Les études sur la sécurité des vaccins seraient-elles biaisées ?
Que nous dit cet article ?
Il nous apprend que les laboratoires font la pluie et le beau temps sur la science, qu’ils s’arrangent avec la science pour servir les intérêts de l’industrie, qu’ils trichent au quotidien en faussant les études sur les vaccins, qu’ils présentent des études tronquées et manipulées par leurs soins, pour surtout ne jamais montrer les failles des vaccinations et leurs dangers.
Lorsque des médecins honnêtes travaillant sur le terrain publient des études montrant ces failles, les laboratoires enterrent ces études et limitent tous les relais dans les organes de contrôle officiels, et dans la presse pour surtout ne pas mettre la puce à l’oreille des citoyens du monde et leur montrer que les vaccins ne sont pas la réponse ultime à la maladie, pire, qu’ils sont la cause de morts et de maladies chroniques inexistantes avant la vaccination.
Ce n’est pas comme ces défenseurs de la vaccination prétendent systématiquement, une théorie du complot, cet article en est la preuve, nous avons passé le stade de la théorie, et c’est effectivement un complot, mais un complot des laboratoires contre la santé humaine.
Hier soir, un certain médecin rendu populaire dans les médias, habitué à diffuser un faux savoir médical et surtout, une méconnaissance totale des vaccins, joue au représentant des laboratoires sur toutes les chaînes de TV et de radio, l’homme est invité partout pour faire de la propagande vaccinale et faire mentir la science sans le moindre scrupule.
Dans une émission sur le coronavirus, avec beaucoup d’arrogance, il déclara, « mais où sont-ils les anti-vaccins, on ne les entend plus » concernant un éventuel vaccin contre le coronavirus ?
Vaccin qui ne pourra jamais fonctionner et pour cause, ce virus est un virus adaptatif, aux capacités mutagènes, donc insaisissable, si le vaccin est conçu avec une souche, celle de Wuhan par exemple, il ne pourra être efficace contre une souche mutante d’Italie, de France ou d’Iran, c’est exactement le problème que nous rencontrons avec le vaccin contre la grippe qui ne fonctionne pas dans 92 % des cas.
Ce futur vaccin contre le Ncov-19 est un serpent de mer, une chimère qui fait rêver les gogos et qui les détournent de la vérité.
Il ne faut justement pas chercher et travailler sur un vaccin, il faut absolument cesser le déploiement de la 5G qui est responsable de la faiblesse immunitaire de tous les patients touchés mortellement par ce virus, comme nous l’avons expliqué sur Cogiito.com et comme d’autres sites informés à l’international le font savoir à travers leurs découvertes.
Mais c’est que justement, ce secret lourd à partager n’arrange pas les industriels de la 5G qui auraient beaucoup à y perdre financièrement et qui préfèrent sacrifier l’humanité sur l’autel de la Finance.
Ils sont responsables de la mort de milliers, voire de millions de morts autour de la planète, et se chargent d’accuser le virus d’être le coupable.
Le virus n’est que la seconde partie du problème, le principal responsable est le rayonnement 5G qui détruit l’ADN du vivant et le fragilise à un point qu’il ouvre toutes les défenses immunitaires d’un sujet pour le tuer.
D’autre part, la solution de la vitamine C pour guérir de la maladie liée à ce virus corona a été non seulement prouvée, et coute bien moins cher que n’importe quel vaccin à la rentabilité assurée par les médias et les gouvernements complices des laboratoires producteurs de vaccins et des maladies qui les accompagnent, appelons un chat, un chat.
Il y a en France dans le monde politique et dans les médias, une profonde lâcheté, souvenons-nous que le président Macron faisait le fier en hurlant à propos des Gilets Jaunes, entouré de son clan :
- « ils ne sont pas contents, qu’ils viennent me chercher »
malheureusement, le président haï comme l’autre médecin à l’incompétence médicale flamboyante, ont tout fait pour que le peuple ne puisse venir chercher le petit ergo Gan ni que les défenseurs de la vraie Science soient invités à débattre dans une émission de TV avec Michel Quiment, le pouvoir a tout fait pour que cela soit impossible, afin de protéger l’industrie pharmaceutique et maintenir le mensonge vaccinal qui ne cesse de s’effriter comme une montagne de sédiments.
