Ces voix dans nos têtes – L’ingénierie sociale moderne dans le «monde libre» (2/3)

Après s’être fait la main sur la justification de la guerre par la création d’une image monstrueuse de l’ennemi extérieur, la propagande moderne (ingénierie sociale, manufacture du consentement), invention éminemment moderne, se consacre à la domestication et au conditionnement des populations du monde libre, et ce par l’idéalisation du quotidien par la publicité, l’infantilisation, l’assujetissement au plaisir et l’effacement des repères traditionnels par le relativisme, c’est-à-dire le brouillage des notions de bien et de mal, pour en arriver progressivement au monopole de la perception.
Cet article a été publié dans le numéro 483 de l’Antipresse, journal de Slobodan Despot.
La démocratie moderne nécessite, pour être gouvernable, l’assentiment des populations. Mais elle n’est pas très regardante sur la manière dont cet assentiment est obtenu, voire… arraché!
C’est pour créer cette illusion qu’on a inventé le « suffrage universel » : c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l’aide de suggestions appropriées, y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé ; nous ne savons plus qui a parlé de « fabriquer l’opinion », et cette expression est tout à fait juste, bien qu’il faille dire, d’ailleurs, que ce ne sont pas toujours les dirigeants apparents qui ont en réalité à leur disposition les moyens nécessaires pour obtenir ce résultat.
René Guénon, La crise du monde moderne
INGÉNIERIE DU CONSENTEMENT
Le propre des démocraties occidentales, écrivait Edward Bernays, est d’avoir besoin de l’assentiment des populations pour engager des opérations de grande envergure. Voilà qui peut sembler rassurant aux oreilles des habitants de ces démocraties conditionnés dès l’école primaire pour croire que c’est eux qui exercent le pouvoir par le biais du vote. À ceci près que ces “démocraties” ont aussi les moyens de « manufacturer ce consentement collectif » à commencer par le monopole de la falsification linguistique : la propagande s’appelle désormais Relations publiques ou information… L’ingénierie sociale, qui est son appellation savante, est enseignée dans des universités. Remplacé par des notions floues (liberté, égalité, démocratie et désormais le mantra mondialiste Équité, diversité, inclusion) et dirigé vers des régimes ennemis ou désignés comme tels, le mot propagande suggère :
– Que l’influence est visible, comme les affiches de régimes totalitaires reproduites dans les manuels d’histoire ;
– Que le lavage de cerveau est une pratique exotique ;
– Que la propagande n’existe pas en régime démocratique ;
– Que les citoyens n’en seraient pas dupes s’ils y étaient exposés (le flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute).
Cela participe de ce qu’Aldous Huxley appelait « Totalitarisme non violent » : l’exercice d’un pouvoir paradoxal se présentant sous des dehors bienveillants plutôt qu’autoritaires. Toutes les libertés individuelles sont étranglées par l’hyperlégalisme, dans l’illusion que loi, pouvoir et justice convergent, malgré les preuves éclatantes du contraire. Ces libertés sont symboliquement protégées par la Déclaration des droits de l’homme dont l’article 3 stipule : « Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. » Manière de dire sans le dire que les âmes sont la propriété de la Nation.
On inculque aux élèves de l’enseignement secondaire qu’ils sont le produit des Lumières. C’est vrai. L’enseignement étant laïque, ils sont laissés dans l’ignorance de ce qu’ils doivent à l’héritage catholique. Contre l’égalitarisme devant Dieu ou tout principe réellement transcendant, les Lumières établissaient déjà une différence entre l’homme ordinaire et l’homme éclairé (Rousseau, d’Holbach, Restif de la Bretonne : voir L’homme rétréci par les Lumières de Xavier martin). Ces “Lumières” qui ne sont pas faites pour l’homme ordinaire, elles sont plutôt faites pour l’éblouir quant aux intentions des despotes éclairants d’aujourd’hui. Réfractées par l’écran de télévision, elles transforment tous les lieux où elles sont diffusées sous forme “d’information” en cavernes platoniciennes. L’appareil d’État maintient les populations sous contrôle au moyen d’une formule qui pourrait se résumer ainsi : flatter (« peuple souverain »), culpabiliser… Mais aussi intimider, terrifier.
