Les historiens du climat et les archéologues contre les matheux du GIEC et leurs foutaises modélisées

À long terme, la température a baissé. Le fait que les températures aient maintenant augmenté de 1,2 °C depuis la fin du Petit âge glaciaire n’est pas le réchauffement climatique, mais plutôt une faible reprise des températures après la période la plus froide depuis 10 000 ans.
Le graphique compare deux reconstructions de température sur 10 000 ans, de 10 000 av. J.-C. à aujourd’hui. La courbe orange représente la température corrigée en altitude au Groenland (Vinther, 2009), basée sur des carottes de glace. La courbe noire montre la température à 500 mètres de profondeur dans le détroit de Makassar, Indonésie (Rosenthal, 2013), reflétant les températures de surface de l’océan Pacifique Nord. Le détroit de Makassar est à 9 500 miles du Groenland. On observe un optimum climatique holocène autour de -8 000 ans et un refroidissement durant le Petit Âge glaciaire. La différence maximale entre les deux courbes est d’environ 3,6 °C.
Oui, le graphique semble correct dans son ensemble. Il compare deux reconstructions de température sur 10 000 ans, avec des données cohérentes issues de Vinther (2009) pour le Groenland et Rosenthal (2013) pour le détroit de Makassar. Les tendances, comme l’optimum climatique holocène et le Petit Âge glaciaire, sont bien représentées.
Il faisait nettement plus chaud qu’aujourd’hui pendant l’optimum holocène. Le niveau de la mer était plus élevé, tout comme le contenu thermique des océans. L’Arctique était généralement libre de glace en été et le pergélisol a dégelé. Durant cette période, les concentrations de CO2 et de méthane ont considérablement diminué en raison de la croissance accrue de la biosphère et de la présence accrue d’eaux libres à haute latitude. Il est peu probable que les hivers aient été plus frais malgré une insolation moindre, comme en témoignent les températures et les océans chauds du sud. Les reconstructions multiproxy modernes gèrent mal les proxies et les températures trop lisses.
Le CO2 diminue parfois lorsque la planète se réchauffe et augmente lorsqu’elle se refroidit.
La hausse exclusivement anthropique du #CO2 repose sur des modèles fragiles et des arguments à la logique contestable. Selon Eike Roth (mars 2025), une partie importante de cette hausse serait naturelle. (1)
Note:
- Source : Le blog de Patrice Gibertie