sonné l’alarme sur les risques que faisait courir la gestion de la crise sanitaire à la liberté de l’Église et à d’autres libertés fondamentales et dénoncé le caractère outrancier des mesures imposées [10] :
« Sous prétexte de l’épidémie de Covid-19, en bien des cas les droits inaliénables des citoyens ont été violés, en limitant d’une manière disproportionnée et injustifiée leurs libertés fondamentales, y compris l’exercice de la liberté de culte, d’expression et de mouvement. La santé publique ne doit pas et ne peut pas devenir une excuse pour bafouer les droits de millions de personnes dans le monde, et encore moins pour exonérer l’autorité civile de son devoir d’agir avec sagesse pour le bien commun… cela est d’autant plus vrai que les doutes croissent quant à l’effective contagiosité, à la dangerosité et à la résistance du virus : de nombreuses voix faisant autorité dans le monde de la science et de la médecine confirment que l’alarmisme à propos du Covid-19, amplifié par les médias, ne semble absolument pas justifié. Nous avons des raisons de croire – sur la base des données officielles relatives à l’incidence de l’épidémie, et sur celle du nombre de décès – qu’il existe des pouvoirs fort intéressés à créer la panique parmi la population. Nous demandons également aux gouvernements de veiller afin d’éviter de la manière la plus rigoureuse toute forme de contrôle des personnes, à la fois par le biais de systèmes de suivi et par toute autre forme de localisation : la lutte contre le Covid-19 – aussi grave soit-il – ne doit pas être le prétexte pour approuver des projets douteux d’entités supranationales nourrissant de très forts intérêts commerciaux et politiques. En particulier, les citoyens doivent avoir la possibilité de refuser ces limitations de la liberté personnelle, sans qu’il soit imposé aucune forme de sanction à ceux qui ne veulent pas recourir aux vaccins, ni accepter des méthodes de suivi et tout autre instrument similaire…
Nous demandons instamment aux médias de s’engager activement dans une information objective qui ne pénalise pas la dissidence en recourant à des formes de censure, comme cela se produit couramment sur les réseaux sociaux, dans la presse et à la télévision. L’information correcte exige qu’un espace soit accordé aux voix qui ne sont pas alignées sur la pensée unique, permettant aux citoyens d’évaluer consciemment la réalité, sans être indûment influencés par des interventions partisanes. Une confrontation démocratique et honnête est le meilleur antidote au risque de voir imposées des formes subtiles de dictature, vraisemblablement pires que celles que notre société a vu naître et mourir dans un passé récent…
Enfin, nous rappelons, en tant que pasteurs responsables du troupeau du Christ, que l’Église revendique fermement son autonomie dans le gouvernement, dans le culte, dans la prédication… , en tant que pasteurs, nous revendiquons fermement le droit de décider de manière indépendante de la célébration de la messe et des sacrements, tout comme nous exigeons une autonomie absolue dans les questions qui relèvent de notre juridiction immédiate, telles que les normes liturgiques et les méthodes d’administration de la communion et des sacrements. L’État n’a pas le droit de s’ingérer, pour quelque raison que ce soit, dans la souveraineté de l’Église.
La collaboration de l’autorité ecclésiastique, qui n’a jamais été refusée, ne peut impliquer de la part de l’autorité civile des formes d’interdiction ou de limitation du culte public ou du ministère sacerdotal… Nous demandons que les limitations à la célébration des fonctions publiques du culte soient supprimées.
Nous sommes tous appelés à évaluer les faits actuels conformément à l’enseignement de l’Évangile. Cela implique de choisir son camp : avec le Christ, ou contre le Christ. Ne soyons pas intimidés ou effrayés par ceux qui nous font croire que nous sommes une minorité : le Bien est beaucoup plus répandu et puissant que ce que le monde veut nous faire croire. Nous nous trouvons en train de lutter contre un ennemi invisible, qui sépare les citoyens entre eux, les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, les fidèles de leurs pasteurs, les étudiants des enseignants, les clients des vendeurs. Ne permettons pas que des siècles de civilisation chrétienne soient anéantis sous le prétexte d’un virus, en laissant s’établir une tyrannie technologique haineuse dans laquelle des personnes anonymes et sans visage peuvent décider du sort du monde en nous confinant dans une réalité virtuelle. « les portes des Enfers ne prévaudront pas » (Mt 16, 18).
Le confinement a favorisé les contaminations du Sarcov2
Renvoyant sans traitement les malades dans leur famille et les vieux infectés dans leurs EHPADS, le confinement évidemment a favorisé la transmission du virus.
