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Vendredi, 11 Oct. 2024

La légende du vaccin Partie 5 et 6

Auteur : Jean-Yves Jézéquel | Editeur : Walt | Jeudi, 30 Mars 2023 - 18h15

Au-delà du mythe vaccinal, l’histoire éloquente des sels d’aluminium contenus dans les vaccins.

8 – Au-delà du mythe vaccinal, l’histoire éloquente des sels d’aluminium contenus dans les vaccins

« Les sels d’aluminium ne présentent aucun danger », bien entendu ! On peut consulter une lettre ouverte de l’assocation E3M : www.vaccinssansaluminium.org, au Président de la République Française et au Président de la Commission Européenne.

La conclusion de cette lettre attire une fois de plus l’attention des « autorités du pays » sur l’extrême dangerosité des vaccins : l’association, munie de toutes les preuves nécessaires, pouvait déclarer que les particules d’aluminium intracellulaires retrouvées dans le cerveau de personnes autistes étaient d’origine vaccinale. 

Nous sommes dans une dictature médicale, avec des politiques ignares et donc irresponsables sur la question vaccinale. Quant à la médecine traditionnelle, elle est dans le déni total lorsqu’une famille est victime des conséquences désastreuses d’un vaccin sur leur enfant. Ce qui est encore plus sidérant, c’est que vous êtes accusé de mauvais traitement sur votre enfant et de « non-assistance à personne en danger » en cas de refus de vaccination ! Alors qu’en réalité c’est votre profonde connaissance de ce dossier des vaccins, votre rationalité, votre esprit critique éveillé, votre conscience et l’amour que vous avez pour votre enfant qui vous poussent à le protéger en refusant légitimement le vaccin qui dès son origine est une imposture. Vous passez donc automatiquement de votre situation de personne maltraitée à celle de coupable et vous qui souffrez d’un mensonge criminel, vous êtes doublement pénalisé et brutalisé par une injustice insupportable ! Voilà encore une fois un cauchemar qui prélude aux futures violences inévitables préparées par la sidération répétée dépassant le seuil du tolérable…

www.infovaccinsfrance.org

Le Pr Gherardi, qui avait conscience du problème de l’aluminium découvert par le Dr Coquet dans un muscle, établissait des dosages d’aluminium dans le sang et les urines des patients atteints de myofasciite : ils étaient normaux, et comme aucun trouble rénal, aucune exposition professionnelle ne pouvait être constaté, le mystère demeurait total. D’où pouvait venir le métal ? Quelques jours après la découverte de Coquet, Gherardi découvrait, le 27 octobre 1998, l’Encyclopedia of Immunology : quatre volumes de 3.000 pages au total, dont les articles avaient été écrits par 700 auteurs, et qui rassemblaient le meilleur des connaissances en immunologie.

Concernant l’article sur l’aluminium, on pouvait y lire ceci: « Aluminium Hydroxyde as An Adjuvant of Vaccines ».

C’est ainsi qu’il apprenait que les vaccins contenaient de l’aluminium ! En 1998, personne ne le savait encore en France, les laboratoires omettant systématiquement d’indiquer cet adjuvant à leurs vaccins dans les notices techniques associées ; Gherardi découvrait ce jour-là qu’on utilisait depuis 72 ans, ce métal comme adjuvant, c’est-à-dire pour augmenter l’efficacité des injections de vaccin, depuis 1926. Un lien existait-il entre l’aluminium et la myofasciite ? Le médecin de Créteil en parla à deux responsables de l’Institut de veille sanitaire (InVs).

Le 14 septembre 1999, Romain Gherardi était convoqué à Genève, au siège de l’OMS, où il fut reçu par le comité consultatif de sécurité vaccinale. Il y avait là son président, le Sud-Africain Peter Folb, accompagné par huit conseillers, dont deux États-Uniens qui représentaient les Centers for Disease Control (CDC), ces centres fédéraux pour le contrôle des maladies. L’initiative de l’OMS était louable : constatant qu’un chercheur réputé s’interrogeait sur les « adjuvants aluminiques » des vaccins, le comité provoquait une audition. Gherardi était lui aussi accompagné par plusieurs représentants de l’industrie pharmaceutique et des experts d’agences publiques françaises. Depuis le début de cette histoire, il avait affûté ses observations, et il arrivait à Genève raisonnablement confiant, pour au moins trois raisons.

La première, montrait que 100 % des malades atteints de myofasciite avaient été vaccinés au cours des années précédant l’apparition des symptômes, le plus grand nombre contre l’hépatite B.

En second lieu, ce pouvait être un hasard, mais, deux, des études expérimentales menées avec le concours de Gherardi montraient que l’injection de vaccins à l’aluminium chez des rats provoquait l’apparition de myofasciites. Ce qui donnait lieu à publication scientifique en 2001. Oui, mais dans ce cas, pourquoi découvrait-on le problème en 2001, alors que l’aluminium était utilisé comme adjuvant vaccinal depuis 1926 ? 

En troisième lieu, après bien des recherches assidues, le Pr. Gherardi trouvait finalement qu’on avait cessé de vacciner sous la peau en 1990, et commencé à piquer dans le muscle lui-même. C’était là toute la différence.