MATRAQUAGE PARANOÏDE
Depuis des attentats du 11 septembre 2001, la déclaration scandaleuse du président George W. Bush « Si vous n’êtes pas avec nous, vous êtes contre nous » est devenue la ligne de conduite des “démocraties libérales”, dans lesquelles plus aucun débat n’a lieu qu’entre personnes du même avis. L’opinion est la cible d’une opération permanente visant à la persuader qu’elle vit dans un monde libre, et les campagnes de calomnie nécessitent moins l’intervention d’officines douteuses dans la mesure où le langage politiquement correct a intégré les armes de dissuasion : « antisémite », « raciste » (distinction entre deux termes qui pose des questions gênantes), « extrémiste » (de droite uniquement, l’extrémisme de gauche ne semblant jamais poser aucun problème), « homophobe », « sexiste », « complotiste », ce dernier mot magique servant à disqualifier toute tentative de s’interroger sur les versions officielles. Tous ces mots accusateurs n’apparaissent pas par hasard : ils participent d’une stratégie de division (mot dont l’étymologie vient de diable). Depuis la création de l’antiracisme d’État en 1985 (en France) ces mots font l’objet d’un soin particulier puisqu’ils servent à faire oublier que toute véritable oppression s’exerce du haut vers le bas. Dans Neuro-pirates, Lucien Cerise, fin connaisseur du fonctionnement des services secrets, rapporte que l’emploi renouvelé du mot antifascisme (mouvement dit « antifa ») résulterait d’un brainstorming de la DGSI (anciens Renseignements Généraux) – et le journal Le Monde afin de disqualifier toute critique trop appuyée du système.
MANIPULATION DES MASSES ET LAVAGE DE CERVEAU
Ces techniques de manipulation des masses, difficiles à percevoir quand on y est immergé (c’est le principe même de la télévision, invention dont on avait dès le début deviné le parti qu’on pourrait en tirer, par comparaison avec la TSF) ont beau sembler relativement anodines, il s’agit tout de même d’une forme diluée de lavage de cerveau.
Si cette expression nous vient effectivement des syndromes observés sur les prisonniers américains revenus des prisons de Corée du Nord, et que pendant la Deuxième Guerre mondiale, le conditionnement des pilotes kamikaze japonais avait intéressé les cadres de l’Allemagne hitlérienne, ce serait faire preuve de la mentalité d’un plantigrade affectueux que de croire que ces manipulations mentales étaient vues avec horreur par les services secrets occidentaux. À partir de 1947, la clinique Tavistock, anciennement Bureau britannique pour la propagande de guerre, qui dictait aussi la politique aux forces armées étasuniennes en matière de guerre psychologique, deviendrait l’Institut Tavistock des Relations Humaines (sic) fondé par Frederick Emery, Eric Trist et John Rawlings Rees. Paralèllement, en France, le ministère de la Propagande deviendrait “naturellement” celui de l’Information. Wikipedia et les “vérificateurs de faits” qui ne voient le mal que là où ils sont payés par l’USAID pour le voir, auront beau le « débunker » (comprendre : le négationner), l’Institut Tavistock, créé en même temps que d’autres organismes mondiaux, mais moins discrets : l’UNESCO, l’OMS, la Fédération Mondiale pour la Santé Mentale, etc. s’inscrit dans le projet de création d’un gouvernement mondial. Jacques Attali, Nicolas Sarkozy et Paul Warburg (un des créateurs de la Réserve Fédérale) disent la même chose : « Nous aurons un gouvernement mondial, que nous le voulions ou non. La seule question est de savoir si ce Gouvernement mondial sera instauré par l’adhésion ou par la conquête. » (déclaration 7 février 1950 devant le sénat des États-Unis) Ce projet qui est passé par le renversement méthodique des régimes traditionnels comporte nécessairement un aspect spirituel ou contre spirituel, sorte de transposition du mythe du paradis terrestre inspiré par les utopies (traduit en “bonheur de l’humanité” par le langage maçonnique).
