Trump signe un décret et retire les Etats-Unis de l’Organisation mondiale de la santé : « L’OMS nous a escroqués »
Dès son retour au pouvoir, Donald Trump a frappé fort. Le président américain a signé un décret historique retirant les États-Unis de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Cette décision s'inscrit dans la continuité de ses critiques virulentes envers l'institution onusienne, il détruit ainsi les rêves de prise de contrôle de la santé mondiale de Bill Gates et de Big Pharma.
L’OMS dans le collimateur : une critique justifiée ?
« L’OMS nous a escroqués », a déclaré Donald Trump en signant ce décret, pointant du doigt un écart flagrant entre les contributions financières des États-Unis et celles de la Chine. En effet, les États-Unis, principal donateur de l’organisation, assurent une part substantielle de son budget grâce à des cotisations indexées sur leur PIB et des contributions volontaires. Pourtant, selon Trump, les résultats de l’OMS ne reflètent pas cet engagement financier.
En appelant les agences fédérales à suspendre tout soutien à l’OMS et à identifier des partenaires américains et internationaux crédibles pour assumer ses activités, le président américain remet en question la pertinence d’une institution qu’il juge inefficace et dominée par des intérêts étrangers.
Les conséquences économiques et sociales des politiques sanitaires
Cette démarche est aussi un signal fort contre les politiques sanitaires imposées sous l’égide de l’OMS. L’obligation vaccinale, les confinements prolongés et les recommandations excessivement strictes ont été à l’origine d’une véritable hémorragie économique, allongeant la dette des pays et marginalisant une partie importante de la population.
ALERTE INFO
— Jon De Lorraine (@jon_delorraine) January 21, 2025
Donald Trump signe la sortie des États-Unis de l'OMS.
(Organisation Mondiale de la Santé) pic.twitter.com/7tQqPWnF3I
Pour de nombreux citoyens et experts, ces mesures, présentées comme nécessaires, ont provoqué une destruction massive des entreprises locales, une augmentation du chômage et une fracture sociale durable. Le lobbying des grandes compagnies pharmaceutiques, souvent pointé du doigt, soulève également des questions sur l’impartialité de l’OMS et son rôle dans la gestion de la crise sanitaire.
Une vision pour une santé publique plus souveraine
En se retirant de l’OMS, Donald Trump propose une réorientation radicale de la santé publique vers des modèles plus locaux et autonomes. Selon lui, les États-Unis disposent de l’expertise et des ressources nécessaires pour assumer un leadership sanitaire sans dépendre d’une organisation internationale critiquée pour son manque de transparence et son inefficacité.
Si cette décision a suscité des controverses, elle traduit une volonté de rétablir un équilibre entre les libertés individuelles, la responsabilité gouvernementale et la nécessité de protéger l’économie. Pour Trump, il ne s’agit pas de nier les enjeux sanitaires mondiaux, mais de refuser des mesures imposées par une élite déconnectée des réalités locales.
Un tournant majeur pour les États-Unis et le monde
Le retrait des États-Unis de l’OMS marque une nouvelle ère dans la gestion mondiale des crises sanitaires. Cette décision, bien qu’audacieuse, soulève des questions essentielles sur le rôle des organisations internationales, l’indépendance des États et l’avenir de la santé publique.
Donald Trump, en affirmant ses convictions, défie le statu quo et ouvre un débat nécessaire. Reste à savoir si cette stratégie permettra aux États-Unis de définir un nouveau modèle de réponse sanitaire, plus adapté aux besoins de ses citoyens et moins soumis aux pressions des lobbys et des institutions globales.
- Source : Le Média en 4-4-2