Autant dire que Gherardi avait des arguments à faire valoir. Au total, quarante personnes étaient réunies à Genève, pour écouter avec attention le propos sidérant du professeur français. S’il avait raison, un monument de la doctrine médicale s’écroulait, mais il avait le malheur d’être honnête et à cause de cela ajoutait qu’il ne savait pas tout sur le sujet. Notamment, il ignorait combien de temps s’écoulait entre l’injection d’aluminium et l’apparition d’une lésion à macrophages. Il fallait en toute hypothèse compter en années, ce qui dynamitait tous les tests de contrôle des médicaments, qui ne sont possibles que sur quelques jours et au mieux quelques semaines. Des experts mondialement connus comme l’un d’eux, qui travaillait pour Pasteur-Mérieux, fabricant de vaccins, s’empressait de contester Gherardi. Ayant travaillé sur des lapins, il assurait que la lésion observée disparaissait en trois mois au plus. Quel avait été son protocole d’étude ? Secret professionnel et commercial. Gherardi s’exposait pendant que d’autres affirmaient sans complexe que tout cela n’était pas « sérieux ».

A ce rendez-vous de Genève il était tout de même acquis que les lésions observées par Gherardi étaient bien d’origine vaccinale et qu’elles duraient longtemps. Mais, pour le reste, il y avait dissensus. Les sommités estimaient que la lésion musculaire constatée était une réaction post-vaccinale normale, et passagère. La question restait donc en suspens : l’aluminium était-il responsable de la maladie nouvelle constatée chez certains malades ? L’OMS ne pouvait pas trancher cette question et préconisait de nouvelles études !

En bonne logique, les autorités françaises de santé publique décidaient alors de stopper toute recherche sur la question ! L’avis de l’OMS comme le principe de précaution étaient les derniers de leurs soucis !

Un autre rendez-vous important attendait Gherardi après sa visite à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en septembre 1999. On le prenait au sérieux, car bien d’autres observations, corroborant ses travaux, avaient été faites partout dans le monde. Les CDC [Centers for Disease Control, les centres fédéraux pour le contrôle des maladies aux États-Unis], invitaient le professeur Gherardi à Porto-Rico en mai 2000. Le service états-unien en charge de la vaccination — le NVPO — organisait le 10 de ce mois une conférence internationale au titre sans équivoque : « Aluminium In Vaccines ». Les CDC, qui y étaient associés, avaient estimé à juste titre que Gherardi avait toute sa place dans pareil événement scientifique.

Il était l’un des rares étrangers présents. Pourquoi ce choix exotique de Porto-Rico ? Gherardi pensera des années plus tard avoir trouvé une réponse qui s’appelle « Big Pharma ». Porto-Rico, État associé aux États-Unis, bénéficie d’une fiscalité si intéressante que de très nombreux groupes industriels y ont installé des centres de production. Et parmi eux, Novartis, Pfizer, Merck, géants de la pharmacie, dont les enseignes et affiches pullulent dans la ville.

Le Congrès était dominé par la personnalité d’un chercheur états-unien, Stanley L. Hem. Hem est le co-auteur d’une contribution importante sur les adjuvants aluminiques, parue en 1997, qui assure qu’ils disparaissent très vite par les voies urinaires. Au rendez-vous de Porto-Rico, il présidait une session consacrée à la pharmacologie des sels d’aluminium. Dès le premier jour, Gherardi apprenait une chose qui avait son importance : l’adjuvant aluminique, s’il permettait en effet, dans un premier temps, de renforcer l’effet du vaccin, ne servait à rien dans les injections de rappel. Mais dans ce cas, pourquoi les laboratoires ne les supprimaient pas dans les rappels ? La réponse était simple : un médicament pour les humains devait être testé dans sa totalité. Si l’on modifiait sa composition, fût-ce en enlevant les sels d’aluminium, il fallait repartir pour un processus coûteux, d’homologation, aux frais de l’industriel ! Pour une raison d’argent, encore une fois, l’intérêt de la santé des personnes passait à la trappe !

Nonobstant, ce n’était encore qu’un modeste élément du dossier. Hem affirmait, après une expérience menée sur des lapins, que l’aluminium ne saurait rester dans le corps, et qu’il était rapidement éliminé. De son côté, Gherardi constatait que si certains sels d’aluminium semblaient en effet disparaître, c’était loin d’être le cas pour l’hydroxyde d’aluminium, celui justement incriminé dans la survenue des myofasciites. Le pire était à venir, car Gherardi faisait à son tour une communication que, dans le contexte du Congrès, on ne pouvait pas décrire en détail. Hem faisait alors sa publicité de propagandiste et l’intervention de Gherardi devenait un coup d’épée dans l’eau.

Il faut savoir que Hem était chimiste à la différence du biologiste Gherardi pour lequel le rôle des cellules dans un organisme humain est majeur. L’étude de Hem reposait en réalité sur 2 lapins, et n’avait pas été poursuivie au-delà de 28 jours ! Néanmoins cette expérience prouvait, selon lui, que l’aluminium ne pouvait pas subsister dans le corps ! Ce n’était pas très sérieux de la part de ce « chercheur » américain, mais plus les aberrations sont énormes plus elles semblent satisfaire l’industrie pharmaceutique qui ne voit que par l’argent et les profits envisageables, même à partir d’un mensonge ou d’une expérience bidon…

En janvier 2001, l’OMS annonçait que le financement d’études sur les adjuvants aluminiques était finalement refusé. Il était évident que l’un des médecins importants du comité de l’OMS se trouvait en conflits d’intérêts et devait tenir le discours d’opposition aux travaux de Gherardi, après avoir obtenu une chaire prestigieuse financée par Mérieux, l’un des leaders de la vaccination. Nous, les humains ordinaires, subissant les vaccinations obligatoires, nous sommes donc entre les mains de ce genre de salauds dont le sens des initiatives est exclusivement au service du profit et non pas au service de la santé des peuples ! Il faut appeler les choses par leur nom : ces gens-là sont des criminels, sans le moindre doute et devraient donc subir le sort des criminels…

