Haro sur les ados : la HAS veut rendre gratuite la transition de genre
Ils veulent vraiment la destruction de notre jeunesse, une jeunesse forcément perdue dans un environnement anxiogène de crise politique et civilisationnelle grave. Chacun sait qu’une transition complète sur un ado et plus encore sur un enfant a un effet désastreux, et ne résout en rien le problème existentiel à l’origine de la demande. Tout le monde le sait, mais pas la HAS, qui veut faciliter la chose dès 16 ans.
La HAS, la Haute Autorité de santé, personne ne connaît, et pourtant ce simple collège de huit membres – des profs de médecine – dont deux sont nommés par le Président (il suffit qu’il nomme deux boss qui vont dans le sens de ses intérêts politiques propres, ou des intérêts de Big Pharma, pour que le jeu soit faussé) a une véritable influence sur notre vie, surtout en cas de fausse pandémie ou de destruction des barrières sexuelles. Et ces deux fronts ne vont aller qu’en s’aggravant.
Myocardite (130 % +élevée chez les vaccinés)
- Maladie coronarienne (40 % +élevée chez les vaccinés et s’aggravant)
- Arythmie (27% +élevée chez les pers vaccinées et qui s’aggrave) ;
- Lésions cardiovasculaires aiguës (23 % de +chez les pers vaccinées + aggravation de la situation) (piqué sur X)
On rappelle qu’en France, il y a non seulement un millefeuille administratif fait de milliers de parasites, mais aussi un millefeuille de parasites dans la santé : de mémoire, il y a le ministère de la Santé, évidemment, la Direction de la santé, aussi, la Haute Autorité de santé, les Agences régionales de santé, la Santé publique (elle a son propre site), le Conseil de l’Ordre, qui lui est privé, etc. Et face à ce millefeuille qui génère du parasitisme et de la pesanteur, sans oublier la corruption et les privilèges, on n’a plus de médecins de campagnes, et les services d’urgences ferment les uns après les autres. On ne reviendra pas sur ce scandale, ni sur la fermeture en douce de milliers de lits par le pouvoir néolibéral. Tout ça pour pousser les Français à acheter du soin privé, à l’image des retraites par capitalisation (Sarah est pour). Mais ne nous égarons pas. Enfin si, pour le principe.
Nous ne sommes pas attachés mais ligotés au système par répartition, qui nous condamne à toujours augmenter les cotisations et reculer l'âge de départ à la retraite ; où les actifs se sentent sacrifiés. Osons la capitalisation !#AssembléeBFM pic.twitter.com/B3EQ5A0eLM
— Sarah Knafo (@knafo_sarah) December 10, 2024
Pour ce qui concerne les fausses pandémies, on a vu ce que la HAS valait : elle conseille l’exécutif dans sa politique de santé. Autrement dit, en validant la vaccination totale de la population en 2021, elle a fait le jeu de Big Pharma. Tout ça pour reconnaître en 2024 que les vaccins ne protégeaient ni de la maladie ni de la contagion (on a vérifié sur leur site), mais bon, selon eux faut encore en 2024 vacciner les personnes à risques, et une dose c’est quand même bien contre les formes graves, toujours la même musique. Un « échec » absolu à la fois médical et moral, mais pas commercial, pour les multinationales et pour les médecins qui ont piqué à tours de bras. Quand une autorité va contre le bien public, et utilise pour cela la force publique, ce n’est plus une autorité, c’est une tyrannie.
Malgré cette catastrophe sanitaire (le covidisme, pas la « pandémie »), la HAS est toujours là, et aujourd’hui, elle veut faciliter pour tous les ados fragilisés l’accès à une transition de genre. C’est carrément dingue.
Pour donner un aperçu d’une vrai TDG (transition de genre), on vous a déniché cinq images de cette boucherie organique :
Si le choc visuel pouvait faire réfléchir les parents fiers de voir leur enfant changer de sexe, et peut-être les adolescents eux-mêmes (les adultes, on s’en fout, ils sont majeurs, responsables et multivaccinés), ça ne serait pas un mal.
On se demande comment on peut valider une telle boucherie, et même si la plupart des jeunes n’en arrivent pas à ça, et en restent à la prise d’hormones, cela n’a rien de bénin, et cela n’a rien à voir avec la santé. Nous, derrière la HAS, on devine des intérêts financiers majeurs, ces groupes privés qui vont vendre de la prestation – une transition de base (sans les effets secondaires !) coûte entre 25 000 et 50 000 euros – sur le dos de la Sécu. On a piqué ça au hasard sur Google :
D’après une étude, le marché américain de la chirurgie de changement de sexe devrait atteindre 6 milliards de dollars en 2030. En 2021, il représentait 1,9 milliard. Son taux de croissance est évalué à 11 % par an. 6 oct. 2022.
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HAS : Transition de genre des mineurs remboursée à 100 %, déchéance parentale en cas de refus
La transition de genre n’est pas une maladie, mais la HAS propose un remboursement à 100 %, alors que les Français doivent souvent payer une part importante de leurs soins. Les parents opposés à ces interventions pour leurs enfants mineurs risquent des sanctions. Ce projet, porté par des experts des milieux transactivistes, entache la crédibilité de la HAS.
Débat sur l’autorité parentale : la HAS défend l’émancipation des mineurs trans.
