Klaus Schwab viré par ses propres alliés : Détournements, abus de biens sociaux, manipulation des rapports économiques mondiaux…

Klaus Schwab, fondateur du WEF, évincé après une enquête interne accablante révélant luxe, abus de pouvoir, manipulations et hypocrisie à Davos. Après avoir prêché la sobriété et les criquets, il se faisait masser aux frais du WEF en sirotant du champagne. Swipe pour découvrir la chute de l’homme derrière le Forum de Davos.
Klaus Schwab, le grand manitou du Forum économique mondial (WEF), a été poussé vers la sortie par son propre clan. L’homme qui voulait nous faire avaler des insectes et nous convaincre que posséder rien rendrait heureux a été trahi par ses propres apôtres. Ironie du sort, n’est-ce pas ? Voici l’histoire d’une dégringolade savoureuse.
Une enquête qui sent le roussi
Tout commence par une enquête interne, orchestrée par le cabinet cabinet d’avocats Homburger, basé en suisse, à la demande du conseil d’administration du WEF. Les conclusions, qui ont fuité comme une passoire mal bouchée, dressent un portrait peu flatteur de Schwab. On parle de dépenses somptuaires, de détournements de fonds et d’une ambiance de travail toxique qui ferait passer Le Loup de Wall Street pour un conte de fées.
Le couple Schwab, Klaus et Hilde, aurait dépensé sans compter : 1,1 million de dollars en frais de voyage injustifiés, des séjours dans des palaces à Venise, Miami ou encore aux Seychelles, et même 14 massages en hôtel – remboursés à moitié, et encore, parce qu’ils se sont fait pincer. Ajoutez à cela une ligne téléphonique pour la femme de chambre et un chauffeur payé par le WEF pour leurs virées personnelles. Classe, non ?
Mais ce n’est pas tout. La Villa Mundi, un petit bijou immobilier acquis avec les fonds du WEF pour 50 millions de dollars, était censée servir aux affaires officielles. Sauf que, surprise, Hilde Schwab en avait fait son terrain de jeu personnel, réservant un étage pour l’usage privé du couple. Pendant ce temps, les contribuables finançaient les billets d’entrée des politiciens à ce grand cirque de Davos. Vous payez, ils s’amusent. Charmant.
Manipulation, champagne et hypocrisie
Pendant que Schwab prônait la sobriété écologique et nous encourageait à mâchouiller des criquets, il sirotait du Moët & Chandon et se faisait masser aux frais du WEF. Mais le scandale ne s’arrête pas à l’argent. Des lanceurs d’alerte ont révélé une culture d’entreprise digne d’un roman dystopique : courriels à connotation sexuelle envoyés à de jeunes employées, intimidation, discrimination contre les femmes enceintes ou âgées. Les employés, à bout, ont même créé un groupe de soutien nommé « WEFugees ».
Pire encore, Schwab aurait manipulé le Global Competitiveness Report du WEF pour des raisons purement politiques. Après le Brexit, il aurait ordonné de faire chuter le classement du Royaume-Uni pour affaiblir les pro-Brexit. Une analyse économique ? Non, une vendetta personnelle déguisée en expertise.
Et pendant que le WEF sermonnait le monde sur l’égalité et la durabilité, Davos se transformait en bacchanale pour élites. Voitures de luxe, chalets hors de prix, champagne à 1 500 dollars la bouteille et, selon certaines sources, une demande accrue pour des services d’escortes sous contrats de confidentialité. Vertueux le jour, débauchés la nuit. Bravo l’hypocrisie.
Une fin en queue de poisson
Schwab voulait partir en douceur, choisir son successeur – Christine Lagarde était dans les tuyaux – et s’effacer comme un sage. Raté. Le conseil d’administration, sentant le vent tourner, l’a lâché sans ménagement. Après des fuites savamment orchestrées et une enquête qu’il a tenté de faire stopper en 24 heures, Schwab a dû rendre son tablier. Les élites qu’il a chouchoutées pendant des décennies l’ont jeté comme un vieux costume usé.
Aujourd’hui, le WEF est en mode panique. L’enquête se poursuit, avec des résultats définitifs attendus fin août 2025. Mais le mal est fait : l’image de l’organisation, déjà bancale, s’effrite comme un château de cartes. Schwab, lui, crie à la trahison et menace de poursuites judiciaires. « Je me sens trompé », aurait-il gémi. Pauvre chéri.