L’affaire de l’aluminium ajouté aux vaccins se termina par un communiqué de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, l’Afssaps ancêtre de l’Agence du médicament. Le 6 mai 2004, le conseil scientifique de l’Afssaps écrivait sans hésiter ce mensonge abominable, sans aucun scrupule : « aucun syndrome clinique spécifique n’est retrouvé associé à la vaccination avec des vaccins contenant un adjuvant aluminique » ! Cette agence estimait dès lors qu’aucune étude complémentaire ne devait être menée. C’était sidérant, et cela prouvait à quel point ce sont les gros intérêts financiers qui dirigent ce monde pervers trahissant les humains victimes de la criminalité passive de ces organismes pratiquant l’arbitraire et non pas la rigueur scientifique…

La veille, le 5 mai 2004, ce même conseil scientifique de l’Afssaps se réunissait pour évaluer le travail d’une épidémiologiste, Annie Fourrier. Elle-même et quelques collègues avaient réalisé une étude de haute qualité, selon l’avis de Gherardi, étude dite de cas-témoins, sur la fameuse myofasciite. Les travaux d’Annie Fourrier étaient violemment dénigrés par des « experts épidémiologistes » appelés en renfort. Les trois rapporteurs de la Kabbale contre les travaux de cette épidémiologiste avaient tous des liens financiers avec l’industrie pharmaceutique, ce qui invalidait leurs propos conditionnés par des conflits d’intérêts. Pourtant rien de cela n’était pris en compte par le « conseil scientifique » de l’Afssaps. Pourquoi ? Chacun doit y réfléchir et trouver la réponse qui nous paraît sans équivoque…

Le communiqué du 6 mai 2004 avait une conséquence immédiate : les 250 malades diagnostiqués auparavant n’existaient plus en tant que tels, même si leurs symptômes renvoyaient sans discussion au syndrome de fatigue chronique, reconnu comme maladie neurologique grave par l’OMS ! Les travaux de Gherardi, privés de tout financement public, s’achevèrent donc en même temps. Cet abandon par la médecine et par les autorités sanitaires se rendant coupables de non-assistance à personnes en danger, allait durer dix ans. Les chercheurs du CHU Henri-Mondor de Créteil entrèrent alors dans une sorte de « clandestinité », ou du moins, selon le mot de Gherardi lui-même, de « marginalité », pour contourner la criminalité d’un organisme officiel de l’Etat.

L’équipe de Gherardi continuait à comptabiliser par centaines « ces malades qui n’existaient pas », et recommençait à valider chacune de ses découvertes. De leur côté, les malades atteints de myofasciite créaient en 2001 une association pour se défendre contre les autorités criminelles de la santé, E3M (l’association d’entraide aux malades de myofasciite à macrophages). Le 4 décembre 2007, à force d’obstination, E3M obtint une réunion au ministère de la Santé pour mettre sur la table la question de la myofasciite. Gherardi étant de la partie, détaillait les résultats d’examens cliniques méticuleux menés à Créteil. Les révélations faites au ministère étaient proprement sidérantes : la mémoire visuelle et la mémoire de travail étaient gravement atteintes chez les malades, et dans 92 % des cas, un test au moins évoquait ce que les neuropathologistes appellent la démence, c’est-à-dire de profondes altérations cognitives !

En face de lui, les deux conseillers de la ministre en place, l’ancienne pharmacienne Roselyne Bachelot, cachaient à peine leur ennui. Gherardi citait une étude prouvant que l’aluminium vaccinal peut migrer jusque dans le cerveau, passant donc la barrière hémato-encéphalique ? Ce travail était resté modeste, parce qu’il fallait que le ministère se décide à financer d’autres études complémentaires, avançait Gherardi. Mais les deux conseillers abrégèrent la rencontre, et renvoyèrent Gherardi à sa « marginalité ». Voilà le genre de personnes qui veillent, dans nos ministères, sur les intérêts du bien commun et la santé publique : de parfaits crétins, bornés, obtus, dont l’arrogance est le vêtement dépareillé d’une criminalité faite vertu !

En 2009, la mobilisation controversée contre le virus grippal H1N1 aura coûté, notamment pour les vaccins, entre 1 et 2 milliards d’euros. Déléguée médicale du laboratoire ICI Pharma — devenu AstraZeneca — entre 1969 et 1976, Roselyne Bachelot sera chargée des relations publiques de Soguipharm — un autre labo pharmaceutique — entre 1984 et 1989.

AstraZeneca a été au cœur de la fabrication de vaccins contre le virus H1N1, ce qui mérite d’être rappelé.

Le sérieux du travail scientifique du professeur Gherardi et de son équipe sur la maladie provoquée par les adjuvants aluminiques des vaccins allait être enfin reconnu. Mais la recherche approfondie restait ouvertement entravée, tandis qu’une nouvelle ministre de la santé proche des firmes pharmaceutiques imposait l’obligation de onze vaccins !

En décembre 2012, exaspérés, les malades de l’association E3M commençaient une grève de la faim. Ils réclamaient des choses évidentes. Tout d’abord, la reconnaissance de leur maladie. Ensuite, des fonds pour les recherches indispensables. Puis, a minima, l’utilisation d’un vaccin DT-polio, sans aluminium. Car en effet, et c’est toujours le cas, on ne trouve pas en France, en ce début 2023, de vaccins obligatoires sans sels d’aluminium. Alors même qu’il existe au moins un adjuvant parfaitement inoffensif, le phosphate de calcium, qui n’est pas utilisé. Pourquoi ? Nouvelle interrogation sur des questions incompréhensibles quand on raisonne santé publique au lieu de profits financiers !