Remboursement sans maladie
Le Figaro constate que les militants trans ont infiltré la Haute autorité de santé. Au point qu’elle préconise l’instauration d’un véritable service public de la transition de genre, alors même que qu’elle reconnaît que « la transidentité n’est plus considérée comme une pathologie », tout en préconisant de rembourser intégralement cette prise en charge. La HAS défend aux professionnels de santé de voir la demande de transition comme une manifestation d’un trouble psychiatrique.
La Haute Autorité de Santé (HAS) vient de publier des recommandations qui suscitent déjà de vifs débats. Elle propose une prise en charge complète des parcours de transition de genre, en incluant notamment les traitements hormonaux et les chirurgies dites « d’affirmation de genre ». Ces mesures visent à sécuriser et faciliter l’accès à ces interventions, mais elles soulèvent des controverses, notamment en ce qui concerne les mineurs.
Un accès élargi aux traitements et aux chirurgies
La HAS préconise la mise sous traitement hormonal pour toute personne trans qui en fait la demande, sous réserve d’une « information éclairée ». Elle insiste également sur la nécessité de garantir un accès sécurisé à ces traitements et d’en rembourser entièrement les coûts.
En parallèle, elle recommande de faciliter l’accès aux différentes chirurgies d’affirmation de genre, sans imposer de délais supplémentaires. Parmi ces interventions figurent des opérations variées, allant des rhinoplasties et greffes capillaires pour la féminisation ou la masculinisation du visage, aux mammectomies, pose de prothèses mammaires, chirurgies génitales (phalloplastie, vaginoplastie) et même des modifications de la voix. Pour répondre à une demande croissante, la HAS encourage également la formation de nouveaux chirurgiens spécialisés, afin de garantir une offre de soins suffisante sur le territoire.
Des mineurs bientôt concernés ?
L’un des points les plus sensibles de ces recommandations concerne les adolescents âgés de 16 à 18 ans. La HAS suggère de traiter leurs demandes de transition de la même manière que celles des adultes, y compris pour des interventions chirurgicales comme les opérations thoraciques. Les chirurgies génitales sont soumises à une légère réserve : elles devront faire l’objet d’une décision collective, prise au cours d’une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP), réunissant des professionnels de santé et… des représentants d’associations trans.
Une autorité parentale remise en cause
Lorsque les parents s’opposent aux choix de transition de leur enfant, la HAS propose des solutions pouvant aller très loin. Elle encourage la mise en place de médiations pour convaincre les parents, mais en cas de désaccord persistant, elle recommande des signalements pouvant conduire à une délégation partielle, voire totale, de l’autorité parentale. Dans certains cas, cela pourrait aller jusqu’à une déchéance complète des droits parentaux ou une émancipation de l’enfant.
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— L'Aile à Stick (@aileastick1) December 13, 2024
La Haute Autorité de Santé veut un accès gratuit à la transition de genre pour tous, à partir de 16 ans.
Ce sont des putains de débiles. https://t.co/uUTAKZl3WV pic.twitter.com/11HefUfDK1
Ces recommandations vont à l’encontre des politiques adoptées dans d’autres pays européens comme la Suède ou le Royaume-Uni, qui ont opté pour une approche plus prudente face à l’augmentation des demandes de transition chez les mineurs. Ces pays mettent en avant des préoccupations liées aux regrets exprimés par des individus ayant détransitionné. Pourtant, la HAS ne mentionne la prudence qu’en référence à ces cas, sans ajuster ses propres recommandations sur la base des données disponibles.
Des militants plus que des experts
La HAS recommande vivement de rapprocher ceux qui demandent à faire une transition des réseaux d’associations transactivistes. Elle recommande même que ces associations soient « soutenues financièrement ». Comme cela tombe bien ! les coprésidents du comité d’experts de la HAS sont Clément Moreau, un psychologue transgenre qui exerce au sein d’une association transactiviste, l’Espace Santé Trans, et le chirurgien Nicolas Morel-Journel, spécialiste des opérations de changement de sexe.
Sur son site, l’Espace Santé Trans milite en toute inclusivité pour une prise en charge « accessible à tou·te·s ». Quant à Nicolas Morel-Journel, il traite d’« antitrans » ceux qui voudraient modérer son enthousiasme pour des prescriptions rapides de bloqueurs de puberté — et les chirurgies lucratives qui en découlent. Saisie par l’association Juristes pour l’enfance, la justice administrative a confirmé à deux reprises l’obligation de transparence de la composition du groupe d’experts de l’HAS, qui s’est pourvue en cassation.
Absence de preuves scientifiques
De nombreux professionnels de santé s’en tiennent aux recommandations d’une organisation internationale, la World Professional Association for Transgender Health (WPATH), très proche des milieux transactivistes. Quant aux rares études sur les bénéfices et les effets nocifs des transitions de genre, elles portent souvent sur des panels trop petits ou sont conduites selon des méthodologies discutables. Et quand elles ne vont pas dans le « bon » sens, elles ne sont pas publiées.
Faute d’études fondées sur des preuves scientifiques établies, présumées ou faibles, la HAS présente la quasi-totalité de ses recommandations sous le sigle « AE » pour « accord d’experts », ce qui permet de statuer sans preuve. Voici donc maquillé en consensus scientifique ce qui n’est en réalité que le reflet de l’unanimisme d’un groupe très peu représentatif de la diversité des avis scientifiques sur la transition de genre.
par Jacqueline - Le Média en 4-4-2
- Source : E&R