Cinq ans après la « pandémie » de Covid : retour sur un tournant mondial

Il y a exactement 5 ans, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que l’épidémie en Chine s’intensifiait et pourrait devenir une « pandémie ». Quelques semaines auparavant, le patron de l’agence de santé des Nations Unies, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déjà lancé une alerte sur la gravité de la situation. Mais il a fallu qu’il prononce le mot « pandémie » pour que les différents pays du monde se mobilisent. Même si la trame narrative du Covid est morte, l’OMS qui souhaite au plus vite élargir ses prérogatives à « l’échelle mondiale » avec l’approche « une seule santé », une ébauche de traité sur les pandémies, et la réforme du Règlement sanitaire international (RSI), elle continue à maintenir un discours de la peur, sur une prochaine pandémie.
World Health Organization declares coronavirus outbreak a pandemic | https://t.co/T1pbxcW6gt pic.twitter.com/ULKCIQOeZ7
— RTÉ News (@rtenews) March 11, 2020
Il y a cinq ans, le 11 mars 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qualifiait officiellement le Covid-19 de pandémie. Un terme qui a brutalement réveillé les consciences, transformant une crise sanitaire en catastrophe globale. Retour sur un moment charnière, ses répercussions et les défis qui persistent.
L’appel à la « pandémie » de l’OMS
Dès le 30 janvier 2020, l’OMS avait déclaré une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI), alertant sur la gravité du virus. Pourtant, le mot « pandémie » était soigneusement évité, et les États ont largement ignoré l’alerte. En cinq semaines, le nombre de cas hors Chine fut multiplié par 13, touchant 114 pays et causant 4 291 décès.
Il y a cinq ans, le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le 9 mars, lors d’une conférence de presse, le patron de l’OMS a déclaré que « la menace d’une pandémie est devenue très réelle ». Il a fait l’annonce officielle le 11 mars à 17 heures (16 heures, heure irlandaise), lors d’une conférence de presse qui a duré 59 minutes dans la salle basse du Centre d’opérations sanitaires stratégiques (SHOC) du siège de l’OMS à Genève. a pris parole pour déclarer le début de la pandémie du Covid-19 , il avait déclaré: « Nous sommes profondément préoccupés par les niveaux alarmants d’inaction ».
Ce jour-là, l’agence onusienne franchissait un cap sémantique, espérant secouer les gouvernements. « Le mot « pandémie » a changé la donne », confiait un observateur à l’AFP. Effectivement, des pays comme l’Irlande, dirigée par Leo Varadkar, annonçaient dès le 12 mars la fermeture des écoles et un confinement strict. « C’est un territoire inexploré », reconnaissait Varadkar, symbole d’une prise de conscience soudaine et mondiale.
Les journalistes n’ont cessé de poser des questions. Mais le monde n’a pas pris conscience de la catastrophe qui le menaçait qu’en entendant le mot « pandémie » de la bouche du patron de l’agence de santé des Nations Unies.
Le directeur des urgences sanitaires de l’agence, Michael Ryan, et la responsable technique du programme des urgences sanitaires, Maria Van Kerkhove, étaient présents au SHOC ce jour -là. Le Dr Tedros, avec un air sérieux et inquiet, a déclaré que le nombre de cas d’infection au Covid-19 en dehors de la Chine avait augmenté de 13 fois au cours des deux dernières semaines. Il a ajouté que le SRAS-CoV-2 circulait désormais dans 114 pays du monde et qu’il a fait 4.291 décès.
Le patron de l’OMS a aussi déclaré que des milliers d’individus étaient encore hospitalisés et d’autres se trouvaient dans un état critique. Le système de santé était sous pression et même paralysé. A l’époque, le Dr Tedros a déploré la propagation rapide du virus et « les niveaux alarmants d’inaction ».
Lejournaliste indépendant basé à Genève, John Zarocostas a assisté à la conférence de presse du 12 mars 2020. Il a déclaré à l’AFP que « le mot pandémie a changé la donne ». L’entendre de la bouche du Dr Tedros était un énorme choc pour les pays. « J’avais le sentiment qu’ils (l’OMS) devaient le faire parce qu’ils n’obtenaient pas la réaction attendue des Etats membres » a-t-il ajouté.
Les grands gagnants de la crise du COVID
Cinq ans plus tard, l’OMS tente de tirer les enseignements de ces erreurs. En décembre 2021, les États membres ont entamé la rédaction d’un accord international sur les pandémies, visant à standardiser les réponses sanitaires.