Donc, une grève de la faim de gens affaiblis, malheureux et méprisés est engagée. Gherardi continue ses travaux dans l’espoir d’éclairer la « migration systémique et cérébrale » de l’aluminium vaccinal. La grève de la faim semblait, dans un premier temps, débloquer la situation. Le ministère acceptait le principe de nouvelles études, pilotées par l’Agence du médicament (ANSM, selon son acronyme), qui a pris la suite de l’Afssaps. On « offrait » la somme dérisoire de 150.000 euros, qui ne seront obtenus qu’en avril 2014, mais on excluait du travail l’équipe de Gherardi, seule à travailler sur la question depuis plus de quinze ans ! Mais, face à cette recherche trop difficile à diriger, le professeur était finalement réintégré, appuyé par quelques élus, dont Laurence Cohen, présidente de la Commission des affaires sociales du Sénat. La corruption prend l’autoroute et c’est la fête perpétuelle pour ce qui est corrompu. Mais dès qu’il faut se donner la peine d’être vrai et d’être juste, les choses tournent curieusement à la galère absolue !

Pendant trois ans, Gherardi va devoir faire des recherches scientifiques de haut niveau avec les 150.000 euros qui lui ont été péniblement consentis. Cependant il avance héroïquement dans ses recherches sur les prédispositions génétiques qui permettraient d’expliquer pourquoi une minorité de vaccinés, qui sont des millions, développent une myofasciite. Et voilà qu’en mars 2017, l’Agence du médicament (ANSM) réapparaissait. Un débat avait lieu dans le cadre de son conseil scientifique, et l’on s’écharpait à nouveau à propos des résultats de Gherardi. Les experts réunis étaient une fois de plus divisés, mais reconnaissaient unanimement le sérieux du travail ; ils demandaient, dans un avis consultatif, la poursuite des travaux et donc des financements.

Mais cet avis était volontairement oublié jusqu’en septembre 2017, quand le journal Le Parisien accusa l’Agence d’avoir caché un débat essentiel. Au cœur de la polémique, une question portait sur la toxicologie. Depuis Paracelse, il y avait 400 ans, la plupart des spécialistes pensaient, après lui, que la dose faisait le poison. Plus on en recevait, plus on réagissait. Or, une révolution, celle de la complexité, celle des « effets non linéaires », était en cours. Il apparaissait désormais certain que des doses plus faibles pouvaient, dans certains cas, avoir des effets plus importants via les interactions et rétroactions de l’endocausalité et de l’exocausalité… Le peu d’aluminium contenu dans une dose vaccinale pouvait être la cause d’un grand désordre général. On pouvait, malgré l’ampleur de l’expression, parler de rupture paradigmatique. Il y avait un avant, et surtout, un après.

À ce stade, Gherardi ne réclamait qu’un financement ridicule de 550.000 euros — qui montera à 670.000 euros — pour continuer un travail dont personne ne contestait le caractère scientifique. Mais l’Agence du médicament refusa son crédit, arguant qu’il lui fallait s’adresser à l’Agence nationale de la recherche (ANR). Celle-ci constatait, dans un document, l’excellence scientifique du projet, qui recueillait 42 points sur un total possible de 45. « Mystérieusement » elle refusait pourtant le financement, et plaçait le tout dans une liste d’attente qui avait l’apparence d’une impasse !

Le professeur Gherardi insistait :

« Il faut mesurer les effets à long terme des adjuvants aluminiques, car une expansion massive des approches vaccinales est programmée par l’OMS, qui annonce plus de 120 nouveaux vaccins, en majorité aluminiques, dans les “pipelines”, pour une croissance annuelle de 20 % du marché des vaccins, le chiffre d’affaires étant passé de 5 à 43 milliards de dollars de 2000 à 2016 et devant atteindre 100 milliards en 2025. Le plus satisfaisant serait bien entendu que la suppression des adjuvants aluminiques soit envisagée à terme ».

Un chercheur espagnol de l’université de Saragosse, Lluís Luján, de son côté réalisait une étude édifiante sur les moutons, en leur injectant des vaccins contenant de l’aluminium. Une faible partie des vaccinés — autour de 0,5 % — développaient un syndrome passant par « un épisode neurologique aigu » et des changements neurodégénératifs, proches des symptômes observés avec la myofasciite. 

L’histoire mouvementée des sels d’aluminium dans les vaccins poursuit sa route et rien n’est à ce jour clarifié une fois pour toutes…

https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-ce-danger-que-l-Etat-refuse-de-voir

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https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-loi-des-lobbies

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Haute trahison du ministère de la santé: il est l’otage de l’industrie pharmaceutique

9 – Haute trahison du ministère de la santé : il est l’otage de l’industrie pharmaceutique

C’est dans ce contexte que Agnès Buzyn, ministre de la Santé du gouvernement d’Édouard Philippe, annonçait fin août 2017 que 11 vaccins infantiles deviendraient obligatoires dès le 1er janvier 2018, contre 3 auparavant, qui étaient ceux contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP). Les huit autres concernaient la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’hépatite B, la bactérie Haemophilus influenzae, le pneumocoque, le méningocoque C. La ministre précisait que « son objectif n’était pas de sanctionner » les récalcitrants, car il s’agissait pour elle « de rendre la confiance dans les vaccins », mais très manifestement elle continuait de travailler efficacement pour les marchands de vaccins qui la payaient si bien…

Au printemps 2012, la députée Marisol Touraine n’était pas encore ministre de la Santé du gouvernement Jean-Marc Ayrault. Responsable « du pôle social de la campagne de François Hollande », elle écrivait une lettre instructive à l’association des malades de myofasciite, E3M, et notamment ces mots : « Dans le contexte de perte de confiance de nos concitoyens envers les institutions sanitaires, en particulier depuis la gestion catastrophique de l’épidémie de grippe A et la dénonciation de graves conflits d’intérêts ayant provoqué de trop nombreux scandales sanitaires, il faut donner les meilleures assurances de sécurité pour effectuer les vaccinations obligatoires dans l’intérêt de la santé de notre population. La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l’objet d’une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu’elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d’aluminium, d’autant plus que c’était le cas jusqu’en 2008 ».

