Marc Doyer accusé d’être antivax par « Le Monde » malgré ses deux doses et le décès de sa femme suite à la vaccination
C’est le nouveau sketch du moment. Comme nous l’avons mentionné dans un précédent article, Marc Doyer a été convoqué par la gendarmerie de Clermont pour avoir diffusé sur les réseaux sociaux le numéro de portable d’Olivier Véran, alors ministre de la Santé au moment des faits. Jusque-là, rien qui ne fasse tomber la République ou qui aurait un caractère du niveau de l’affaire Palmade. Pourtant, Le Parisien prend cette affaire très au sérieux pour défendre Olivier Véran.
Le quotidien titre « Une figure des antivax convoquée à la gendarmerie pour avoir diffusé le numéro d’Olivier Véran ». Notons l’effort de la journaliste Stéphanie Forestier de ne pas faire le lien avec le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie et la pénurie d’eau douce.
La journaliste provax, Stéphanie Forestier, semble oublier — certainement par inadvertance — de rappeler à ses lecteurs que monsieur Marc Doyer est vacciné deux doses et que sa femme, Mauricette, est décédée à 72 ans de la maladie de Creutzfeldt-Jakob — une dégénérescence rapide du système nerveux central — contractée quinze jours après la deuxième injection Pfizer. Des faits qui n’empêcheront pas notre griffonneuse de prendre la plume et d’écrire à quatre reprises dans son article le mot « Antivax ».
Quoi de mieux que d’écouter l’homme qualifié d’antivax, nous en dire plus concernant la stupidité ambiante dans les rédactions françaises :
Stéphanie, est-elle au courant des huit mois de Marc, (vacciné deux doses), aux côté de Mauricette, (vacciné deux doses aussi) ? Non ? En voici un petit aperçu qui va relativiser le petit problème de portable d’Olivier Véran : “Quand vous êtes obligé de faire du bouche-à-bouche à votre femme parce qu’elle fait une pause respiratoire et que d’un seul coup elle serre la mâchoire parce qu’elle fait des crises d’épilepsie horribles et qu’elle se mord la langue. Je crois que j’ai le droit à des réponses autres que de dire que je suis complotiste”.
Stéphanie oublie par omission !
Notre journaliste en herbe trouve le moyen de mettre côte à côte les mots “antivax” et “Marc Doyer”, tout en omettant de mentionner qu’une décision rendue en mars par le tribunal de Paris indiquait dans son jugement que les arguments présentés par Marc concernant l’inoculation du vaccin sur Mauricette, ainsi que la maladie qu’elle a développée par la suite, rendaient vraisemblable l’existence des dommages allégués. Nous sommes donc loin des affirmations scandaleuse d’Olivier Véran
Les journalistes vous veulent-ils du bien ?
La barrière muqueuse journalistique qui protège Pfizer — condamné à plus de 10 milliards de dollars d’amendes depuis 2000 — semble ne pas vouloir s’arrêter sur son propre rôle dans la propagande monstre autour du vaccin. Le récit fantasmé et mensonger qui nous assurait pourtant qu’un pangolin rencontrant une chauve-souris pouvait développer un virus juste à côté du laboratoire P4 de Wuhan, puis qu’un vaccin miraculeux, fabriqué en six mois allait stopper la contamination à 95%… Cependant, il fallait tout de même porter un masque, garder une distanciation physique dans la forêt ancestrale de Tronçais en Auvergne — où vous croiserez un être humain tous les 4 jours — et ne pas rester statique sur les plages, de peur qu’un drone vous repère et vous inflige une amende.
Le journalisme est-il condamné au journalopisme ?
A en croire Eric Stemmelen, ancien directeur de l’antenne et des programmes de France 2 et ancien directeur de l’institut de sondages Sofres, ce dernier expliquait très sobrement au micro de POUR.PRESS : « Quand le présentateur de la matinale d’Europe 1 est payé 38 000 euros par mois. Ça vaut quand même le coup de raconter n’importe quoi à ce tarif. » Quant aux petits journalistes comme Stéphanie Forestier, « on s’autocensure par peur d’être viré tout simplement […] il y en a qui n’ont pas l’intention de se retrouver au chômage. Donc le système est bloqué ! Il n’y a pas besoin d’envoyer la censure, c’est une autocensure ».
Au Parisien, comme dans la plupart des rédactions subventionnées par l’État, le journalisme consiste à écrire ce que ses supérieurs veulent entendre. Et avouons-le, Stéphanie Forestier fait un travail remarquable dans ce domaine. Au vu de la médiocrité ambiante, qu’est-ce qu’il y aurait de scandaleux à remplacer ces rédactions par ChatGPT ? Substituer une intelligence superficielle et rémunérée par une intelligence artificielle qui travaille gratuitement. C’est le prix à payer de la soumission !
A défaut d’être des journalistes du système — que Dieu nous en préserve — il nous est quand même venu à l’esprit d’interviewer Marc Doyer pour savoir s’il était vraiment antivax et complotiste. Nous vous invitons à faire votre propre jugement : Interview de Marc Doyer : “J’ai le droit à des réponses autres que de dire que je suis complotiste”.
- Source : Le Média en 4-4-2