LE CHAOS PAR L’INFANTILISATION DES MASSES
Kurt Lewin qui accompagnait les travaux de Tavistock depuis 1930, est le pionnier de la psychologie du choc, qui permet de modifier le comportement des individus et des groupes. « La proposition la plus significative de Kurt Lewin, au tournant de la Deuxième guerre mondiale, était sa conception d’un “fascisme avec une façade démocratique” […] le trait psychopathologique commun de toute exigence formulée par un pouvoir fasciste [même pourvu d’un visage « démocratique », donc] serait l’infantilisme, c’est-à-dire selon lui « l’extension du concept de famille autonome visant à bloquer la réalité du monde extérieur. » (Daniel Estulin Tavistock Institute, social engineering the masses) (4) Il ne faut donc pas prendre ici le terme « fasciste » dans son sens strictement historique mais dans son acception recouvrant toute relation abusive entre le pouvoir et ceux qui le subissent, puisque les officines à l’origine de la propagande scientifique de masse sont nées en « démocratie » et qu’elles y sont toujours actives, notamment par le biais des services secrets et toutes les ramifications avec les universités, instituts de recherche, think tanks, etc. Dans son indispensable et vertigineuse synthèse parue en 2019 Le Nouvel ordre mondial démasqué, Cyril Leysin nous apprend que selon Lewin, la société pourra être contrôlée, et menée progressivement vers un état d’esprit infantile, immature. Lewin a baptisé « fluidité » cette sorte de chaos social. « Cela, précise Cyril Leysin, fait écho au concept de “tittytainment” attribué à l’éminence grise des présidents américains de Carter à Obama, Zbigniew Brzezinski (1928-2017), défini par l’omniprésence de divertissements abrutissants et la satisfaction des besoins primaires, mélange d’aliments physiques et psychologiques, censés endormir les masses tout en contrôlant leurs frustrations et leurs protestations éventuelles. » Toute ressemblance avec le monde d’aujourd’hui où seules sont promues la “liberté” de consommer et de jouir, serait fortuite. Fred Emery, autre chercheur à l’Institut Tavistock, a été l’un des pionniers dans le domaine du développement organisationnel. Il a décrit les effets induits par le chaos social engendré par des traumatismes sociaux, c’est-à-dire des crises économiques et politiques, des conflits sociaux, etc. « La société se segmente en groupes hostiles pendant que les institutions s’effondrent, des groupes extrémistes voient alors le jour, créant un climat de tension permanent » (Daniel Estulin Tavistock Institute, social engineering the masses). Il n’est évidemment pas interdit de reconnaître actuellement les groupes de pression qui composent le mouvement Woke, derrière lesquels se cachent des théoriciens et des financiers (réseaux de George Soros et USAID) mais aussi depuis la naissance de l’antiracisme institutionnel en France en 1985 sous la houlette de Bernard-Henri Lévy, tous les mouvements socialement incendiaires de division, jusqu’à l’invention de l’écriture dire « inclusive ».