Madame Touraine aura, tout le long des cinq années passées ensuite au ministère de la Santé, tout oublié des promesses préélectorales de son candidat tout comme Hollande avait lui aussi oublié que « notre seul ennemi était la Haute Finance internationale ». Il faut constater, avec l’ancienne ministre, qu’au plus haut niveau de l’État, la question des adjuvants aluminiques des vaccins avait enfin été posée. Où en est-on aujourd’hui alors que les nouvelles obligations vaccinales sont effectives depuis le 1er janvier 2018 ?

Le 8 février 2017, répondant à une demande de 2.300 personnes, le Conseil d’État rendait une décision très attendue : le ministère de la Santé — poste qui était encore occupé par madame Touraine — dispose de six mois pour rendre enfin disponibles dans les pharmacies des vaccins, dits trivalents, contre le fameux trio diphtérie-tétanos-polio. Aussi surprenant que cela paraisse, à cette date, les parents n’avaient pas le choix. Ils étaient obligés d’acheter des vaccins hexavalents, qui outre les trois premiers, « protégeaient » aussi théoriquement contre la coqueluche, l’Haemophilus influenza et l’hépatite B. Six mois plus tard, le 8 août 2017, la décision du Conseil d’État n’était toujours pas respectée, entraînant une requête réclamant la condamnation de l’État.

Rien n’a bougé depuis, mais il y a pis : les vaccins DTP vendus en France contiennent de toute façon des sels d’aluminium. Et plusieurs des vaccins obligatoires actuels — ceux contre l’hépatite B, la coqueluche, la Haemophilus influenzae — en contiennent eux aussi, ce qui ne peut qu’augmenter les risques. Combien cette décision coûtera-t-elle au budget national, incluant celui de la Sécurité sociale ? Nul ne le sait exactement, mais il faudra au moins compter en centaines de millions d’euros d’un argent public qui ne sera pas dépensé ailleurs.

Concernant Madame Buzyn, est-il sain qu’une ministre de la Santé ait eu tant de liens, y compris financiers, avec l’industrie pharmaceutique ? Membre du conseil d’administration de l’Institut national du cancer (Inca) entre 2009 et 2011, madame Buzyn faisait partie en même temps du board de deux puissants labos, Novartis et Bristol-Meyers Squibb. Elle a en outre été rémunérée pour différents travaux par le laboratoire Genzyme, aujourd’hui filiale de Sanofi, entre 1998 et 2011. Comme Roselyne Bachelot en son temps.

Et pendant ce temps, le Pr. Gherardi attend toujours une « aumône » pour aller au fond des choses !

Ayant tout supporté depuis plus de vingt ans, il envisage de faire appel directement à la population qui souhaite enfin des réponses précises à une authentique question de santé publique. Ce grand médecin a, lui aussi, découvert que l’on ne pouvait pas compter sur l’Etat mafieux !

Pour le reste, comment ne pas employer le mot de sidération ? Une ministre qui a été en partie payée, pendant des années, par des labos pharmaceutiques, décide sans argument majeur le passage à onze vaccins obligatoires, dont plusieurs contiennent de l’aluminium, sans que les parents n’aient le moindre choix, ni le moindre mot à dire.  La notion de conflit d’intérêts existe précisément pour couvrir la zone grise dans laquelle tant de mauvaises décisions sont prises. Les questions posées par Gherardi sont non seulement légitimes, mais scientifiques. Comment écarter le doute avec tant de désinvolture, après tant de scandales de santé publique ? Oui, on est dans la sidération et l’on observe impuissants cette organisation mafieuse qui impose ses décisions criminelles en toute impunité.

Nous vivons dans une dictature médicale, puisque le débat est impossible. Il est impossible d’aborder, ni de près ni de loin, certains sujets qui mettent en évidence les colossaux profits de Big Pharma, au détriment de la santé publique. Ce sont ces industries qui gouvernent par l’argent à la place de nos politiques.  Il est devenu héroïque aujourd’hui d’afficher des opinions réfléchies. 

Isabelle Adjani qui n’est pas une scientifique, disait une vérité de bon sens sur les vaccins, vérité que les experts ne tiennent pas du tout à entendre, à cause bien entendu des intérêts financiers qui sont derrière et qui sont manifestement plus importants que la vie des braves gens. « Le vaccin c’est une façon de détériorer pour ne pas dire détruire l’éclat biologique d’un être dès sa naissance… » ici

La Ministre de la santé, Mme Buzyn, avait osé en son temps déclarer à l’Assemblée nationale que « les adjuvants, tels les sels d’aluminium, ne posaient aucun problème depuis 90 ans » ! Où sont les études sérieuses sur lesquelles elle appuyait sa déclaration criminelle ? Inexistantes. Pourquoi alors cet acharnement dans le mensonge ? On ne trouve jamais une autre réponse que celle-ci : les gouvernants sont les serviteurs des grandes industries et de leurs propriétaires, les groupes comme BlackRock/Vanguard, qui façonnent le monde à leur image, pour des considérations de pouvoir, de contrôle et de profits.

L’économie mondiale et non pas locale, dépend de ces industries, et s’opposer à elles c’est menacer leur pouvoir totalitaire. 