Tedros Adhanom Ghebreyesus ne cesse de marteler l’urgence de se préparer à la « maladie X », un pathogène inconnu mais potentiellement plus mortel que le Covid-19. « La prochaine pandémie sera encore plus meurtrière. La question n’est pas de savoir si elle arrivera, mais quand », insiste-t-il.
Mais en réalité, avec le COVID, on a pu voir que c’était surtout une occasion pour enrichir les partenaires du WEF dont Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Johnson&Johnson.Les vaccins à ARNm sont produits rapidement et à moindre coût. Dans le contexte des systèmes de santé gravement atteints dans de nombreux États européens, les groupes pharmaceutiques vendront – avec ou sans pandémie – leurs produits comme une panacée.
Il devient de plus en plus évident que les pandémies sont extrêmement lucratives pour ceux qui se présentent comme « sauveurs » – en particulier les laboratoires pharmaceutiques, les producteurs de tests et de vaccins, ainsi que les cabinets de conseil et les sociétés de services informatiques spécialisés dans le comptage et la surveillance. Cependant, il est moins évident que notre perception de ce qu’est une « pandémie » ne repose pas sur des données scientifiques.
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La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 »
Qu'est-ce que la fameuse ID2020 ? Il s'agit d'une alliance de partenaires public-privé, dont des agences des Nations unies et la société civile. Il s'agit d'un programme d'identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l'identité numérique.
Il y a 5 ans, le 11 mars 2020 l’OMS déclarait une pandémie mondiale.
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Cet article a été publié initialement en français le 17 mars 2020.
Il semble que plus on écrit sur les causes du Coronavirus, plus les analyses écrites sont éclipsées par une propagande et un battage publicitaire alarmistes. Les questions pour la vérité et les arguments pour savoir où chercher les origines et comment le virus peut s’être propagé et comment le combattre, se perdent dans le bruit du chaos gratuit. Mais n’est-ce pas ce que veulent les « Black Men » [hommes noirs] qui sont à l’origine de cette pandémie prévue – le chaos, la panique, le désespoir, entraînant une vulnérabilité humaine – un peuple qui devient une proie facile pour la manipulation ?
Aujourd’hui, l’OMS a déclaré le coronavirus COVID-19 « pandémie » – alors qu’il n’y a pas la moindre trace de pandémie. Une pandémie peut être la condition, lorsque le taux de mortalité par infection atteint plus de 12%. En Europe, le taux de mortalité est d’environ 0,4 %, voire moins. Sauf en Italie, qui est un cas particulier, où le pic du taux de mortalité a été de 6 % (voir ci-dessous pour une analyse plus approfondie).
"Thousands more are fighting for their lives in hospitals.
— World Health Organization (WHO) (@WHO) March 11, 2020
In the days and weeks ahead, we expect to see the number of #COVID19 cases, the number of deaths, and the number of affected countries climb even higher"-@DrTedros #coronavirus
Tweet :
« L’OMS a évalué cette épidémie 24 heures sur 24 et nous sommes profondément préoccupés à la fois par les niveaux alarmants de propagation et de gravité, et par les niveaux alarmants d’inaction »-@DrTedros #COVID19
Organisation mondiale de la santé (OMS)
« Nous avons donc fait l’évaluation que #COVID19 peut être caractérisé comme une pandémie »-@DrTedros #coronavirus
La Chine, où le taux de mortalité a culminé il y a quelques semaines seulement à environ 3 %, est revenu à 0,7 % – et est en rapide déclin, alors que la Chine prend le contrôle total de la maladie – et cela à l’aide d’un médicament dont on ne parle pas, développé il y a 39 ans par Cuba, appelé « Interféron Alpha 2B (IFNrec) », très efficace pour lutter contre les virus et autres maladies, mais qui n’est pas connu et utilisé dans le monde, car les États-Unis, sous l’embargo illégal de Cuba, n’autorisent pas la commercialisation du médicament au niveau international.
L’OMS a très probablement reçu des ordres « d’en haut », de ceux qui gèrent également Trump et des « dirigeants » (sic) de l’Union européenne et de ses pays membres, ceux qui visent à contrôler le monde par la force – l’Ordre Mondial Unique.
