Conférence mondiale 2026 sur le climat : ça va être « show » !

En 2026, la COP 30, trentième mascarade mondiale sur le climat, s’installera à Kiev, en Ukraine. Oui, l’Ukraine, classée 122e sur 180 pays dans l’indice de perception de la corruption 2023 par Transparency International. Un pays où, depuis février 2022, des centaines de milliards d’euros et de dollars d’aide occidentale s’évaporent dans des réseaux opaques, comme l’a révélé le Kyiv Independent le 28 février 2025, avec le licenciement de hauts fonctionnaires de Kiev impliqués dans des schémas frauduleux de gestion foncière. L’ONU prétend que choisir Kiev symbolise la « résilience » face à la guerre, mais organiser une conférence climatique dans ce bourbier est une gifle aux contribuables. C’est l’aveu d’un système mondialiste qui fanfaronne à visage découvert.
Une entourloupe à 300 milliards
La COP 29, à Bakou, a posé les bases du scandale. Dans la capitale de l’Azerbaïdjan, 10e pays le plus corrompu en 2006, les pays développés ont promis 300 milliards de dollars par an d'ici à 2035 pour 194 pays pauvres, soit 1,5 milliard par pays, dans un accord visant 1,3 trillion avec le privé. Officiellement, cet argent combat un réchauffement imputé à l’humain. En réalité, comme l’aide à l’Ukraine, il risque de garnir les coffres de dirigeants aux ordres, pendant que les populations trinquent. Cette « escrologie » fait écho à la crise Covid. Confinements, pass sanitaires, et vaccins, aux effets présentés comme certains et positifs par les politiques, mais dont ce sont les risques qui se révèlent supérieurs aux bénéfices (jusqu’à 4.5 millions d’effets secondaires en France), ont été imposés sous le zèle complice de polices et de juges censés protéger les peuples.
Les Français en ont assez
Un sondage MIS Group pour FranceSoir/BonSens.org des 27-28 mars 2025 révèle une défiance massive : 77 % des Français exigent une révision des politiques climatiques, jugées dogmatiques, et 66 % dénoncent les Zones à Faible Émission (ZFE) comme « discriminatoires ». À Paris, les amendes de 135 € pour un véhicule non conforme, couplées à la surveillance par caméras, transforment les villes en laboratoires de contrôle social. À Lille et Marseille, des automobilistes ont bloqué des routes en mars 2025 pour protester contre ces mesures punitives, qui frappent les classes populaires pendant que les industries polluantes et le transport maritime – responsables de 30 % des émissions mondiales – restent intouchés.
Le CO2, bouc émissaire d’une science capturée ?
Une étude publiée le 21 mars 2025 dans Science of Climate Change, dirigée par l’IA Grok 3 beta et des scientifiques comme Willie Soon, secoue les dogmes : le CO2 anthropique ne serait pas le principal moteur du réchauffement, qui dépendrait davantage de facteurs naturels comme les variations solaires. Critiquée pour sa publication dans une revue moins prestigieuse que Nature et son manque de consensus, cette étude ouvre néanmoins un débat légitime, ignoré par un GIEC accusé de privilégier des modèles biaisés au service d’agendas politiques. Pourtant, le GIEC, soutenu par des milliers d’études peer-reviewed, maintient que le CO2 est responsable de 50 % du réchauffement observé. Les Français, eux, sont prêts à écouter : 74 % veulent que le gouvernement considère ces voix dissidentes.
Biodiversité ou spoliation des terres ?
Le Plan Biodiversité 2025-2030, adopté à Paris en avril 2025, promet de protéger les écosystèmes urbains tout en luttant contre le climat. Mais les Français y voient une nouvelle excuse pour restreindre leurs libertés, comme le note le rapport Lesgards. Derrière les discours verts, l’« escrologie » mondialiste vise à spolier les terres agricoles pour les livrer aux lobbys agroalimentaires, rêvant d’un monopole sur la nourriture – insectes, OGM, viande synthétique – et d’un contrôle sur l’accès à l’eau. Les agriculteurs néerlandais, qui bloquaient les autoroutes en 2023 contre des mesures similaires, l’ont bien compris. Pendant ce temps, la surconsommation et la pollution industrielle sont éludées.
Un mondialisme à visage découvert
Depuis la crise Covid, orchestrée selon certains pour soumettre des milliards d’humains, les masques tombent. Le traité pandémique de l’OMS, en voie d’adoption en mai 2025 et soutenu par la plupart des pays (sauf les États-Unis et l’Argentine qui se sont retirés), donne à une organisation non élue un pouvoir sur les politiques sanitaires. La COP 30, dans une Ukraine gangrénée par la corruption, suit la même logique : un spectacle où des dirigeants comme Zelensky, Macron (dont 76 % des Français réfutent la gestion), ou von der Leyen partagent le butin des contribuables sous prétexte de sauver la planète.
Et cette « arnaque mondialisée » est tellement bien ficelée désormais, que l'inventeur de « l'escrologie » n'a plus besoin de prendre la parole, à savoir tant la propagande a dépassé toutes ses espérances. Aujourd'hui il profite de son Prix Nobel, qu'il partage avec le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. Le GIEC a été créé en 1988 par l’Organisation météorologique mondiale et par le Programme des Nations unies pour l’environnement. Il est composé à 100% d'hommes politiques et d'hommes d'affaires non-élus, dont aucun n'est scientifique, ni encore moins un expert authentique du climat. Et qui est l'inventeur de cette mafia mondiale du climat ? Albert Algore, dit « Al Algore. » À ne pas confondre avec « Al Capone » bien sûr. Car évidemment... ça n'a rien à voir.
Et maintenant ?
La COP 30 à Kiev ne sera pas une conférence sur le climat, mais un nouvel acte d’un mondialisme qui méprise les peuples. Les Français, avec 75 % percevant une corruption généralisée, exigent du concret : moins d’impôts (81 % s’y opposent), moins de restrictions inutiles, et une science libérée des agendas politiques. Plutôt que de gaver les lobbys agroalimentaires avec des terres spoliées, les gouvernements pourraient financer des coopératives agricoles locales, transparentes et respectueuses des citoyens, pour une écologie sans contrôle totalitaire. La révolte gronde, des Pays-Bas à la France. Kiev, 2026 : le show risque d’être explosif.
- Source : France-Soir