Quelle autre possibilité pour les citoyens que d’entrer en résistance face à un tel déni, un tel manque de considération et de respect face à ces familles et à ces personnes qui souffrent des conséquences du poison que représentent ces adjuvants ? Comment peut-on raisonnablement faire vacciner ses propres enfants en ayant conscience des nombreuses pathologies neurologiques pouvant être induites par ces vaccins ? Que chacun(e) se pose la question, et prenne ses dispositions face à cette dictature médicale. Quand on pense que le seul marché des vaccins pourrait atteindre les 100 milliards de dollars en 2025, on comprend à quel point la santé publique pèse bien peu face à cette monstrueuse entreprise cupide. Il est clair pour ma part depuis bien longtemps que nos politiques, dont c’est pourtant le devoir, ne protègent plus les citoyens, mais les intérêts des puissances industrielles.

Depuis le scandale du désastre Coronavirus, les choses se sont aggravées lorsqu’on a découvert que les vaccins anti covid-19 contenaient de l’oxyde de graphène encore plus toxique pour l’organisme que les sels d’aluminium et ayant des effets secondaires bien plus mortels …

10 – Le cas spécifique de l’histoire coronavirus et des vaccins à ARNm

En Occident néo-féodalisé depuis trois ans, la parole des scientifiques a été malmenée, dévoyée, parfois même falsifiée et la plupart du temps ignorée, voire censurée quand ce n’était pas les personnes elles-mêmes qui ont été mises à pied, jusqu’à l’enfermement en psychiatrie pour certains d’entre eux, d’autres ayant carrément disparu de la circulation après avoir osé braver la doxa convenue et révélé ce qui devait rester secret ! Faisons un tour d’horizon de la parole des scientifiques, afin d’opérer une ré-information sur ce qui est scientifique dans l’histoire de la Covid-19 et sur les discours qui ont utilisé l’image de la science pour alimenter un narratif mensonger sur ce qui a été nommé à tort « pandémie ».

10.1 – La place et le rôle de l’argent maître et seigneur

Le déroulé de la fausse pandémie du SARS-Cov-2 a permis à une foule de gens de penser « sincèrement » que le mutisme de la communauté scientifique dans son ensemble était une sorte d’approbation implicite de tout ce qui se disait en son nom par la voix de ses « représentants » médiatiques désignés, félicités, parfois même décorés de la Légion d’honneur pour leur complicité remarquable, et qui eux, étaient très largement frappés par les « conflits d’intérêts », comme un examen attentif de la liste du site de l’Union Européenne le démontrait si magistralement, concernant les médecins et chercheurs européens. (Cf., « eurosfordocs »)

Si la communauté scientifique dans son ensemble restait muette et semblait approuver le narratif officiel sur la Covid-19, et le « vaccinalisme » obsessionnel aux produits expérimentaux à ARNm graphénisés, c’est bien entendu parce que les menaces sur les carrières de ses membres étaient réelles, comme nous allons le voir. 

Quant à ceux qui ont monopolisé la parole dans les médias spécialisés ou dans les différents supports de la vulgarisation pour grand public : télévisions, journaux, radios, réseaux sociaux inféodés au système, tous très bien rémunérés par les laboratoires pharmaceutiques et le trésor public qui distribuait généreusement des fortunes par milliards sur la simple décision du dictateur Macron, on se souviendra que ces chantres du mensonge et de la manipulation étaient eux aussi grassement rémunérés pour répandre la terreur, transmettre la doxa de la pensée unique obligatoire et le discours intolérant de la censure et du mensonge. Ces criminels étaient allés jusqu’à écrire même dans des revues prestigieuses, comme The Lancet, des articles totalement bidons, des falsifications éhontées ayant entraîné par la suite la présentation des excuses de leurs directeurs de publication, comme chacun le sait, mais une fois le mal accompli. 

Très vite, les « responsables » politiques oubliaient allègrement les plates excuses présentées par les scientifiques, car aveuglés par les objectifs non déclarés de la doxa convenue et sourds à la voix de la raison, les gouvernants s’en tenaient farouchement aux falsifications volontaires fomentées juste pour permettre des interdictions sans autre justification que celle qu’ils se gardaient bien d’annoncer ! 

On se souviendra longtemps du scandale sur l’hydroxychloroquine et plus tard de celui qui allait à son tour interdire l’ivermectine dont la vente en pharmacie fut prohibée. Certains pays d’Amérique Latine, comme le Pérou, mais surtout l’Inde seront les principaux protagonistes de l’ivermectine ayant fait largement ses preuves d’efficacité contre la Covid-19. D’autres traitements ayant également fait leur preuve, surtout en Afrique, comme l’Artemisia annua, ont également été criminalisés en Europe et ces traitements peu coûteux, très efficaces, sont devenus introuvables et rigoureusement interdits à la vente : je parle d’expérience ! On remarque que ni l’Inde, ni l’Afrique sont concernés aujourd’hui par une pandémie quelconque et encore moins par des campagnes mensongères promouvant des « vaccins » encore plus dangereux que leurs anciens modèles !