Ce projet est en cours d’élaboration depuis des années. La décision finale d’aller de l’avant MAINTENANT a été prise en janvier 2020 au Forum économique mondial (FEM) de Davos – à huis clos, bien sûr. Les Gates, GAVI (une association de produits pharmaceutiques promouvant la vaccination), Rockefellers, Rothschilds et autres, sont tous derrière cette décision – la mise en œuvre de l’Agenda ID2020 – voir ci-dessous.
Après la déclaration officielle de la pandémie, l’étape suivante peut être – également sur recommandation de l’OMS ou de certains pays – la « vaccination forcée », sous surveillance policière et/ou militaire. Ceux qui refusent peuvent être sanctionnés (amendes et/ou prison – et vaccination forcée tout de même).
Si une vaccination forcée est effectivement prévue, une autre aubaine pour les grandes entreprises pharmaceutiques, les gens ne savent pas vraiment quel type de cocktail sera utilisé pour le vaccin, peut-être un vaccin à action lente, qui ne fera effet que dans quelques années, ou une maladie qui ne touchera que la génération suivante, ou un agent débilitant du cerveau, ou un gène qui rend les femmes stériles… tout est possible, toujours dans le but de contrôler et de réduire complètement la population. Dans quelques années, on ne saura plus, bien sûr, d’où vient la maladie. C’est le niveau de technologie qu’ont atteint nos laboratoires de guerre biologique (États-Unis, Royaume-Uni, Israël, Canada, Australie…).
Une autre hypothèse, pour l’instant seulement une hypothèse, mais une hypothèse réaliste, est qu’en même temps que la vaccination – si ce n’est pas avec celle-ci, alors peut-être avec une autre, une nanopuce pourrait être injectée, inconnue de la personne vaccinée. La puce peut être chargée à distance avec toutes vos données personnelles, y compris vos comptes bancaires – l’argent numérique. Oui, l’argent numérique, c’est ce qu’ « ils » visent. Vous n’avez donc plus vraiment de contrôle sur votre santé et vos autres données intimes, mais aussi sur vos revenus et vos dépenses. Votre argent pourrait être bloqué ou retiré, en guise de « sanction » pour mauvaise conduite, pour avoir nagé à contre-courant. Vous pourriez devenir un simple esclave des maîtres. En comparaison, la féodalité peut apparaître comme une promenade de santé.
Ce n’est pas pour rien que le Dr Tedros, DG de l’OMS, a déclaré il y a quelques jours que nous devons passer à l’argent numérique, car le papier et la monnaie physique peuvent propager des maladies, en particulier des maladies endémiques, comme le coronavirus. Un précurseur pour les choses à venir ? – Ou pour des choses déjà présentes ? – Dans de nombreux pays scandinaves, l’argent liquide est largement interdit et même une barre de chocolat ne peut être payée que par voie électronique.
Nous nous dirigeons vers un état totalitaire du monde. Cela fait partie de l’Agenda ID2020 – et de ces mesures à mettre en œuvre maintenant – préparé depuis longtemps, notamment par la simulation informatique de coronavirus à Johns Hopkins à Baltimore le 18 octobre 2019, parrainée par le WEF et la Fondation Bill et Melinda Gates.
Bill Gates, l’un des principaux défenseurs de la vaccination pour tous, en particulier en Afrique, est également un grand défenseur de la réduction de la population. La réduction de la population fait partie des objectifs de l’élite au sein du WEF, des Rockefeller, des Rothschild, des Morgen – et de quelques autres. L’objectif : moins de personnes (une petite élite) peuvent vivre plus longtemps et mieux avec les ressources réduites et limitées que la Terre Mère offre généreusement.
Cet objectif avait déjà été ouvertement propagé dans les années 60 et 70 par Henry Kissinger, ministre des affaires étrangères de l’administration de Nixon, co-ingénieur de la guerre du Vietnam, et principal responsable du bombardement semi-clandestin du Cambodge, un génocide de millions de civils cambodgiens non armés. En plus du coup d’État organisé par la CIA et Kissinger le 11 septembre 1973 au Chili, qui a tué Salvador Allende, élu démocratiquement, et mis au pouvoir le dictateur militaire Pinochet, Kissinger a commis des crimes de guerre. Aujourd’hui, il est le porte-parole (pour ainsi dire) de Rockefeller et de leur « Bilderberger Society ».
