Ursulagate : La Justice européenne face aux révélations de corruption et de faux témoignages
Le samedi 7 décembre, une conférence de presse a eu lieu suite à l'audience tenue la veille au tribunal de Liège. Cette audience concernait le dossier Covid-19 au sein de l'Union Européenne (UE). Plusieurs points cruciaux ont été abordés, notamment les arrangements secrets entre Albert Bourla et Ursula Von der Leyen, les contrats caviardés associés, les victimes d'effets secondaires des injections expérimentales, ainsi que quelques détails de corruption.
De nombreux plaignants ont fait le déplacement pour assister à cette séance qui n’est qu’une étape dans cette guerre juridique engagée depuis plusieurs années. Plusieurs pays, dont la Pologne et la Hongrie, ainsi que divers collectifs comme « navigants-libres », ont rejoint les 500 premiers plaignants, renforçant ainsi le mouvement contre Ursula Von der Leyen et ses agissements douteux pendant la crise Covid.
Cette mobilisation permet de revenir sur la violation des droits des citoyens, de questionner la pseudo-efficacité des vaccins et leurs effets secondaires, alors qu’ils étaient présentés comme sûrs, et de tenter de remettre les responsabilités à qui de droit.
Cependant, une pirouette juridique de la défense a permis d’éviter que le procès ne soit tenu. Le parquet européen est intervenu de façon impromptue pour annoncer aux plaignants, qui avaient fait le déplacement jusqu’en Belgique, que l’audience en cours s’arrêtait là et qu’il fallait patienter jusqu’à une nouvelle date, fixée au 6 janvier 2024.
Le camp adverse semble jouer la carte du temps et du découragement, mais cela pourrait se retourner contre eux. Le nombre de plaignants continue de croître, et les populations s’éveillent de plus en plus à ces enjeux.
Frédéric Baldan a déclaré :
« Madame Laura Kovesi, qui est la procureur en chef de ce parquet européen et qui est Roumaine, a fait l’objet d’un contrôle judiciaire en Roumanie où on l’accusait de corruption, de faux témoignages et d’abus de pouvoir. Nous avons ici des preuves matérielles qu’elle effectue des faux témoignages et qu’elle effectue bien des abus de pouvoir ».
Diane Protat et Frédéric Baldan ont également témoigné avoir été reçus par les forces de l’ordre dans le cadre de leur enquête, notamment lors de déplacements pour accéder à certains documents. Ils ont souligné qu’Ursula Von der Leyen ne bénéficie pas d’immunité, étant accusée d’infraction de corruption et de destruction de documents publics, notamment en raison de ses SMS tenus secrets.
Diane Protat a ajouté :
« Ursula Von der Leyen a agi en dehors du périmètre de ses fonctions en outrepassant les pouvoirs du comité de pilotage. Elle s’est ingérée directement dans ces négociations de façon secrète et a peut-être commis un pacte de corruption ».
Vous pouvez commencer le visionnage de cette conférence de presse à 4’30, le temps de laisser tout le monde s’installer :
- Source : Le Média en 4-4-2