Tout le monde devrait savoir désormais que les revues scientifiques et leurs moyens, dépendent depuis bien longtemps de l’industrie pharmaceutique qui impose son narratif officiel de pensée unique sur les médicaments et les vaccins. Leur procédé est proprement odieux et crapuleux. Nous en avons une description faite par les docteurs Gérard et Nicole Delépine. (Cf., articles dans mondialisation.ca – voir également leur bibliographie sur le sujet ; Cf., également l’étude magistrale qui a été publiée par le Professeur Debré et Even, « Savoirs et Pouvoir. Pour une nouvelle politique de la recherche et du médicament », Pr Philippe Even et Pr Bernard Debré, éditions le cherche midi, 2004)

Nous devons souligner ce que personne ne peut plus ignorer :

« … Le potentiel de la médecine fondée sur les écosystèmes pour améliorer les soins de santé des patients a été contrecarré par des biais dans le choix des hypothèses testées, la manipulation de la conception des études et une publication sélective. Les preuves de ces failles sont les plus claires dans les études financées par l’industrie. Nous pensons que l’acceptation aveugle par l’EBM des « preuves » produites par l’industrie revient à laisser les politiciens compter leurs propres votes. Étant donné que la plupart des études d’intervention sont financées par l’industrie, il s’agit d’un problème sérieux pour la base de données globale. Les décisions cliniques fondées sur ces preuves risquent d’être mal informées, les patients recevant des traitements moins efficaces, plus nocifs ou plus coûteux ». 

(Cf., S Every-Palmer Comment la médecine basée sur des preuves échoue en raison d’essais biaisés et d’une publication sélective, Journal of Evaluation in Clinical Practice 2014)

Selon un rapport de l’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) « la finalité des essais randomisés ne correspond pas forcément à l’intérêt des malades … dans 76% des cas le promoteur est un industriel ». Les professeurs Even et Debré étaient clairs : « Le thème de l’essai est trop souvent déterminé par des raisons commerciales. L’objectif est d‘étendre le marché. Presque jamais de s’attaquer à un problème de santé publique ». 

Voilà qui est lumineux, mais cette parole était prononcée bien avant la fausse pandémie du SARS-Cov-2 et sa mise en scène.

Les essais thérapeutiques ne font pas avancer la science car, selon le rapport de l’IGAS, « Leurs résultats ne sont publiés que si l’intérêt du promoteur le commande. Lorsque les résultats ne correspondent pas à celui escompté, le promoteur n’a aucun intérêt à ce que ses résultats soient connus et commentés ».

Que dire de plus sur le sujet de la falsification des données scientifiques par les impératifs majeurs de l’argent ?!

Encore aujourd’hui, c’est le cas. Lorsque le Professeur Perronne a demandé désespérément aux scientifiques de venir débattre avec lui du sujet qui nous occupe, devant les caméras de télévision : personne n’a jamais répondu « présent » à son appel. Aucun scientifique ne peut venir se faire tourner en ridicule et perdre toute crédibilité en défendant l’indéfendable… Les scientifiques susceptibles de prendre la parole en public ont soit été grassement payés pour le faire et pour transmettre la doxa convenue, en d’autres termes pour se taire, soit ils ont été menacés pour la suite de leur carrière et dans leurs moyens de subsistance… Ce fut très concrètement le cas d’un bon nombre de chercheurs de l’INSERM, comme en témoigne le Pr. Laurent Toubiana.

Sur la question des « conflits d’intérêts » qui ont largement appuyé le narratif officiel, il est nécessaire d’ajouter qu’en France, sur les trois ans de crise artificielle créée par la mafia pharmaceutique avec la complicité de la caste digitalo-financière, Macron a arrosé les médias inféodés d’une manne publique de 2 milliards d’euros, pour s’assurer leurs bons et loyaux services de menteurs. (Cf., Les Echos du 5 juillet 2020) 

En ajoutant les aides aux médias inféodés, venues de la sphère digitalo-financière, on dépasse les trois milliards d’euros. Cinq milliards ont été attribués à la culture et aux médias par le pouvoir macronien selon https://www.culture.gouv.fr dans un communiqué de presse du 01.07.2020. Théoriquement le gros de cet argent public devait servir notamment au soutien des artistes en difficulté du fait de la crise que l’Etat profond lui-même entretenait arbitrairement. Mais, il va de soi qu’il fallait tenir en laisse les médias inféodés et s’assurer de leur inconditionnelle soumission.

En France, il existe des « Conseils scientifiques indépendants » qui se sont constitués pour assurer une « réinformation covid ». Plusieurs centaines de scientifiques (2500 chercheurs) ont suivi l’initiative de Laurent Mucchielli, sociologue, médaille d’or du CNRS, en publiant des tribunes qui remettaient radicalement en question les positions et décisions du théorique « Conseil scientifique », réuni par Macron. Ce « Conseil de guerre » dit « scientifique », n’était là pour aucune autre raison que celle de nous servir en toute tranquillité le programme du « Great Reset » utilisant la « fenêtre d’opportunité » de la fausse pandémie. Ce programme avait été communiqué auparavant à tous les chefs d’Etats aux ordres de la classe stato-financière au pouvoir.  

Des milliers de scientifiques du monde entier ont décidé de sortir de leur mutisme forcé, en prenant la précaution de leur anonymat sous couvert d’organisations associatives protégées juridiquement, (à cause des menaces sur l’avenir de leur carrière) …

Il est donc nécessaire de dire aujourd’hui, que la communauté scientifique dans son large ensemble, ne cautionne pas et n’a jamais cautionné les mesures délirantes prises par les gouvernants sous l’impulsion des « élites » de la caste digitalo-financière ayant pris le pouvoir dans toutes les Institutions clés de notre monde occidental, comme l’OMS dont on a évoqué les sources principales de financements : la Fondation Bill et Melinda Gates.

Pour y voir clair dans la fumée épaisse de ce délire covidiste et des incohérences répétitives des gouvernants qui nous imposaient des mesures incompatibles avec le savoir scientifique, il fallait « suivre l’argent » disait le Docteur Louis Fouché, qui depuis, a été lourdement sanctionné, tout comme le Docteur Pascal Sacré en Belgique, par les adorateurs de la secte covidiste au pouvoir !