En savoir plus : Plus qu’un simple virus (en anglais)
Deux semaines après la simulation informatique du centre médical Johns Hopkins de Baltimore, dans le Maryland, qui a « produit » (c’est-à-dire simulé) 65 millions de morts ( !), le virus COVID-19 est apparu pour la première fois à Wuhan. Il est maintenant presque certain que le virus a été amené à Wuhan de l’extérieur, très probablement d’un laboratoire de guerre biologique aux États-Unis.
Voir aussi ceci et cela. (en anglais)
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Qu’est-ce que la fameuse ID2020 ? Il s’agit d’une alliance de partenaires public-privé, dont des agences des Nations unies et la société civile. Il s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l’identité numérique. Le programme exploite les opérations existantes d’enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée à la biométrie. La GAVI, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, s’identifie sur son site internet comme un partenariat mondial pour la santé regroupant des organisations des secteurs public et privé qui se consacrent à la « vaccination pour tous ». La GAVI est soutenue par l’OMS, et il va sans dire que ses principaux partenaires et sponsors sont l’industrie pharmaceutique.
L’Alliance ID2020, lors de son sommet de 2019, intitulé « Rising to the Good ID Challenge », en septembre 2019 à New York, a décidé de déployer son programme en 2020, une décision confirmée par le WEF en janvier 2020 à Davos. Leur programme d’identité numérique sera testé avec le gouvernement du Bangladesh. GAVI, l’Alliance pour les Vaccins, et les « partenaires du monde universitaire et de l’aide humanitaire » (comme ils l’appellent), font partie du parti des pionniers.
Est-ce une coïncidence si ID2020 est mis en place au début de ce que l’OMS appelle une pandémie ? – Ou faut-il une pandémie pour « déployer » les multiples programmes dévastateurs de l’ID2020 ?
Voici ce qu’Anir Chowdhury, conseiller politique du programme du gouvernement du Bangladesh, a à dire :
« Nous mettons en œuvre une approche prospective de l’identité numérique qui donne aux individus le contrôle de leurs propres informations personnelles, tout en s’appuyant sur les systèmes et programmes existants. Le gouvernement du Bangladesh reconnaît que la conception de systèmes d’identité numérique a des implications profondes sur l’accès des individus aux services et aux moyens de subsistance, et nous sommes impatients de faire œuvre de pionnier dans cette approche ».
Wow ! Est-ce que M. Anir Chowdhury sait dans quoi il s’embarque ?
De retour à la pandémie et à la panique. Genève, le siège européen de l »ONU, y compris le siège de l’OMS, est pratiquement abattu. Un peu comme le confinement qui a commencé à Venise et qui s’est ensuite étendu au nord de l’Italie jusqu’à il y a quelques jours – et maintenant le verrouillage couvre toute l’Italie. Un verrouillage similaire pourrait bientôt être adopté par la France – et d’autres États vassaux européens de l’empire anglo-sioniste.
De nombreux mémorandums de différentes agences de l’ONU à Genève, dont le contenu est similaire à celui de la panique, circulent. Leur message clé est le suivant : annulez tous les voyages en mission, tous les événements à Genève, les visites au Palais des Nations, à la cathédrale de Genève, aux autres monuments et aux musées. Selon les dernières directives, de nombreuses agences demandent à leur personnel de travailler à domicile et de ne pas risquer d’être contaminé par les transports publics.
Cette ambiance de panique et de peur – dépasse tout sens de la réalité, alors que la vérité n’a pas d’importance. Les gens ne peuvent même plus penser aux causes et à ce qui peut se cacher derrière. Personne ne vous croit (plus), quand vous faites référence à l’événement 201, la simulation du coronavirus, les Jeux militaires de Wuhan, la fermeture le 7 août dernier du laboratoire de guerre biologique de haute sécurité à Fort Detrick, dans le Maryland…. ce qui aurait pu à un moment donné être une révélation pour beaucoup, aujourd’hui est une pure théorie du complot. Le pouvoir de la propagande. Une puissance déstabilisante – déstabilisant les pays et les gens, détruisant les économies, créant des difficultés pour les gens qui peuvent perdre leur emploi, généralement ceux qui peuvent le moins se le permettre.
Aussi, à cette époque, il devient de plus en plus important de rappeler aux gens que l’épidémie en Chine visait le génome chinois. Ce dernier a-t-il ensuite muté pour transgresser les « frontières » de l’ADN chinois ? Quand cela s’est-il produit, si c’est le cas ? Parce qu’au début, il était clair que même les victimes infectées dans d’autres parties du monde, étaient à 99,9% d’origine chinoise.
