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Jeudi, 31 Juill. 2025

Quand l’Europe et Bill Gates décident de liquider l’élevage français : Une crise trop bien organisée ?

Auteur : Yoann | Editeur : Walt | Mercredi, 30 Juill. 2025 - 19h27

Sous la présidence d’Emmanuel Macron, l’agriculture française traverse une crise sans précédent. Les éleveurs et agriculteurs, piliers de notre souveraineté alimentaire, font face à des politiques destructrices imposées par des directives européennes et des influences mondialistes. Entre résurgences soudaines de maladies animales, abattages massifs, et vaccination obligatoire, un agenda inquiétant semble se dessiner, mettant en péril l’indépendance agricole de la France.

Une vague de maladies opportunes : coïncidence ou stratégie ?

Depuis l’été 2025, une série de maladies animales, comme la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), a fait une apparition brutale en France, notamment en Savoie et Haute-Savoie. Selon le ministère de l’Agriculture, 39 foyers de DNC étaient recensés au 25 juillet 2025, entraînant l’abattage de plus d’un millier de bovins et le blocage de 200 tonnes de fromages. Cette maladie, apparue pour la première fois en France le 29 juin 2025, après une éclosion en Sardaigne, soulève des questions. Pourquoi ces épidémies surgissent-elles subitement ? Pourquoi les solutions proposées – vaccination massive et abattages systématiques – semblent-elles inefficaces, voire contre-productives ? En Sardaigne, malgré une vaccination précoce, la situation reste critique, ce qui interroge la fiabilité des mesures imposées. Pourquoi le traitement à l’Ivermectine est-il négligé ? Une façon d’ouvrir un marché captif à l’industrie productrice de vaccins, comme lors de la pandémie de covid ?

L’influence de l’Union européenne : une perte de souveraineté

Les directives européennes jouent un rôle central dans cette crise. L’Union européenne impose des abattages systématiques des troupeaux infectés, même lorsque la majorité des animaux sont sains. Cette politique, qualifiée de « dépeuplement total » par le ministère de l’Agriculture, est justifiée comme une nécessité pour enrayer la propagation des virus. Pourtant, des syndicats comme la Confédération paysanne et la Coordination rurale dénoncent une approche inhumaine et inefficace, plaidant pour des abattages ciblés et des études approfondies. Ces obligations européennes, combinées à la gestion des vaccins via la banque de vaccins de la Commission européenne, privent la France de toute autonomie dans la gestion de ses crises agricoles. Cette soumission à Bruxelles met en lumière une perte de contrôle sur notre politique agricole.

Les liens troubles avec des intérêts mondialistes

Derrière ces mesures, des influences extérieures soulèvent des soupçons. L’organisation GALVmed, partenaire de l’État français pour la vaccination des bovins, est hautement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. Cette dernière, connue pour son implication dans les vaccins humains, semble étendre son emprise sur l’agriculture mondiale. De plus, Bill Gates investit massivement dans la viande de synthèse, un secteur qui bénéficierait de l’effondrement de l’élevage traditionnel. Parallèlement, l’UE s’apprête à finaliser l’accord de libre-échange Mercosur, qui permettra l’importation de 99 000 tonnes de bœuf sud-américain, tandis que la France est poussée à réduire son cheptel de 25 à 33 % d’ici 2050 pour répondre aux objectifs climatiques européens. Ces coïncidences interrogent : s’agit-il d’une stratégie pour remplacer l’agriculture locale par des importations et des alternatives synthétiques ?

La détresse des éleveurs : un drame humain et économique

Les conséquences de ces politiques sont dévastatrices pour les éleveurs. Les abattages massifs provoquent des drames humains. Les témoignages rapportent des éleveurs en larmes, confrontés à la destruction de leur travail et de leur patrimoine. Cette situation exacerbe une crise morale et psychologique déjà alarmante, marquée par un taux élevé de suicides dans le monde agricole. Les blocages de fromages et la perte de revenus menacent la survie des exploitations, tandis que la FNSEA, principal syndicat agricole, reste étrangement silencieuse face à ces mesures radicales.


- Source : Le Média en 4-4-2

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