En effet, « en suivant la trace de l’argent » on découvrait et comprenait pourquoi et comment un tel délire avait pu s’emparer de ceux qui auraient dû être « responsables » en s’inquiétant des intérêts du bien commun et qui ont basculé collectivement dans la criminalité, à cause de l’argent… 

Le renard était bien dans le poulailler et la porte du poulailler avait été volontairement verrouillée pour laisser le renard opérer en toute tranquillité, protégé même de l’extérieur par des complices intéressés, afin d’empêcher quiconque de déverrouiller la porte jusqu’à ce que le massacre prenne fin et que le festin puisse commencer sans plus personne pour venir le troubler !

10.2 – Les violences gratuites ordonnées par les gouvernants 

On ne pourra jamais oublier que ce Gouvernement de criminels, s’étant emparé du pouvoir avec 28% des votes attribués à Macron en 2017, lui qui déclarait être « entré par effraction à l’Elysée », voulait parvenir à interdire la pratique du Yoga, de la méditation, ainsi que l’usage des plantes naturelles même pour une saine alimentation et jusqu’à la Vitamine D qui devrait être classée comme « perturbateur endocrinien » ! Tout cela, parce que, grâce à ces moyens simples et naturels, trop de gens se maintiennent en parfaite santé sans avoir besoin de passer par la case médicale supervisée par la Sécurité Sociale et l’obligation du pass vaccinal !

Selon ces gens hautement perturbés par leurs croyances sectaires, tout ce qui peut contribuer à une bonne santé physique et mentale des personnes doit être interdit en France ! A part de placer instantanément les Français hors-la-loi et de les pousser à ressortir la guillotine, on ne voit pas très bien ce qu’ils tentent d’obtenir, sauf si l’industrie pharmaceutique habite de fait en permanence dans leur cerveau malade…

Cette volonté ordurière est allée bien trop loin et la perversion de ces individus ne peut pas fonder une politique donnant le ton à une communauté de destin…

Ceux qui ont imposé toutes ces peurs, ces violences sur les personnes, ces erreurs gravissimes sur le plan médical et scientifique, ces gestes qui ont provoqué la mort et le désespoir chez les enfants ; tous ceux qui ont cautionné et servi ce délire hystérique destructeur sur tous les plans, ayant provoqué des milliers de morts pendant toute la durée de cette crise artificielle, sont des criminels qui devront être jugés comme tels. Ces criminels prétendront certainement qu’ils se souciaient justement du bien commun ! Le problème c’est qu’il faudra alors expliquer pourquoi, tous les experts en opposition avec le narratif de la doxa convenue ont été violemment censurés, dénigrés, sanctionnés, écartés, bâillonnés, voire même éliminés physiquement ! Nous avons assisté pendant trois années à la manière féroce d’imposer au monde la censure pour tout opposant, les menaces, les sanctions sévères et tous les interdits ne laissant apparaître que la seule parole totalitaire d’une caste, celle de l’industrie pharmaceutique flanquée de ses complices du numérique régnant sans partage sur un monde prié de se soumettre à ses produits expérimentaux sans « consentement libre et éclairé » !

Un chercheur épidémiologiste de l’INSERM, Laurent Toubiana donnait le point de vue des scientifiques sur le sujet de la Covid-19 et sur les mesures adoptées par les Gouvernants, dans une interview réalisée par les « incorrectibles » du 9 janvier 2022. (Cf., également l’IRSAN/Toubiana, puis le site spécifique pour covid.

Voir aussi : operanewsapp.com)

« Le principe de précaution s’applique aux technologies que l’on met en œuvre pour soigner ou protéger les gens dans le contexte de la santé publique », dit le chercheur.

Au début de la fausse pandémie les décideurs sont allés dans le délire du principe de précaution en décidant le confinement, et lorsqu’il fallait appliquer le principe de précaution sur la technologie qui serait utilisée (la « vaccination ») là, ils ont pris des risques considérables puisque cette technologie des « vaccins » est encore et toujours en phase de tests, et ces « vaccins » ne sont ni connus, ni vérifiés, ni assurés en termes d’efficacité, sans compter le concept erroné du vaccin en soi depuis l’origine!

Il est vrai que ces comportements sont difficiles à comprendre. Le conformisme est l’une des clés majeures qui permet d’analyser ce qui s’est passé dans cette crise hallucinante. C’est la peur qui est capable de pousser une personne à se conformer à une doxa convenue. Les collaborateurs du système font ensuite le reste quand ils s’affichent en vous disant qu’ils ont la compétence pour décider ce qui est votre bien et ce qui est votre mal !

Pendant la « pandémie » elle-même, en 2020, 5700 lits d’hospitalisation étaient supprimés ! 

Macron, en 4 ans, a supprimé 17.900 lits d’hospitalisation.  Le coût de cette crise de délire s’est élevé à 424 milliards d’euros, ce qui représente pour chaque foyer fiscal français, une somme de 500 euros à payer tous les mois pendant 3 ans !

La déclaration de Macron voulant « emmerder » les français, a ouvert les yeux de beaucoup de citoyens qui ont enfin compris qu’il était bel et bien entré par « effraction à l’Elysée ».

A suivre …

Articles précédents :

Partie 1 :

La légende du vaccinPasteur et l’Histoire.

Partie 2 :

La légende du vaccin: le verdict de l’histoire sur la faillite des vaccins.

Partie 3 :

La légende du vaccin. De la tuberculose à la Covid-19.

Partie 4 :

La légende du Vaccin. Il n’y a pas de suivi des accidents liés aux vaccins et la vérité est soigneusement occultée.


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