On a administré les vaccins ARNm aux femmes enceintes avant de faire les études sur l’animal. Les résultats chez la souris sont tombés en 2025
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On a administré les vaccins ARNm aux femmes enceintes AVANT de faire les études sur l’animal ! Voilà ce qu’on apprend 4 ans après, en 2025 (on s’en doutait déjà !)
La barrière placentaire ne protège pas le fœtus du vaccin ARNm injecté à la mère (chez la souris qui est un bon modèle pour l’étude du passage transplacentaire chez la femme)
Le passage de l’ARNm des vaccins Covid se fait très rapidement (dans l’heure qui suit la vaccination). L’ARNm persiste dans le foie et la rate pendant au moins 3 mois après la naissance. L’ARNm est traduit en protéine Spike (toxique) chez le fœtus. Donc lorsqu’on vaccine une femme enceinte, on vaccine aussi le fœtus et on ne connaît pas les effets de cette vaccination indirecte.
https://childrenshealthdefense.org/covid-vaccine-mrna-placenta-mice-vaccine-safety-pregnant-women mRNA-1273 is placenta-permeable and immunogenic in the fetus 17 février 2025 https://doi.org/10.1016/j.omtn.2025.102489
L’ARNm du vaccin contre la COVID traverse le placenta chez la souris, ce qui soulève des questions sur la sécurité du vaccin pour les femmes enceintes
Selon une étude sur le point d’être publiée dans une revue à comité de lecture, lorsque le vaccin Moderna contre la COVID-19 est administré à des souris enceintes, il traverse le placenta et pénètre dans le fœtus. Cette étude vient s’ajouter aux preuves existantes selon lesquelles les vaccins ne sont pas sûrs pour les femmes enceintes.
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La protéine Spike encore produite 700 jours après l’injection ! Idriss Aberkane avec le Pr. Didier Raoult
Une nouvelle étude révèle que la protéine Spike, initialement censée disparaître en quelques jours, persiste dans le corps de certains individus plus de 700 jours après la vaccination. Cette découverte alarmante soulève des questions cruciales sur les effets à long terme des vaccins à ARN messager.
La protéine Spike, produite par les vaccins à ARNm, était supposée être éliminée rapidement par l’organisme. Cependant, des recherches publiée par l’Université de Yale montrent qu’elle peut persister bien au-delà des délais initialement annoncés. Cette persistance pourrait être liée à l’intégration de résidus d’ADN dans le génome humain, un phénomène inattendu et potentiellement dangereux.
La présence prolongée de la protéine Spike dans l’organisme soulève des inquiétudes quant aux effets à long terme sur la santé. Des chercheurs ont observé que cette protéine peut pénétrer dans les noyaux cellulaires et perturber les mécanismes de réparation de l’ADN, augmentant ainsi le risque de cancers et de maladies auto-immunes. De plus, la protéine Spike est connue pour être toxique pour l’endothélium des vaisseaux sanguins, ce qui pourrait entraîner des complications cardiovasculaires.
- Source : Le blog de Patrice Gibertie