Xavier Poussard : Emmanuel Macron, l’enfant soldat programmé par Rothschild

L’ascension politique d’Emmanuel Macron ne cesse de susciter des interrogations. Depuis son entrée en scène sur la place publique, son parcours apparaît comme un enchaînement de coïncidences troublantes, d’anomalies inexplicables et de décisions stratégiques qui semblent servir des intérêts bien précis. Selon les propos de Xavier Poussard chez Idriss Aberkane, Macron serait un « enfant soldat », programmé et manipulé par des forces occultes, notamment la banque Rothschild, pour servir des agendas géopolitiques et économiques.
Une trajectoire atypique : les anomalies du parcours de Macron
Emmanuel Macron a toujours bénéficié d’un traitement de faveur dans son ascension professionnelle et politique. Son passage à l’École nationale d’administration (ENA) est marqué par des irrégularités. Alors qu’il échoue à l’oral de son concours, son classement est annulé, une décision exceptionnelle qui soulève des questions. De même, son entrée à l’Inspection générale des finances, où il est immédiatement pris sous l’aile de hauts fonctionnaires influents, suscite des interrogations. Comment un jeune homme sans expérience a-t-il pu gravir si rapidement les échelons du pouvoir ?
Son passage chez Rothschild est tout aussi troublant. Macron devient le plus jeune associé gérant de l’histoire de la banque, malgré des compétences jugées insuffisantes par ses pairs. Des témoignages rapportent que ses collègues se moquaient ouvertement de ses erreurs en réunion. Pourtant, David de Rothschild lui-même l’aurait soutenu, au point de le propulser à des postes clés. Cette promotion fulgurante, couplée à un patrimoine déclaré dérisoire après plusieurs années dans la finance, laisse perplexe.
Les liens troubles avec les États-Unis
L’influence américaine sur le parcours de Macron est un autre élément troublant. Dès 2012, alors qu’il est nommé conseiller économique à l’Élysée, les emails de Hillary Clinton révèlent que les Américains le considèrent déjà comme une « Person of Interest ». Jack Sullivan, futur conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden, écrit : « C’est lui qu’il faut suivre, c’est le futur ministre de l’Économie. » Cette prédiction, qui se réalise en 2014, soulève des questions sur les liens entre Macron et les cercles du pouvoir américain.
Par ailleurs, la vente d’Alstom à General Electric, orchestrée pendant le passage de Macron au ministère de l’Économie, est souvent citée comme un exemple de sa complaisance envers les intérêts américains. Cette transaction, véritable prédation du capitalisme financier américain sur le capitalisme français, a été dénoncée par plusieurs observateurs, dont Arnaud Montebourg. Macron est accusé d’avoir favorisé les intérêts étrangers au détriment de l’industrie française.
Le rôle de Rothschild : un candidat manchou ?
La thèse du « candidat manchou » (personne dont le passé et les souvenirs auraient été reconstruits pour en faire un héros artificiel), évoquée par Candice Owen, suggère que Macron serait une marionnette manipulée par des forces supérieures. Selon cette théorie, son parcours aurait été soigneusement orchestré pour en faire un instrument au service d’intérêts financiers et géopolitiques. La banque Rothschild, avec laquelle Macron a entretenu des liens étroits, serait l’un des principaux acteurs de cette manipulation.
Les silences et les zones d’ombre
L’un des aspects les plus frappants de l’affaire Macron est le silence qui entoure certaines questions. Les témoins de son parcours refusent souvent de s’exprimer, et les médias mainstream évitent soigneusement d’aborder les sujets qui fâchent. Par exemple, les conditions de sa nomination comme secrétaire général adjoint à l’Élysée, imposée par Bernard Attali et les milieux financiers, restent floues. De même, les anomalies dans son patrimoine déclaré, malgré des années passées dans la finance, ne sont jamais approfondies.
En outre, les allusions à des opérations de manipulation psychologique, voire de lavage de cerveau, ne peuvent être ignorées. Une biographe de Brigitte Macron, pourtant bienveillante, a déclaré avoir « l’impression que les officines du président sont rentrées dans les cerveaux pour y effacer les mémoires ». Cette phrase, aussi surprenante soit-elle, reflète le sentiment d’étrangeté qui entoure le couple présidentiel.
Un président discrédité sur la scène internationale
Les révélations sur Macron ont des conséquences directes sur sa crédibilité internationale. Des pays comme la Russie, les États-Unis, ou même des nations africaines et asiatiques, le considèrent désormais avec méfiance. Les déclarations de Vladimir Poutine et de Donald Trump, qui le traitent comme un pantin manipulé, renforcent cette image. En Afrique, où la France tente de maintenir son influence, les dirigeants locaux voient en Macron un président faible, incapable de défendre les intérêts de son propre pays.
- Source : Le Média en 4-4-2