Ce qui s’est passé plus tard, lorsque le virus s’est propagé en Italie et en Iran, est une autre question, et ouvre la voie à un certain nombre de spéculations.
(1) Différentes souches du virus ont circulé successivement – de manière à déstabiliser les pays du monde entier et à confondre la population et les médias, de sorte que personne, surtout parmi les plus importants, ne puisse conclure que la première souche visait la Chine dans une guerre biologique.
(2) En Iran, je soupçonne fortement que le virus était une forme améliorée du MERS (Middle East Respiratory Syndrome, d’origine humaine, apparu en premier en Arabie Saoudite en 2012, dirigé vers le génome arabe) – qui a été d’une manière ou d’une autre introduit dans les cercles gouvernementaux (par aérosol ?) – dans le but de « changer de régime » par COVID19 – et a causé des décès. C’est le vœu pieux de Washington depuis au moins 30 ans.
(3) En Italie – pourquoi l’Italie ? – Peut-être parce que Washington / Bruxelles voulait frapper fort l’Italie pour avoir été officiellement le premier pays à signer un accord « Belt and Road » (BRI) avec la Chine (en fait le premier était la Grèce, mais personne n’est censé savoir que la Chine est venue au secours de la Grèce, détruite par les frères de la Grèce, les membres de l’UE, principalement l’Allemagne et la France).
(4) Le battage médiatique sur le taux élevé de mortalité par infection en Italie, au moment de la rédaction de ce document : 10 149 infections contre 631 décès = taux de mortalité de 6,2 (comparativement à l’Iran : 8042 infections contre 291 décès = taux de mortalité de 3,6). Le taux de mortalité de l’Italie est presque deux fois plus élevé que celui de l’Iran et presque dix fois plus élevé que celui de l’Europe moyenne. (Ces écarts sont-ils le résultat de l’incapacité à établir des données fiables concernant les « infections », voir nos observations concernant l’Italie ci-dessous).
Pourquoi ? – L’Italie a-t-elle été touchée par la panique virale ? Une souche beaucoup plus forte a-t-elle été introduite en Italie ?
La grippe commune en Europe pour la saison 2019 / 2020, a apparemment tué jusqu’à présent environ 16.000 personnes (aux États-Unis, le nombre de décès est, selon le CDC entre 14.000 et 32.000, selon le site web du CDC que vous consultez).
Se pourrait-il que parmi les décès dus au coronavirus italien, il y ait également des victimes communes de la grippe, car les victimes touchées sont pour la plupart des personnes âgées ayant des problèmes respiratoires ? En outre, les symptômes sont très similaires entre le coronavirus et la grippe ordinaire, et personne ne remet en question et ne vérifie le récit des autorités officielles ?
Peut-être que toutes les souches de coronavirus ne proviennent pas du même laboratoire. Un journaliste berlinois d’origine ukrainienne m’a dit ce matin que l’Ukraine abrite quelque cinq laboratoires américains de haute sécurité spécialisés dans la guerre biologique. Ils testent régulièrement de nouveaux virus sur la population – pourtant, lorsque d’étranges maladies apparaissent dans les environs des laboratoires, personne n’est autorisé à en parler. Quelque chose de similaire, dit-elle, se passe en Géorgie, où il y a encore plus de laboratoires de guerre biologique du Pentagone et de la CIA, et où des maladies nouvelles et étranges se déclarent.
Tout cela rend le tableau composite encore plus compliqué. Le plus important, c’est que ce super battage est motivé par le profit, la recherche du profit instantané, des bénéfices instantanés de la souffrance des gens. Cette panique est cent fois plus importante que ce qu’elle vaut. Ce que ces caïds du monde souterrain, qui prétendent diriger le monde supérieur, ont peut-être mal calculé, c’est que dans le monde globalisé et largement externalisé d’aujourd’hui, l’Occident dépend massivement de la chaîne d’approvisionnement de la Chine, pour les biens de consommation et les marchandises intermédiaires – et, avant tout, pour les médicaments et les équipements médicaux. Au moins 80 % des médicaments ou des ingrédients pour les médicaments, ainsi que pour les équipements médicaux, proviennent de Chine. La dépendance de la Chine occidentale en matière d’antibiotiques est encore plus élevée, soit environ 90 %. Les effets potentiels sur la santé sont dévastateurs.