Pour le vérifier, il suffit de comparer les données de l’OMS de deux pays très proches par leurs populations et leur mode de vie mais qui ont adopté deux stratégies différentes : la Belgique et les Pays Bas. Début mars 2020 le nombre de contaminations quotidiennes était semblable dans les deux pays. La Belgique a confiné très durement le 17 mars 2020. Les Pays Bas n’ont pas confiné.
En Belgique, le nombre de contaminations quotidiennes a augmenté une semaine après le début du confinement pour se stabiliser au double des valeurs néerlandaises jusqu’à la fin du confinement. Les premiers allègements du confinement ne sont arrivés que le 20 avril avec la réouverture de certaines activités, dont les pépinières et les magasins de bricolage. Une semaine plus tard le nombre quotidien de nouveaux cas belges par million d’habitants a commencé à diminuer pour égaliser le chiffre néerlandais après la sortie progressive du confinement officielle à partir du 4 mai 2020.
Rappelons que toutes ces données furent rapidement publiées par plusieurs lanceurs d’alerte, dont nous-mêmes, mais volontairement invisibilisés, moqués, calomniés etc..
Le confinement a aggravé la mortalité Covid
Augmentant le nombre de contaminations, le confinement a très logiquement aggravé la mortalité (surtout en l’absence de traitements précoces interdits par nos compatissants gouvernants).
La comparaison des chiffres de mortalités publiés par l’OMS pour la Belgique et les Pays-Bas est là encore très démonstrative.
Avant le confinement belge, la mortalité était semblable en Belgique et aux Pays-Bas. Le confinement a été imposé en Belgique le 17 mars 2020 tandis que les Pays –Bas refusaient de confiner. Le nombre de morts quotidiens a explosé en Belgique 3 semaines après le confinement pour se stabiliser très au-dessus de la mortalité néerlandaise. A la fin du confinement la mortalité belge cumulée de la période atteignait deux fois et demie la mortalité néerlandaise.
En France le confinement a également été suivi d’une recrudescence importante de la mortalité. Avant le confinement français la mortalité était comparable à la moyenne mondiale et à celle de l’Afrique. Trois mois après le début du confinement la mortalité par million d’habitants en France s’élevait à 7 fois la moyenne mondiale et à 100 fois celle de l’Afrique très peu confinée !
L’effet mortifère du confinement se retrouve dans tous les pays européens ainsi que le montre ce graphique comparant la mortalité par million d’habitants de la France à celle de la Suède qui n’a pas confiné.
Ces pays furent soumis aux mêmes interdictions thérapeutiques habituellement efficaces dans ce type de grippe (antibiotiques) et aux refus du pouvoir soutenu par l’ordre des médecins et les « professeurs » de l’APHP, des traitements Raoult et de l’ivermectine, et de surcroit aux mêmes erreurs (ventilation artificielle) et absence de traitement anticoagulant.
Toutes ces dérives volontaires sont amplement détaillées dans de nombreux ouvrages dont ceux du PR Raoult, mais aussi L.Muchielli, L.Toubiana, JD Michel et bien d’autres. Les livres abondent de grande qualité multipliant les références précises.
Et pendant ce temps-là les ministres de la santé successifs continuent à prôner l’injection mortifère source de tant de décès et de maladies chroniques voire mortelles (Charcot). Ainsi en Avril 25 actuellement une nouvelle campagne d’injections anticovid va débuter pour deux mois organisée par la DGS. De l’inconséquence pour les citoyens à l’illusion d’impunité pour eux-mêmes, on a du mal à comprendre que rien ne les arrête, y compris leur responsabilité individuelle pénale.
Ceux qui osent prétendre que les confinements auraient sauvé des vies vivent dans le monde imaginaire des simulations, mais paraissent ignorer les données du monde réel publiées par l’OMS qui montrent que la mortalité Covid de la France est l’une des plus élevée du monde. Leur ignorance n’est sûrement que feinte dans le cadre de la mise en place du totalitarisme par petites touches.
Des « euthanasies sans consentement » autorisées par E Philippe et O Veran
Les personnes âgées, dont certaines auraient probablement pu être sauvées, ont été consciemment privées de soins.
Les acteurs de terrain interrogés par Marianne sont unanimes : pendant près d’un mois, jusqu’à la dernière semaine de mars, certains centres de régulation du Samu ont refusé d’hospitaliser nombre de résidents d’ Ehpad, réduisant ainsi leurs chances de guérison. «Dans beaucoup de nos établissements, le Samu ne venait plus » a confirmé Isabelle Jallais, déléguée FO au sein du groupe d’établissements de santé privés Korian. Astrid Petit, de la CGT Santé précise : « Nous avons découvert que des recommandations ministérielles conseillaient de maintenir les personnes âgées malades à leur domicile ou dans les Ehpad [établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes], plutôt que de les accueillir à l’hôpital »
Le décret n° 2020-360 signé le 28 mars 2020.par Edouard Philippe Premier ministre et par le ministre des solidarités et de la santé Olivier Véran, dit « décret Rivotril » a autorisé l’injection de cet antidépresseur respiratoire à tout malade âgé, à peine suspect de covid auparavant interdit en cas s’insuffisance respiratoire.