Fini les sermons sur la Grande Réinitialisation, fini les leçons de morale d’une élite déconnectée. Les gouvernements du monde entier devraient couper les ponts avec cette machine à scandales. Pas un centime de plus ne devrait financer leurs petites sauteries à Davos.
Quant à Schwab, il risque de finir comme il l’avait prédit pour nous : sans rien. Mais heureux ? Permettez-moi d’en douter. Et si les rumeurs de « suicide à la Epstein » commencent à circuler, ne soyez pas surpris. Les élites n’aiment pas les témoins gênants.
Moins de champagne à Davos, plus de liberté pour les 99,9 %.
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Klaus Schwab : la chute spectaculaire du «roi de Davos» secoue le monde économique
par MoneyRadar
Le fondateur du Forum économique mondial, figure emblématique depuis 55 ans, voit son empire s’écrouler sous le poids d’accusations explosives. Une enquête interne révèle des détournements de fonds, des comportements inappropriés et des manipulations de données qui font trembler les fondations de l’organisation la plus influente de la planète.
Klaus Schwab pensait mourir dans ses fonctions. À 87 ans, celui qui se présentait comme le «roi de Davos» dirigeait d’une main de fer le Forum économique mondial depuis 1971. Mais en avril 2025, tout s’est écroulé en 48 heures. Une lettre anonyme de dénonciation a mis fin au règne de l’homme qui accueillait chaque année présidents, Premiers ministres et PDG dans la station de ski suisse.
Un règne de 55 ans qui tourne au cauchemar
L’affaire démarre en 2024 avec une première enquête du Wall Street Journal. Les journalistes américains dénoncent une culture toxique au sein du WEF, particulièrement hostile aux femmes et aux employés noirs. Les témoignages s’accumulent. D’anciens salariés créent même un groupe WhatsApp baptisé «WEFugees» pour partager leurs histoires d’horreur.
Mais Klaus Schwab résiste. Il conteste les accusations et prépare une sortie en douceur, espérant choisir lui-même son successeur. Les statuts du WEF lui accordent ce privilège : «le Fondateur désigne lui-même son successeur». Un pouvoir quasi monarchique qu’il entend bien exercer jusqu’au bout.
C’est compter sans une seconde vague de révélations. En avril 2025, une lettre de dénonciation atterrit sur le bureau des administrateurs du WEF. Al Gore, ancien vice-président américain, et le violoncelliste Yo Yo Ma découvrent des accusations autrement plus graves.
Plus d’un million de dollars de dépenses suspectes
L’enquête interne, menée par le cabinet d’avocats suisse Homburger, révèle l’ampleur des dérapages. Klaus Schwab et sa femme Hilde ont engagé plus de 1,1 million de dollars de frais de voyage suspects. La facture grimpe quand on y ajoute 836 000 livres sterling de dépenses insuffisamment liées aux activités du Forum.
Les détails donnent le vertige. Billets première classe pour Hilde Schwab qui n’a aucun rôle officiel dans l’organisation. Voyages personnels aux Seychelles, à Miami, en Afrique du Nord, tous sur le compte du WEF. Le dernier en date : une semaine au Maroc entre décembre 2024 et janvier 2025, facturée comme voyage professionnel.
Quatorze massages d’hôtel passent également sur la note de frais. Klaus Schwab finira par en rembourser la moitié, mais seulement après que les enquêteurs mettent le doigt sur ces dépenses. Même la ligne téléphonique de leur domicile genevois et le portable de leur femme de ménage transitent par les comptes du Forum.
«Sens-tu que je pense à toi ?»
Les révélations financières ne sont que la partie émergée de l’iceberg. L’enquête dévoile un comportement qualifié d’inapproprié envers le personnel féminin. En juin 2020, Klaus Schwab envoie un email tardif à une cadre supérieure : «Sens-tu que je pense à toi ?». Un message qui glace d’autant plus qu’il émane du patron d’une organisation prônant l’égalité des sexes.
