97% des enfants décédés du syndrome de mort subite du nourrisson sont décédés dans les 10 jours suivant la vaccination

97 % des enfants décédés du syndrome de mort subite du nourrisson sont décédés dans les 10 jours suivant la vaccination, déclare le Dr Paul Thomas. « Syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) : six études ont comparé le décès du nourrisson au moment de la vaccination.
Dans l’une d’elles, 97 % des décès ont eu lieu dans les dix jours suivant la vaccination. Seulement 3 % ont eu lieu dans les dix jours suivants. Deux des six autres études ont montré que 50 % des décès sont survenus au cours de la première semaine.
Mais selon toutes ces études, 75 à 90 % de ces décès surviennent dans la première semaine suivant la vaccination. C’est donc clair : vous recevez un vaccin, votre enfant meurt.
Nous le savons depuis des décennies. Les pays qui ont le plus de vaccins pour les nourrissons ont la mortalité infantile la plus élevée. Devinez où se situent les États-Unis ? Nous sommes numéro un en matière de vaccination infantile.
Nous sommes numéro un dans les pays industrialisés en matière de mortalité infantile. Il existe un document, un document juridique de 450 pages qui contient des tableaux montrant que pour chaque maladie pour laquelle nous disposons d’un vaccin, il y a plus de décès dus au vaccin qu’à la maladie pour laquelle nous disposons de ce vaccin. »
« Maintenant que nous disposons de plusieurs études comparant les personnes vaccinées et non vaccinées, nous savons sans l’ombre d’un doute que des problèmes comme les troubles du développement neurologique, les troubles de l’apprentissage, le TDA, le TDAH et l’autisme sont clairement liés aux vaccins.
Plus on se fait vacciner, plus on risque de développer ces problèmes. » « Nous savons sans l’ombre d’un doute que plus on vaccine, plus on est susceptible de développer des allergies, des maladies auto-immunes, de l’eczéma, de l’asthme et toutes ces maladies. Les personnes vaccinées sont plus sujettes aux otites, aux sinusites et aux infections pulmonaires. Quel que soit le type d’infection, les personnes vaccinées contractent davantage d’infections. Plus on vaccine, plus nos enfants sont malades ».
Bien qu’il existe de nombreuses preuves qu’un sous-ensemble de nourrissons présente un risque accru de mort subite après avoir reçu des vaccins, les autorités sanitaires ont éliminé la « vaccination prophylactique » comme cause officielle de décès, de sorte que les médecins légistes sont contraints de classer de manière erronée et de dissimuler les décès liés aux vaccins sous d’autres classifications de causes de décès. Dans cet article, la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a été analysée afin de déterminer l’intervalle de survenue des décès infantiles après la vaccination. Sur 2 605 décès infantiles signalés au VAERS entre 1990 et 2019, 58 % se sont groupés dans les 3 jours suivant la vaccination et 78,3 % sont survenus dans les 7 jours suivant la vaccination, confirmant que les décès infantiles ont tendance à survenir à proximité temporelle de l’administration du vaccin.
L’excès de décès pendant ces premières périodes post-vaccinales était statistiquement significatif (p < 0,00001). Une revue de la littérature médicale confirme l’existence d’un lien entre les vaccins et les morts subites inexpliquées de nourrissons.
Plusieurs théories concernant le mécanisme pathogénique à l’origine de ces événements mortels ont été proposées, notamment le rôle des cytokines inflammatoires comme neuromodulateurs dans la moelle épinière du nourrisson, précédant une réponse anormale à l’accumulation de dioxyde de carbone ; une désorganisation fatale du contrôle respiratoire induite par des adjuvants traversant la barrière hémato-encéphalique ; et une toxicité biochimique ou synergique due à l’administration simultanée de plusieurs vaccins. Bien que les résultats de cet article ne prouvent pas l’existence d’un lien entre les vaccins infantiles et les décès de nourrissons, ils suggèrent fortement une relation de cause à effet.
- Source : Le blog de Patrice Gibertie