Au plus fort de l’épidémie de COVID-19, l’appareil de production de la Chine pour tout était presque à l’arrêt. Pour les livraisons qui étaient encore effectuées, les navires de marchandises étaient régulièrement et catégoriquement refoulés de nombreux ports du monde entier. Ainsi, l’Occident s’est mis en mode pénurie de tout en menant une « guerre économique » de facto contre la Chine. Combien de temps cela va-t-il durer ? – Personne ne le sait, mais l’économie chinoise, qui était en baisse de moitié environ, a rapidement retrouvé plus de 80 % de ce qu’elle était avant que le coronavirus ne frappe. Combien de temps cela durera-t-il pour rattraper le retard accumulé ?
Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ? – Une répression totale avec une panique artificiellement induite au point que les gens crient « au secours, donnez-nous des vaccins, affichez police et armée pour notre sécurité » – ou même si le désespoir du public ne va pas aussi loin, il serait facile pour les autorités européennes et américaines d’imposer une phase de siège militaire pour « la protection de la santé du peuple ». En fait, le CDC (Center for Disease Control d’Atlanta) a déjà élaboré des directives dictatoriales et sévères pour une « urgence sanitaire ».
Outre la vaccination forcée, qui sait ce que contiendrait le cocktail de « mini-maladies » injecté, et quels pourraient être leurs effets à long terme. Comme ceux des OGM, où toutes sortes de germes pourraient être insérés sans que nous, les gens du commun, le sachions ?
Il se peut en effet que nous ne soyons qu’au début de la mise en œuvre de l’ID2020 – qui comprend la vaccination forcée, la réduction de la population et le contrôle numérique total de tout le monde – sur la voie d’un ordre mondial unique – et de l’hégémonie financière mondiale – la domination du spectre complet, comme le PNAC (Plan pour un nouveau siècle américain) aime l’appeler.
Une aubaine pour la Chine. La Chine a été délibérément ciblée pour la « destruction économique », en raison de son économie en rapide progression, une économie qui dépassera bientôt celle de l’hégémonie actuelle, les États-Unis d’Amérique, et en raison de la forte monnaie chinoise, le yuan, qui pourrait également dépasser le dollar en tant que principale monnaie de réserve mondiale.
Ces deux événements signifieraient la fin de la domination des États-Unis sur le monde. La maladie du coronavirus, qui sévit maintenant dans plus de 80 pays, a fait chuter les marchés boursiers, une baisse d’au moins 20 % au cours des dernières semaines – et une hausse ; les conséquences redoutées du virus d’un ralentissement économique, voire d’une récession, ont fait chuter les prix de l’essence en deux semaines environ, presque de moitié. Toutefois, sans l’intervention de la banque centrale chinoise, la valeur du yuan par rapport au dollar a été plutôt stable, à environ 7 yuans pour un dollar. Cela signifie que l’économie chinoise, malgré COVID-19, bénéficie encore d’une grande confiance dans le monde entier.
Conseil à la Chine : achetez toutes les actions d’entreprises américaines et européennes que vous pouvez au prix le plus bas du moment sur les marchés boursiers qui se sont effondrés d’un cinquième ou plus, et achetez beaucoup de contrats à terme sur le pétrole. Lorsque les prix se redresseront, vous aurez non seulement gagné des milliards, voire des billions, en Occident, mais vous pourrez également posséder ou détenir des quantités importantes d’actions de la plupart des plus grandes entreprises américaines et européennes, ce qui vous permettra de les aider à décider de leurs projets futurs.
Il y a cependant une petite lueur d’espoir qui oscille à l’horizon plein de nuages sombres. Il pourrait s’agir miraculeusement d’un réveil de la conscience d’une masse critique qui pourrait mettre fin à tout cela. Bien que nous soyons loin d’un tel miracle, quelque part dans un coin caché de notre cerveau, il nous reste à tous une étincelle de conscience. Nous avons la capacité spirituelle d’abandonner la voie du désastre du capitalisme néolibéral occidental et d’épouser à la place la solidarité, la compassion et l’amour les uns pour les autres et pour notre société. C’est peut-être la seule façon de sortir de l’impasse et de la fatalité de la cupidité égocentrique occidentale.
Peter Koenig - The Coronavirus COVID-19 Pandemic: The Real Danger is “Agenda ID2020”
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca
L'auteur, Peter Koenig, est un économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l’environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé dans le monde entier, y compris en Palestine, dans les domaines de l’environnement et de l’eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud.