Les témoignages se multiplient. Des femmes enceintes ou de plus de 40 ans systématiquement mises à l’écart. Des choix de personnel féminin basés sur des critères esthétiques pour accueillir les délégués internationaux. Une pratique si courante qu’elle a son propre jargon : «white on blue action», référence aux couleurs des badges portés lors de la conférence annuelle.
Un ancien employé résume la situation : «Nous prônons l’inclusion et l’amélioration de la condition féminine, mais nous faisons exactement l’inverse».
On sait ENFIN pourquoi Klaus Schwab a démissionné du Forum de Davos...
— MoneyRadar (@MoneyRadar_FR) August 5, 2025
Détournements, abus de biens sociaux, manipulation des rapports économiques mondiaux...
Le scandale est ENORME pic.twitter.com/a80oRBMNW1
Quand la recherche devient politique
L’affaire prend une dimension supplémentaire avec les révélations sur la manipulation du Global Competitiveness Report. Ce classement annuel des pays selon leur productivité fait autorité dans le monde économique. Klaus Schwab n’hésite pourtant pas à en fausser les résultats pour des raisons politiques.
En 2017, en pleine période post-Brexit, il donne des instructions claires à ses équipes. Le Royaume-Uni «ne doit voir aucune amélioration» dans le classement. Sinon, cela sera «exploité par le camp du Brexit». Le pays, qui devait passer de la septième à la quatrième place grâce à un changement de méthodologie, se retrouve finalement huitième dans le rapport final.
L’Inde bénéficie du traitement inverse. Klaus Schwab pousse ses équipes à améliorer artificiellement son classement, invoquant ses «relations durement acquises» avec le Premier ministre indien. La crédibilité scientifique passe après les considérations géopolitiques.
Villa Mundi : 50 millions de dollars de grand luxe
L’enquête révèle aussi l’existence de la Villa Mundi, propriété de 50 millions de dollars près du lac Léman. Cette demeure de prestige, officiellement destinée aux activités du Forum, devient rapidement la résidence secondaire du couple Schwab. Hilde contrôle l’accès à la propriété et réserve un étage entier à leur usage personnel.
Le couple oriente même les travaux de rénovation vers l’entreprise de design qu’ils utilisent pour leurs projets privés. Une confusion des genres qui illustre parfaitement comment Klaus Schwab traite le WEF comme son «fief personnel», selon les termes des enquêteurs.
La chute en 48 heures
Face à ces révélations, le comité d’audit du WEF recommande l’ouverture d’une enquête indépendante. Klaus Schwab panique. Il envoie un email furieux aux administrateurs, exigeant l’arrêt de la procédure sous 24 heures et menaçant de porter plainte.
Le chantage échoue. Le conseil d’administration maintient sa décision. Klaus Schwab n’a plus le choix : il démissionne 48 heures après son ultimatum, le 21 avril 2025. Peter Brabeck-Letmathe, ancien patron de Nestlé, prend immédiatement sa succession.
«Mon héritage est bien établi», clame Klaus Schwab dans sa lettre de démission. Mais les révélations qui s’enchaînent ternissent définitivement cette réputation construite sur plus d’un demi-siècle.
Un empire vacillant
Aujourd’hui, Klaus Schwab se dit «trompé» par ses anciens collègues. Il accuse le conseil d’administration de violer un accord de silence sur l’enquête et refuse de coopérer davantage. L’homme qui accueillait Donald Trump, Emmanuel Macron et Vladimir Poutine se retrouve isolé, attendant les conclusions définitives de l’enquête prévues fin août 2025.
Le rapport sera transmis aux autorités suisses. Des poursuites pénales ne sont pas exclues. Plus de 50 personnes ont déjà été entendues par les enquêteurs, et les témoignages continuent d’affluer.
L’avenir du Forum économique mondial reste incertain. La conférence de Davos 2025 s’est tenue sans la présence du Premier ministre britannique, du président français ou du chancelier allemand. Les concurrents se positionnent : la Chine avec son Forum de Boao, l’Arabie saoudite avec son Initiative d’investissement futur surnommée «Davos du désert».
Klaus Schwab espère encore que «le Forum restera un bâtisseur de ponts de confiance dans un monde divisé». Mais après 55 ans de règne, le roi de Davos découvre que même les empires les plus solides peuvent s’effondrer en quelques jours.
source : MoneyRadar
- Source : Le Média en 4-4-2