GIEC, les «scientifiques» sont nommés par les politiques, les sceptiques exclus, pas d’archéologues, d’historiens, de géographes ou de physiciens purs, seulement des croyants

Le biais de confirmation, également dénommé biais de confirmation d’hypothèse, est un mécanisme cognitif qui consiste à privilégier les informations confirmant ses idées préconçues ou ses hypothèses, ou à accorder moins de poids aux hypothèses et informations jouant en défaveur de ses conceptions, ce qui se traduit par une réticence à changer d’avis. Ce biais se manifeste chez un individu lorsqu’il rassemble des éléments ou se rappelle toutes les informations mémorisées de manière sélective pour les interpréter d’une manière biaisée.
Les politiques avaient besoin de faire peur avec le réchauffement climatique. La sélection des experts du Giec conduit à un biais de confirmation , ne sont retenues que les indications favorables ,les scientifiques dépendent de financements pour leurs recherches, et que les institutions favorisent les projets alignés sur le narratif climatique dominant, ce qui pourrait influencer indirectement la composition des équipes du GIEC.
Les scientifiques du Groupe de travail I du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) sont nommés par le Bureau du GIEC, avec une implication particulière des coprésidents du Groupe de travail I et de leur unité d’appui technique. Voici le processus en détail :
- Proposition des candidats : Les experts sont proposés par les États membres du GIEC (195 pays) et les organisations observatrices (comme des ONG ou des institutions scientifiques). Ces propositions sont envoyées sous forme de listes de candidats, mais le Bureau peut également nommer des experts non proposés, en fonction de leurs compétences.
- Sélection par le Bureau : Le Bureau du GIEC, qui inclut les coprésidents du Groupe de travail I (actuellement Robert Vautard pour la France et Xiaoye Zhang pour la Chine pour le 7e cycle), sélectionne les scientifiques en fonction de plusieurs critères mais A L EXCLUSION DES SCEPTIQUES
Dans le Groupe de travail I du GIEC (AR6), environ 60-70% des contributeurs sont des climatologues (météorologues, océanographes, paléoclimatologues), et 20-30% sont des physiciens (physique atmosphérique, radiative, modélisation), avec un chevauchement significatif
La prédominance des climatologues peut marginaliser des perspectives physiques fondamentales (par exemple, thermodynamique planétaire, comme Nikolov & Zeller, 2017, dans vos références)
La surreprésentation des pays développés (73%,) peut orienter les priorités du WG1 vers des modèles complexes (CMIP6), au détriment d’approches alternatives (par exemple, GCR, évoqués par Svensmark dans vos références).
Donnez moi des noms d’historiens, de géographe d’archéologues dans le groupe 1 du GIEC
Le Groupe de travail I (GT I) du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) se concentre sur les fondements scientifiques physiques du changement climatique, comme les processus atmosphériques, océaniques et glaciaires. Par conséquent, il est principalement composé de climatologues, physiciens, océanographes, glaciologues et modélisateurs,
Historiens :
Aucun historien n’est explicitement identifié comme auteur principal ou coordinateur dans le GT I du GIEC, car cette discipline est rarement directement impliquée dans l’analyse des bases physiques du climat. Les historiens du climat, comme ceux étudiant les archives historiques pour reconstituer les variations climatiques (par exemple, Emmanuel Le Roy Ladurie en France), peuvent voir leurs travaux cités dans les rapports, mais ils ne sont pas auteurs. Aucune source consultée ne mentionne un historien spécifique dans le GT I.
Géographes :
Quelques géographes, notamment ceux spécialisés en géographie physique ou en paléoclimatologie, ont contribué au GT I. Un exemple notable est Mark Serreze (États-Unis), géographe et climatologue, directeur du National Snow and Ice Data Center, qui a participé à des travaux sur les climats arctiques et a été impliqué dans des rapports du GIEC, y compris potentiellement le GT I.
C. W. Thornthwaite (1899–1963, États-Unis), géographe et climatologue connu pour sa classification climatique, est mentionné dans des contextes historiques, mais il n’a pas contribué directement au GIEC, étant décédé avant sa création.
Les géographes du GT I sont rares, car la géographie humaine est plus souvent représentée dans les groupes II et III. Aucun autre nom spécifique de géographe n’est clairement associé au GT I dans les sources disponibles.
Archéologues :
Aucun archéologue n’est identifié comme auteur dans le GT I. L’archéologie environnementale, qui étudie les interactions entre sociétés anciennes et climat, peut fournir des données utilisées par le GIEC (par exemple, pour les reconstructions paléoclimatiques), mais les archéologues eux-mêmes ne sont pas directement impliqués dans la rédaction des rapports du GT I.
- Source : Le blog de Patrice Gibertie