L’ARME PSYCHIATRIQUE
Depuis le XIXe siècle, la science, envisagée comme instrument du contrôle total de l’environnement ou de l’homme par l’Homme, prenait ainsi la place laissée vacante par la religion (et le rôle régulateur joué par la morale traditionnelle). Il est donc dans l’ordre des choses de réinventer la morale traditionnelle : « Dans les années quarante, les figure de proue de la psychiatrie proclamèrent leur intention d’infiltrer le champ de l’éducation et du droit pour amener à […] l’éradication des concepts de bien et de mal. » G. Brock Chisholm et le psychiatre John Rawlings Rees, homme clé de l’OSS (future CIA), cofondateurs de la Fédération Mondiale pour la Santé Mentale le dirent abruptement à leurs pairs à l’époque : “Si l’espèce humaine doit être délivrée du fardeau invalidant du bien et du mal, ce sont les psychiatres qui doivent prendre cette tâche en main.” » (1). La même source nous apprend que Brock Chisholm, qui deviendrait le premier directeur général de l’OMS, déclarait que « pour [accomplir] le gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer de l’esprit des hommes leur individualisme, leur loyauté envers les traditions et leur identification envers leurs nations » (cité dans Le Nouvel Ordre Mondial Démasqué, Cyril Leysin)
Dans son livre The shaping of psychiatry by war (le modelage de la psychiatrie par la guerre), John Rawlings Rees, préconise la création de troupes psychiatriques de choc afin de développer « des méthodes de contrôle dont le principe serait de mener la population humaine vers la psychose (la confusion) grâce des procédures de programme de modification comportementale1. Sa préoccupation ainsi que celle de toutes les figures participant de près ou de loin à l’élaboration d’un nouvel ordre mondial, serait l’institution de la paix par le contrôle des masses, le recyclage de la propagande de guerre en propagande de paix. D’après le livre Tavistock Institute de Daniel Estulin (malheureusement non traduit en français), Rees avait tendance à envisager les choses du point de vue de la gestion de groupe et à percevoir l’insoumission ou les revendications comme des formes de névrose. Mais c’est toute la société qui devait être réformée pour que soit atteint un niveau optimal de « santé mentale » envisagée à l’échelle mondiale, donc standardisée. J’insiste sur le fait les mots du pouvoir moderne sont systématiquement ambivalents, pour ne pas dire duplices, ne signifiant pas la même chose pour l’émetteur que pour le destinataire, séduit par la notion de santé mentale et réduit à soigner son mal-être moderne avec une chimie artificielle et lucrative (puisque brevetable) imposée par le même pouvoir oligarchique.
« Seule une conspiration de psychiatres étaient à même de construire une société dans laquelle il est possible pour les personnes de chaque groupe de recevoir un traitement quand ils en ont besoin, même quand ils ne le désirent pas, sans recours nécessaire à la loi ». Pour John Rawlings Rees, la santé mentale semblait se résumer à l’adaptation au monde tel qu’il est modelé par le pouvoir ; les contestataires et toutes personnes se livrant à des activités de protestations étaient considérés comme des névropathes, non conscients d’être malades et nécessitant des traitements (2).
La psychologie expérimentale, sous couvert d’améliorer le bien-être des individus, applique des protocoles standardisés à des groupes, et qu’elle a servi au perfectionnement de la torture et du conditionnement mental. Les expériences les plus connues, comme celle de Milgram ou comme l’expérience frauduleuse de Stanford (3), sont systématiquement orientées dans le sens du contrôle par la peur. Il convient donc de se débarrasser d’une vision idéalisée de la recherche scientifique : l’humain n’y est qu’un simple sujet d’étude et d’expérimentation. Je citerai comme exemple l’expérience controversée du petit Albert, réalisée en 1924, par John Broadus Watson, fondateur du Béhaviorisme, admirateur des travaux de Pavlov sur le conditionnement des chiens, qui avait réussi à conditionner un nourrisson par la peur. Je précise au passage que les réflexes de ce qu’on pourrait appeler (comme le fait Lucien Cerise dans Neuro-pirates) « ingénierie sociale positive » sont ancrés dans nos comportements sociaux traditionnels : rendre service, donner de manière désintéressée, accorder sa confiance a priori ou en connaissance de cause. À partir des années 80 deux phénomènes allaient faire glisser nos sociétés dans le règne du soupçon, de la paranoïa et de l’auto-censure : l’antiracisme d’État, en généralisant le soupçon de « racisme » (5), puis le goulag mental (expression du dissident russe Vladimir Bukowski) du politiquement correct.
Pour revenir à l’ingénierie sociale négative (c’est-à-dire furtive) les techniques de manipulation mentale seraient utilisées pour le conditionnement des agents de l’OSS (qui deviendrait la CIA en 1947), comprenant torture psychologique : isolation, interrogatoires à charge, manipulation similaires à la technique « bon flic, mauvais flic », à ceci près que le sujet était traité ainsi par son employeur set ses collègues) et physiques : électro-chocs et simulation de noyade, le tout suivant une procédure standardisée :
1. Diagnostic visant à évaluer les vulnérabilités de l’agent ;
2. Dépersonnalisation : incitation à créer une identité alternative (alter persona) en cas de capture ;
3. Simulation d’interrogatoire par l’ennemi et destruction de l’ego ;
4. Conditionnement par l’association d’électro-chocs avec certains mots, de manière à fausser les réactions du sujet en cas de passage au détecteur de mensonge.
