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Vendredi, 29 Mars 2024

[A vomir…] « Il va être temps de s’occuper de ceux qui refusent le vaccin »

Auteur : Olivier Demeulenaere | Editeur : Walt | Mardi, 04 Mai 2021 - 10h15

La chronique du Boucher. Non, je n’invente rien, ce terroriste de la pseudo-pensée vaccinale s’appelle bien ainsi…

« La bête n’est pas sur le déclin, elle n’est pas morte, elle peut revenir, donc elle reviendra. Pour en finir une bonne fois pour toutes, il faut vacciner tout le monde ou presque ».

La bête, rien que ça. On croirait entendre le poudré de l’Elysée nous annoncer l’arrivée de la « bête de l’événement »… Ils sont tous satanistes chez les thuriféraires du N.O.M. ?

Dans l’esprit de ces malades, ce Boucher le reconnaît sans fard, il s’agit de « rendre la vie si dure aux résistants qu’un grand nombre acceptera la piqûre et qu’à la fin, le nombre de vaccinés aura augmenté suffisamment pour que l’immunité collective soit obtenue (sic) sans qu’il soit besoin de rendre véritablement obligatoire la piqûre. C’est possible mais pas garanti. Ce sera un bon test sur le degré d’irrationalité et d’égoïsme (sic) dans les sociétés. Si la détermination des antivax (sic) ne plie pas et si leur nombre ne reflue pas, les gouvernements devront imposer, comme avec le confinement (sic), la santé collective contre la liberté individuelle. Les beaux jours reviennent, les lourds conflits aussi ».

Tant de mensonges en un seul petit paragraphe !

Nous sommes des résistants, il a raison. Il va donc être temps de s’occuper de reconquérir nos droits et nos libertés. A commencer par le droit de décider nous-mêmes de ce qui est bon pour notre santé… en faisant comprendre aux occupants, entre autres, que c’est à nous qu’il revient de consentir ou non à nous faire injecter un code génétique dans l’organisme

Notre liberté comme notre santé en dépendent. C’est une guerre que ces salauds nous font et cette guerre, nous devons la gagner. OD

***

« Aux Etats-Unis, on peut croire la bataille contre le virus en passe d’être gagnée. L’impressionnante logistique mise en place a permis en quatre mois et demi de vacciner 100 millions de personnes (30 % de la population avec deux doses, 44 % avec une première dose). On a tous vu les images des immenses vaccinodromes et vaccinodrives coordonnés par l’US Army. Mais depuis quelques jours, dans certains Etats, le rythme s’effondre, faute de candidats. A Arlington, au Texas, terre républicaine, deux centres ont dû fermer, faute de patients. Le gouvernement s’interroge gravement : comment vacciner le reste des Américains, les hésitants, les sceptiques et les antivax ?

L’Europe, la France n’en sont pas là. Elles sont encore dans la première phase, celle où ce n’est pas le manque de candidats mais le manque de doses qui freine, pénurie d’offre pas de demande. Mais la question se posera aussi, dès cet été. Si l’on veut en finir véritablement avec cette pandémie, il faut atteindre le fameux seuil de « l’immunité collective », autour de 70 % de la population vaccinée (mais sans doute plus si le variant devient très virulent), à partir duquel le virus ne trouve plus assez de victimes pour se reproduire et décline. Comme les frontières sont perméables nonobstant toutes les barrières et que la bête peut se cacher dans une sous-population quelque part puis muter et réattaquer la planète entière, la question est en vérité mondiale : il faudra vacciner dans le monde entier au moins 70 % des 7,7 milliards d’individus sur Terre. Nous en sommes loin.

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