Les élections sont-elles toutes truquées ? Les partis politiques sont-ils tous manipulés ? Ou sont-ils tous complices ?
Cette petite revue de la presse de la dissidence (1), consacrée à l’éventualité d’une manipulation des résultats de ces dernières législatives françaises, et plus généralement au déroulement des élections en France et dans le monde, nous a amenés à nous poser des questions concernant le rôle des partis en France et à supputer le degré de leur sincérité vis-à-vis de leurs engagements moraux, déclamés en permanence avec force effets de manche sur l’importance du respect des valeurs républicaines, humanistes, écologiques, sociales, progressistes ou autres (autant de mots creux), de leurs «engagements» concernant le respect du mandat que leur ont confié leurs divers groupes d’électeurs, et la volonté affichée en permanence de tout mettre en œuvre pour les satisfaire.
Ces mots vides de sens ne sont même pas des vœux pieux, ce qui consisterait à faire au moins l’effort de tenter de proposer certaines mesures vertueuses pour donner le change, à défaut de vouloir donner quelque chose de plus concret.
Non, les politiciens jouent chacun le rôle qu’«on» leur a assigné dans une grande pièce de théâtre qui est écrite par des auteurs inconnus mais puissants et montée par des producteurs richissimes qui chargent leurs affidés locaux (c’est-à-dire au niveau d’un pays, voire d’un continent) du casting ; pièce de théâtre où le peuple est convié, uniquement en qualité de spectateur payant et passif, mais jamais en tant qu’acteur, et encore moins en tant qu’auteur ou producteur.
Les partis politiques et leurs représentants sont des courroies de transmission de la secte mondialiste en guerre contre les peuples attachés à leur sol, leur pays, leurs coutumes, leurs traditions, leur maison, leur village, leurs valeurs ancestrales de bienveillance, d’entraide, de respect, d’honnêteté, de courage, de discrétion, de bon sens… autant de vraies valeurs que les «progressistes» abhorrent.
Les résistants ou dissidents qui se sont consacrés à un combat désintéressé, et presque désespéré, pour tenter de dégager les peuples de l’emprise du mensonge établi comme dogme par la secte globaliste sont appelés «complotistes» ou «conspirationnistes», c’est-à-dire, précisément, ceux qui dénoncent les complots et conspirations que ne cessent de mettre en œuvre les «comploteurs» ou «conspirateurs» de l’Ordre mondial dont le but déclaré est de réduire à l’état de robot ou d’esclave l’être humain, de quelque pays que ce soit.
En France, la quasi-totalité des partis, des associations, des «mouvances», des «minorités», ont signé un pacte avec le diable mondialiste et sont ennemis déclarés de la dissidence : macronistes ploutocrates, bellicistes eurocrates, gaucho-wokistes violents de LFI, Otanolâtres, pseudo-écolos, passeurs négriers et militants pro-migrants, artistes et intellos en manque de reconnaissance, pédo-satanistes déclarés ou pas (2), LGBTistes transgenres et multigenres, progressistes, «humanistes» de toutes obédiences, transhumanistes dotés d’une intelligence toute artificielle, et autres suppôts de Satan…
L’un des rares partis politiques à avoir porté les vraies valeurs des «vrais gens» depuis des dizaines d’années fut le Front national puis le Rassemblement national ; les partisans du premier n’y ont vu que du feu lors de la passation de l’un à l’autre, comme au jeu de bonneteau, alors même que, pour preuve initiale d’allégeance au Système, comme une sorte de droit d’entrée, il fallait d’abord, pour Marine Le Pen, accomplir un rituel satano-freudien qui consistait à tuer le père.
Les dernières élections (européennes et législatives) ont vu ce parti se dépouiller rapidement et sans vergogne, par la voix de ses dirigeants, de toutes les valeurs pour lesquelles il avait été porté à l’Assemblée sans que ses électeurs ne se rendent compte du tour de passe-passe et sans que ses députés n’émettent la moindre objection. Un nouveau parti-godillot comme le fut celui de la Macronie. On ne les a pas vus non plus protester contre les manipulations de toutes sortes qui ont accompagné ces dernières élections et dont ils ont, de surcroît, été les principales victimes, apparemment consentantes (bonjour, les sados-masos !) et qui sont précisément le sujet de cette revue de presse.
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Nous avons été surpris lors des élections européennes de constater combien les sondages avaient été précis car les résultats qui ont suivi confirment, à la virgule près, l’exactitude de leurs prévisions (voir les tableaux). Étrange, n’est-ce pas ?
Nous avons également été surpris, dans ces mêmes tableaux, de constater les résultats catastrophiques des deux souverainistes et frexiteurs français, Florian Philippot et François Asselineau, alors même que l’un et l’autre disposaient, et disposent encore, d’une bonne image médiatique, d’un réel intérêt des Français pour leur action (voir les foules qui participaient aux manifestations organisées chaque samedi dans toute la France par Florian Philippot, depuis le début de la manipulation sanitaire, et jusqu’à ces dernières semaines) ; leurs scores respectifs (1%) font moins à eux deux que celui du parti animaliste, totalement inconnu, qui s’élève à 2,1%.
D’autant plus que les Français sont largement favorables au Frexit, selon les sondages, tel celui du Figaro du 9 mai 2024 (3) où il est indiqué que 46% des Français éprouvent un sentiment d’inquiétude concernant l’Europe de Bruxelles, 13% de la colère et l’on constate que seulement 15% de la population ont de la sympathie pour les institutions européennes.
Enfin, étonnés également que les deux politiciens concernés n’aient pas émis de protestation devant un résultat aussi peu significatif et représentatif de leur électorat et des positions anti-européistes des Français, ce qui laisse légitimement penser que leurs votes auraient pu être l’objet de manipulations en leur défaveur…
Notes:
- Il est bien évident que cette revue de presse ne peut concerner que la presse qui s’exprime par internet, par quelques petites revues qui survivent miraculeusement, et par les réseaux sociaux, mais nullement par les médias de grand chemin (comme les bandits) dits en anglais mainstream. On peut relever le fait que les «maîtres du monde», ou «le Prince de ce monde», pour cibler plus précisément leur chef, peuvent commettre des erreurs et créer une technologie que, finalement, ils ne maîtrisent pas. La créature de Frankenstein a échappé à son créateur. Il en sera de même pour les actions du transhumanisme qui sert de façade «scientifique» aux satanistes.
- En voici un déclaré : https://www.facebook.com/reel/1429489977712926
- https://www.lefigaro.fr/sondage-une-majorite-de-francais-a-un-sentiment-negatif-sur-l-europe/2024/05/09
- Source : Euro-Synergies