Gollnisch : « Au risque de choquer, je dirais que si l’on a rien d’autre à opposer à la montée de l’islamisme que les hideuses caricatures de Charlie hebdo, il y a du souci à se faire !… »
Dans la foulée de la décapitation de l’enseignant Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, le Président Emmanuel Macron (de même que Robert Ménard) est devenu un promoteur du droit au blasphème et un représentant commercial de Charlie Hebdo et de ses caricatures. Ce qui vaut à la France de nouvelles menaces islamiques provenant de différents pays musulmans et de grosses angoisses parmi les services de police, de gendarmerie et de renseignements appelés à redoubler de vigilance sur tout le territoire.
Un tweet de Bruno Gollnisch fait preuve d’un bon sens qui manque tant à ceux qui nous gouvernent mais aussi, hélas, à beaucoup de représentants du camp national.
“Au risque de choquer (Mais il paraît que l’on a droit au blasphème…), je dirais que si l’on a rien d’autre à opposer à la montée de l’islamisme que les hideuses caricatures de Charlie hebdo, qui n’ont rien à faire dans les classes de collège, il y a du souci à se faire !…“, écrit avec sagesse Bruno Gollnisch.
Au risque de choquer (Mais il paraît que l’on a droit au blasphème…), je dirais que si l’on a rien d’autre à opposer à la montée de l’islamisme que les hideuses caricatures de Charlie hebdo, qui n’ont rien à faire dans les classes de collège, il y a du souci à se faire !...
— Bruno Gollnisch (@brunogollnisch) October 26, 2020
- Source : MPI