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Jeudi, 28 Mars 2024

Big Pharma fait pression en faveur d’une injection mensuelle de covid, annulant ainsi le faux récit qui prétendait autrefois qu’un vaccin vous rendrait votre « liberté »

Auteur : Ethan Ennals | Editeur : Walt | Lundi, 19 Juill. 2021 - 14h52

Des millions de personnes ont déjà été convaincues qu’elles avaient besoin d’un vaccin expérimental covid-19 pour survivre et être libres dans la société.

Maintenant, Big Pharma se prépare à dévoiler des injections mensuelles de covid-19 pour les personnes souffrant de problèmes de santé chroniques.

Les scientifiques britanniques font maintenant pression pour que les personnes ayant des problèmes de santé persistants reçoivent des vaccins mensuels contre le covid-19 afin de « stimuler » leur système immunitaire et d’aider à éliminer tout réservoir de SRAS-CoV-2 restant dans leur organisme. Ces « candidats idéaux » à la vaccination systématique sont déjà immunisés contre l’infection naturelle et ont même suivi le protocole de vaccination initial, ce qui va à l’encontre de tout bon sens. Mais ces « candidats idéaux » à la vaccination systématique souffrent toujours de maladies chroniques et sont maintenant poussés à prendre un vaccin mensuel pour faire disparaître comme par magie leurs symptômes de « COVID long ».

Big Pharma invente un nouveau terme pour dissimuler les causes sous-jacentes de la maladie

Le cartel des vaccins de Big Pharma cherche de nouveaux moyens de s’attaquer aux personnes qui souffrent déjà de divers problèmes de santé chroniques. Pendant le scandale du covid-19, des millions de personnes ont été convaincues que leurs problèmes de santé sous-jacents étaient le résultat du covid lui-même. Big Pharma a inventé le terme « COVID long » pour regrouper ces divers problèmes de santé sous un seul terme générique et faire d’une maladie infectieuse plus que ce qu’elle est réellement.

Sous la dictature de Big Pharma, la cause profonde du problème de santé n’a plus d’importance. Les personnes qui luttent contre la fatigue, la léthargie, le brouillard cérébral, la perte d’énergie, l’essoufflement, le manque d’endurance, l’arthrite et d’autres problèmes de santé peuvent maintenant prétendre qu’elles sont un « grand malade du COVID ». Même si ces problèmes sont des effets secondaires courants des médicaments que ces personnes prennent, le diagnostic correct peut être dissimulé et ignoré, ce qui permet au patient d’attirer l’attention et de s’appeler un « COVID long ». Une infection correctement traitée avec des nutraceutiques et des antiviraux n’entraîne généralement pas de problèmes de santé chroniques et n’exacerbe pas les problèmes de santé sous-jacents. En revanche, succomber au stress, à l’isolement, à la peur, à la terreur, à la détérioration des poumons par les ventilateurs et aux médicaments immunodépresseurs aura certainement des effets négatifs durables sur l’esprit, le système cardiovasculaire, le système endocrinien, le microbiome et le système immunitaire.

Les causes sous-jacentes sont ignorées, alors que des millions de personnes sont contraintes de vivre dans l’ignorance et la souffrance

L’étude britannique rapporte que plus d’un million de Britanniques sont aux prises avec des problèmes de santé persistants après s’être remis du covid-19. Rien n’indique si ces problèmes de santé existaient avant l’infection, ou s’ils n’ont pas été diagnostiqués avant l’admission à l’hôpital. Les praticiens allopathes passent souvent à côté des causes sous-jacentes des problèmes de santé des gens. Rien n’indique non plus si ces problèmes de santé persistants ont été exacerbés par le stress, l’isolement et la terreur engendrés par les confinements, les contrôles corporels et les messages pandémiques, ou si les problèmes de santé sont le résultat de traitements préjudiciables, d’infections opportunistes ou de soins médicaux de qualité inférieure. Quelle que soit l’origine des problèmes de santé, les scientifiques britanniques veulent aligner ces « COVID longs » pour leur administrer des vaccins mensuels. Parmi les quarante premiers candidats qui s’attendaient à être soulagés par les vaccins, certains ont senti leurs symptômes se dissiper dans les jours qui ont suivi les rappels, mais leur état s’est aggravé avec le temps.

En développant et en tirant parti de ce nouveau terme (COVID long), Big Pharma continue à tromper les gens sur les causes de leurs problèmes de santé chroniques. On apprend à cette catégorie de personnes à s’en remettre à l’industrie pharmaceutique pour traiter leurs symptômes, alors que les effets secondaires se multiplient. Néanmoins, ces personnes font d’excellents candidats pour tester les vaccins mensuels et autres programmes de dépendance aux produits pharmaceutiques. Ces personnes s’attaquent rarement à la cause sous-jacente de leurs problèmes de santé chroniques et sont plus susceptibles de suivre le protocole expérimental de vaccination contre le covid-19 – même si elles ont déjà acquis une immunité par une infection naturelle. Ces personnes n’ont pas abordé l’inflammation sous-jacente, l’oxydation cellulaire, l’acidose, l’empoisonnement aux métaux lourds, le déséquilibre hormonal, la dysbiose intestinale, la carence en nutriments et en minéraux, entre autres problèmes holistiques. Une fois que ces problèmes seront résolus, des millions de personnes se libéreront de leur statut de « COVID long » et sortiront de la mentalité de peur et de germaphobie qu’elles ont été conditionnées à accepter.

Et comme Macron l’a dit : « Les 1er vaccinés verront leur taux d’anticorps baisser et leur immunité diminuer ».

Traduit par Anguille sous roche

***

Commentaire ZeJournal:

C'est peut-être pour ça que le gouvernement va commander 2 milliards de doses de vaccin Pfizer:

30 doses par habitants, ça fait un vaccin tous les mois pendant 2 ans et demi quelque soit l'âge !

Si avec ça on est pas bien protégé...


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