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Origines Covid: l’Allemagne a dissimulé des informations sur une fuite de labo chinois
Malgré les recherches approfondies menées par de nombreux experts, il reste impossible de définir avec précision les origines du Covid. Alors que la CIA avait publié un rapport indiquant que la théorie de fuite de laboratoire serait la cause la plus probable de la pandémie du Covid-19, avec un « faible degré de confiance ». Selon le NYPOST, le service de renseignement étranger allemand (BND) pencherait également pour une fuite accidentelle du virus depuis un laboratoire chinois, suite à une opération secrète effectuée en 2020 baptisée « Saaremaa ». Néanmoins, cette nouvelle révélation n’a jamais été rendue public, regrettent deux journaux allemands. A ce jour, la Chine, accusée d’avoir minimisé les risques liés au laboratoire P4 de Wuhan, persiste dans son récit d’une origine zoonotique, soutenu par le rapport de l’OMS de mars 2021.
En 2020, le service de renseignement étranger allemand (BND) avait estimé à 80 % voire 90 % la probabilité que le virus à l’origine du Covid-19 ait été accidentellement libéré par l’Institut de virologie de Wuhan. Selon un rapport de Die Zeit et Sueddeutsche Zeitung, ce laboratoire aurait mené des expériences de « gain de fonction », visant à augmenter la transmissibilité des virus pour mieux les étudier. La CIA, de son côté, a déclaré que la théorie de la fuite de laboratoire était « probablement » la plus plausible, bien qu’avec une « faible confiance ». L’agence américaine continue de considérer les deux scénarios (fuite de laboratoire et origine naturelle) comme possibles.
Une évaluation confidentielle du BND
Selon les journaux allemands Die Zeit et Sueddeutsche Zeitung, le service de renseignement étranger allemand (BND) aurait conclu que le virus SARS-CoV-2 aurait pu s’échapper du laboratoire de Wuhan en raison d’expériences de « gain de fonction ». Ces recherches, visant à rendre les virus plus transmissibles, auraient été menées dans des conditions de sécurité insuffisantes, avec de multiples violations des protocoles. Le gouvernement allemand a été rapidement informé de ces conclusions lorsque Bruno Kahl, le directeur du BND, en a fait part directement à Angela Merkel, alors chancelière. Toutefois, ce rapport est n’a jamais été rendu public.
Après qu’Olaf Scholz a pris la tête du gouvernement, le BND a une nouvelle fois informé la chancellerie des conclusions du rapport. Cependant, comme précédemment, aucune information n’a été rendue publique. Ni le Parlement allemand ni l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’ont été mis au courant de ces éléments. Ce rapport est demeuré strictement confidentiel, mais aurait été partagé avec les États-Unis.
Interrogée par la presse allemande, Angela Merkel a refusé tout commentaire. Une position partagée par Helge Braun, alors directeur de la Chancellerie, et Johannes Geismann, secrétaire d’État en charge des services de renseignement, qui ont également gardé le silence sur ce dossier sensible.
Côté américain, la Central Intelligence Agency (CIA) a également émis des réserves sur l’origine naturelle du virus. En janvier 2025, l’agence américaine a déclaré que la pandémie était « plus susceptible » d’avoir émergé d’un laboratoire,sans qu’elle puisse la confirmer. Une thèse qui se rallie ici au FBI, qui avait déjà suggéré en 2023 que la maladie provenait« très probablement » d’un laboratoire de Wuhan.
La Chine rejette les accusations
Le gouvernement chinois a fermement dénié toute responsabilité dans la pandémie. Le ministère des Affaires étrangères a affirmé que l’Institut de virologie de Wuhan n’a jamais mené de recherches sur les coronavirus liés au COVID-19 et n’a pas été impliqué dans la création ou la fuite du virus. Pékin accuse Washington de politiser la question, notamment à travers les enquêtes menées par les agences de renseignement américaines.
Le débat s’est encore compliqué avec les révélations sur les financements américains, via l’EcoHealth Alliance, pour des recherches sur le « gain de fonction » à Wuhan. Peter Daszak, impliqué dans l’enquête de l’OMS, est également critiqué pour des conflits d’intérêts potentiels. Donald Trump, quant à lui, a toujours publiquement soutenu la théorie de la fuite de laboratoire et appelé à des réparations financières de la part de la Chine.
Source: Lalaina Andriamparany - Le Courrier des Stratèges
- Source : Le Courrier des Stratèges