Soignants : la HAS « envisage » de cesser de se moquer du monde
« Envisageant » de suspendre l’obligation vaccinale qui était censée justifier l’inique mise à pied des soignants non-inoculés, la HAS, en espérant se sauver la mise, va probablement ouvrir la boîte de Pandore. Les suspensions comparables ayant déjà été révoquées dans tous les autres pays que Davos avait convaincus de commettre cette forfaiture – et alors que l’Autriche (qui était allée jusqu’à l’obligation universelle) entre en repentance covidienne –, les tergiversations de la HAS prenaient de toute façon un air de combat d’arrière-garde.
Et, comme la volte-face autrichienne a permis de constater, chez les politiciens mouillés, une claire intention de se servir des experts impliqués dans la supercherie comme de fusibles et de boucs-émissaires à livrer à la vindicte populaire, on peut aussi penser que les « sages » de la HAS – à un mois de l’ouverture du premier « procès Pfizer » en Allemagne – envisagent déjà leur défense. Et s’efforcent d’ores et déjà de diluer, eux aussi, la responsabilité, en s’abritant derrière une « consultation publique ».
Réintégration des soignants, ou amnistie pour la HAS ?
Les effets « primaires » des fameuses injections – c’est-à-dire leur efficacité dans le traitement génique d’une pandémie imaginaire – restant – et pour cause – durablement inconnus, on commence en effet, en revanche, à connaître de mieux en mieux leurs effets « secondaires » – lesquels ont déjà été comparés à un génocide par un député tory du Parlement britannique.
C’est donc de complicité d’empoisonnement que les experts de la HAS – tout comme l’ensemble de l’expertise davosienne sur fonds Bill Gates – auront probablement à répondre tôt ou tard. Ils pourraient donc, comme toute l’équipe Schwab en pleine débandade, finir par s’exclamer, avec Heidegger, que « seul un dieu peut encore nous sauver ! » Reste à choisir entre le dieu Zelensky et le dieu Poutine – à moins qu’un dieu extraterrestre, passant par là…
- Source : Le Courrier des Stratèges