Dès sa création en 1947, la CIA (qui serait dénoncée par John F. Kennedy comme « Un État dans l’État »), entretiendrait des relations incestueuses avec tous les organismes voués à la recherche sur la manipulation des masses.
PROGRAMMATION MENTALE
En 1953 était lancé le projet , dirigé par Allen Dulles, qui recruterait le Dr Sidney Gottlieb pour la partie scientifique du projet. Un des objectifs, en coordination avec le TSS (bureau des services techniques de la CIA) et le personnel médical, était d’organiser la recherche et l’expérimentation pour le développement de moyens permettant de contrôler des individus, volontaires ou non, et de créer des personnalités dissociées en employant la drogue (principalement le LSD) et les chocs traumatiques, afin de créer des agents totalement dociles, potentiellement assassins, susceptibles de commettre leurs actes dans des sortes de transes dont ils oublieraient tout par la suite (des soupçons de ce type pèsent sur les assassins de John Fitzgerald Kennedy, Robert Kennedy et John Lennon, notamment).
Selon le site Morpheus, « l’Institut Tavistock, […] aurait aussi développé [le] système des armes à micro-ondes à partir des années 50. Dans les années 60, le Dr Ross Adey a travaillé sur le Pandora Project pour la CIA et le MI5, dans le domaine du contrôle mental à distance (6)). Zbigniew Brzezinski théoricien de l’ère technétronique, mentor de Barack Obama, a toujours affiché sa volonté politique d’asservir les populations à l’aide de technologies : « La société sera dominée par une élite de personnes libérées des valeurs traditionnelles qui n’hésiteront pas à réaliser leurs objectifs aux moyens de techniques épurées avec lesquelles ils influenceront le comportement du peuple et contrôleront la société dans tous les détails, jusqu’au point où il sera possible d’exercer une surveillance quasi permanente sur chacun des habitants de la planète. » (dans La révolution technétronique)
Des expériences de contrôle mental ont été menées au M.I.T. (Massachussets Institute of Technology), l’Institut Johns Hopkins, l’université de Pennsylvanie… Les expériences de José Delgado ont prouvé qu’il était possible de contrôler en partie le comportement grâce à l’implantation de puces : arrêter un taureau en train de charger, déclencher, chez des cobayes humains, des crises de rire ou de larmes, etc. Delgado avait rejoint l’université de Yale (partiellement financée par la fondation Rockefeller depuis 1937 au moins) en 1950 dans un laboratoire on l’on faisait alors des recherches sur la lobotomie. Cette « thérapie » ainsi que les électro-chocs ont été généralisés dans la psychiatrie sans jamais avoir donné de résultats probants.
(à suivre)
Envoyé par Ludovic - Le blog de Ludovic Joubert
Auteur de Toxicologie du langage :
Notes:
1. Source en anglais : www.cchr.org.uk/undermining-morals/
2. The Tavistock Grin, The real CIA – The Rockefeller’s fascist Establishment, L. Marcus, The campaigner, April 1974
3. Thibaut Le Texier, sur l’expérience de Stanford : Histoire de mensonge, Zones
4. Article en anglais téléchargeable de Carol Menzel, Coercive psychology: capitalism’s monster science, La psychologie coercitive, la science monstrueuse du capitalisme The campaigner February-March 1974.
5. Cette notion de « racisme » a tout intérêt à rester nébuleuse pour servir le pouvoir car pour citer Arnaud Upinsky, c’est à ses dépens que le manipulateur sort de la confusion. Sur le plan psychologique, cette fausse vertu, consistant à accuser pour s’innocenter aux yeux de la société existe depuis longtemps sous le nom de bigoterie.
6. RMCT : Remote Mind Control ; Technologywww.youtube.com/watch?v=xehJzyttZr8&t=18s&ab_channel=911InvestigationVids
- Source : Antipresse