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Jusque où va t'on descendre

Auteur : Tyler Durden | Editeur : Stanislas | Samedi, 10 Août 2013 - 12h57


Apogée et déclin, chaque époque connaît à un moment donné de son existence cette lente descente vers l'abîme. Ce n'est pas un fait nouveau. Nous ne regardons qu'à l'échelle de nos vies en oubliant le passé, son histoire, son déroulement.

Je lis Renaud Camus qui parle du grand remplacement sous-entendu, le remplacement d'une civilisation par une autre par un long processus d'intégration voulu ou non et qui à un moment donné dérape. Les romains l'ont connu, un impérialisme qui vise à soumettre différentes cultures  au nom d'un empire, bien connu aussi des grecs, de la dynastie macédonienne et son emprise sur les confins du monde connu, l’Asie, par Alexandre le Grand.

Vous l'aurez compris la mécanique de mouvement des peuples n'est pas une nouveauté. Pendant l'antiquité, le maître était clairement défini et il n'y avait rien de péjoratif à voir la pureté du sang, de la race, de la lignée, comme l'élément déterminant de domination, aussi bien chez les grecs, romains, mais aussi incas, indiens, africains, germains à d'autres époques, dans la volonté de définir une identité pour exprimer son appartenance. Ce qui régissait la symbiose mondiale fut le rapport de force entre dominé et dominant. C'est la base de toute domination, c'est ce qui fait une grande civilisation. Une autorité acquise par la force, la culture et l'intelligence de son peuple. Voilà la suprématie des grands ethnies. On nous a arraché la possibilité de faire de notre civilisation une grande civilisation où l'individu, par son potentiel, sert sa communauté et grandit sa nation.

Les forces obscures, par un vaste jeu pseudo démocratique, ont enraciné leur doctrine dans la société. Tel un virus qui se propage, ils utilisent la modernité ou l'avancée technique comme un processus immuable. De sorte que la science sert la destruction de l'origine de l'homme où tout s'explique par des formules mathématiques ou encore la sainte république qui châtie toute autre forme de pensée qui n'est pas celle du système. Un travail de sape contrôlé et voulu par le "Mal" judéo-maçonnique. Dorénavant aux oubliettes l'individu, vive la république prédatrice, qui s'est laissée violer par le marxisme et le socialisme, purs produits juifs, pour abandonner une société d'ordres au profit d'une société de classes. Théories fumeuses de Marx et Engels où l'individu n'existe plus que sous la forme d'ensemble humain et sert les intérêts de la classe, gérés par les cadres. Un modèle qui perdure depuis le XIXéme siècle. Marx, sombre théoricien, juif ashkénaze. Était il bon de le rappeler?
 
2013, rien ne change, si ce n'est l'appauvrissement général, dans tous les domaines. Ne vous méprenez pas, le capitalisme n'est rien d'autre qu'une extension marxiste. On ne change rien, nous sommes toujours au XIXéme siècle, toujours dans ce système de classe, cloisonné, prison démocratique.

J'entends les aficionados du NWO qui se préparent à l'unification du monde, les rendant stériles de toute action, attentiste d'un fait déjà actée. Globalisation, mondialisme, un semblant de différence nationale pour ne pas brusquer l'esprit abruti moyen. Les maîtres ne sont plus définis, rien à voir avec le projet de pureté des romains mis en déclin par Caracalla qui octroya la citoyenneté à n'importe qui, ce qui prouve l'hérésie de l'assimilation, l'intégration, le déclin s’opère au moment où on rompt avec le cadre originel de la structure civilisatrice. Un Soral par exemple qui prône une réconciliation est dans l'erreur totale. Rétablissons la vérité sur cet énergumène, il utilise ces créatures pour servir ses intérêts. Sa création lui échappe et au final il ne fait que servir la soupe à ses "ennemis".

L'élite agit ainsi dans l'ombre avec des familles indéboulonnables qui régentent nos vies, les maîtres ne sont plus clairement définis et nous sommes devenus une sous culture de la culture dominante, prédation par l'argent, destruction des cadres fédérateurs des nations par des étapes de déstabilisation: grandes guerres, abandon du pouvoir régalien, crise économique, révolution libéral-libertaire, clivage politique, cirque politique et pour finir, fin des valeurs sociétales.

Ils contrôlent l'ensemble des institutions et ont lavé nos cerveaux pour nous faire penser à leur manière. J'entends des personnes s'offusquer de ce constat et chercher une solution alternative, des solutions ubuesques véhiculées par le neuneu moyen de gauche ou même de droite. Il n'y en a pas. La seule solution est la prise de pouvoir par la force pour faire de notre civilisation une grande civilisation. Une culture pour un idéal, faire renaître la pureté des races européennes pour nous sauver. Nous ne gagnerons que par la force de notre engagement.

Mais le choix est difficile, abandonner ce que nous connaissons pour construire un nouveau système? Honorer ses origines pour faire de notre civilisation une grande civilisation?
Le temps n'est plus aux questions sans réponses ou aux réponses évasives. Il est temps d'abattre ceux qui nous serrent le cou et de nos bras arracher ces parasites qui depuis plus d'un siècle nous collent la tête sous l'eau en nous culpabilisant d'être ce que nous devrions être, une civilisation rayonnante et forte en Europe. Un peuple uni par un idéal de pureté.


- Source : Tyler Durden

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