L’AP-HP a mis en place des groupes d’intervention rapide dont le but n’était pas de se déplacer pour soigner des patients en détresse, mais bien de leur injecter du Rivotril pour “accompagner” leur fin de vie.
Les ventes de boîtes Rivotril dans sa forme injectable ont augmenté de 59 % au mois de mars et de 227 % en avril 2020 par rapport à la moyenne 2017-2019.
On observe que les décès Covid-19 sont survenus massivement au moment de la promulgation du décret dérogatoire concernant le Rivotril.[11]
Le confinement est de plus responsable de nombreuses morts collatérales
En plus de l’accroissement direct du nombre des morts Covid, le confinement a fait de nombreuses victimes supplémentaires par retard ou arrêt des soins des autres pathologies en particulier cardiovasculaires, cancéreuses, diabétiques, ou par retard d’interventions entraîné par le plan blanc qui interdisait aux chirurgiens d’opérer sans avoi reçu l’avis favorable de l’ARS pour « garder de lits libres pour les malades Covid ». En pratique les cliniques n’ont, sauf exception, reçu aucun malade de Covid et beaucoup ont dû fermer leurs services vides et mettre au chômage leurs infirmières inoccupées (services vidés sur injonction du ministère de la santé pour officiellement être prêts à accueillir des malades covid)[12].
Le confinement a de plus entraîné l’augmentation des décrochages scolaires, des dépressions, des actes d’automutilation, des violences domestiques, de la consommation de tabac, d’alcools et d’autres drogues qui, entre autres, ont conduit au décès d’environ 23.000 personnes en France (en plus des victimes covid directes ou rivotrilisés).
Et il faut aussi tenir compte des victimes tardives par perte de chances de guérison liées à l’arrêt des diagnostics et traitements précoces et à la misère due au chômage et pertes d’emplois.
La catastrophe Covid dont nous avons souffert et dont nous subissons encore les conséquences est beaucoup plus due aux mesures totalitaires qui nous ont été imposées dont le confinement, qu’à la maladie elle-même.
Il faut confronter les ignorants ou les corrompus qui osent encore prétendre que le confinement aurait été utile aux chiffres officiels de l’OMS pour qu’à l’avenir une telle mesure aussi scientifiquement infondée et aussi nocive ne puisse plus jamais être proposée et surtout jamais acceptée par des citoyens devenus conscients de la manipulation qu’ils subissent encore aujourd’hui ![13]
Notes:
[1] Voir aussi « autopsie d’un confinement aveugle par G et N Delépine éditions Fauves septembre 2020
[2]Un rouge profond estampillé « secret » Et si le coronavirus provenait d’un laboratoire chinois ? Des agents allemands ont suivi une piste jusqu’à Wuhan.Mais à la chancellerie, les soupçons ont été strictement gardés secrets pendant cinq ans. Par Georg Mascolo et Holger Stark Tiré du ZEIT n° 11/202512. mars 2025
[4] Les dessous du rapport classé secret défense de Ferguson et le confinement avril 2020
[5] 28/04/2020 http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine
[6] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFARTI000045388752
[9] https://www.obseques-infos.com/actualites/24057-obseques-confinement-coronavirus/
[10] https://www.vexilla-galliae.fr/actualites/covid-19-quelques-cardinaux-et-eveques-selevent-contre-la-gestion-de-la-crise/
[12] Désastre sanitaire et économique du blocage de la chirurgie : juin 2020 / Une moyenne de 70% de perte d’activité chirurgicale a été constatée depuis le début du plan blanc.
Il y a trois semaines, nous relayions dans cette tribune[1] l’alerte des personnels soignants sur les victimes collatérales du Covid19, les malades ordinaires, victimes du plan blanc[2]. Malheureusement, nous n’avons guère été entendus de même que les syndicats de chirurgiens qui appelaient à la reprise, et le plan blanc est toujours officiellement actif, alors que l’épidémie se termine et les services Covid presque partout vides ainsi que tous les autres services, tant en public qu’en privé.
[13] Malgré l’évidence, le patron du Medef vient d’oser dire il y a quelques jours en avril 2025 que le déficit de la sécurité sociale serait dû aux NON vaccinés qui rempliraient les hôpitaux ! On peut être certain que ces personnes qui profèrent de tels mensonges ne mourront pas étouffés… tant mieux pour eux. OUVREZ LES YEUX ; regardez les malades autour de vous …
- Source : Mondialisation (Canada)