D’un côté, le président couard, loin d’être l’Etienne, a étendu le dispositif de sécurité de l’Élysée, rendant toute approche de son auguste personne, impossible ; on mesure à l’aune d’une telle décision l’immense courage d’un cuistre qui se prend pour le belliqueux Bertrand du Guesclin, le « Dogue noir de Brocéliande », sans en avoir ni l’étoffe ni le courage et qui lui, les avait devant, contrairement au petit macro qui préfère entrer et sortir par la porte de derrière comme les lâches qui ne souhaitent pas être découverts.
Et l’autre médecin de pacotille qui fait le malin devant des millions de spectateurs et qui refusent justement la confrontation avec ses confrères et ces soi-disant anti-vaccins, de peur d’être tourné en ridicule par la Science.
Pauvre France, devenue malgré elle, Putain de Babylone, celle qui assassine les enfants du peuple et qui se prostitue pour les laboratoires qui dirigent véritablement notre pays contre les intérêts humains.
Nous vivons une époque formi… Diable !
Les autorités vous diront que les vaccins ont subi la « norme de référence » en matière de tests de sécurité.
Elles insisteront sur le fait que les vaccinations ont un long profil d’études de sécurité.
Elles affirmeront que le risque d’accident des vaccins de Big Pharma est de 1 sur 1 million.
Mais est-ce seulement vrai ?
Certainement pas, ne croyez jamais les laboratoires sur parole.
Le journal médical BMJ (British Medical journal) n’a jamais hésité à fournir des résultats médicaux, ni à exiger la transparence tandis que d’autres journaux jouent la sécurité.
Le professeur Peter Aaby
L’ analyse récente du BMJ [1]examine le déploiement du vaccin antipaludique par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en Afrique.
Les professeurs Peter Aaby [2] Et Christine Stabell Benn, deux auteurs de la récente analyse du BMJ, posent des questions apparemment évidentes sur la sécurité des vaccins qu’une grande partie de la communauté médicale travaille dur pour ignorer.
L’analyse demande :
« Peut-on répondre aux questions de sécurité après seulement 24 mois ?
Les essais de médicaments permettent souvent ce que l’on appelle des marqueurs de substitution comme preuve de l’efficacité d’un médicament dans les essais cliniques.
Par exemple, des statines et des taux de cholestérol controversés pour les maladies cardiaques. Même la FDA a autorisé l’approbation accélérée des médicaments pour les maladies graves sur la base de substituts jugés « raisonnablement susceptibles » de prédire un résultat réel.
En raison de l’urgence d’améliorer la lutte contre le paludisme en Afrique, l’OMS a l’intention de décider d’étendre les vaccins à d’autres pays africains après seulement 24 mois. Ils utilisent la prévention du « paludisme grave » comme raison, un substitut à la mortalité globale ».
Mais comme l’expliquent les auteurs de l’analyse BMJ :
- « Le paludisme grave n’est pas un bon marqueur de la mortalité toutes causes; ce n’est même pas un bon marqueur de la mortalité due au paludisme, car les données indiquent que la létalité des cas de paludisme grave pourrait être plus élevée dans le groupe de ceux qui ont été vaccinés contre le paludisme. «
En 1978, le professeur Aaby a créé le Bandim Health Project (BHP). Le BHP était un site de système de surveillance sanitaire et démographique en Guinée-Bissau en Afrique de l’Ouest.
À l’époque, la mortalité infantile était très élevée en Guinée-Bissau. La malnutrition était supposée être la principale cause.
Une étude a été lancée pour déterminer pourquoi les enfants souffraient de malnutrition. Il n’y avait pas de programme de vaccination communautaire en Guinée-Bissau jusqu’à ce que BHP en lance un en 1981 sous la direction du professeur Aaby. Plus tard en 1986, un programme national à part entière a été mis en œuvre, et le soutien de l’UNICEF se poursuit aujourd’hui.
Selon le professeur Aaby, lui et son équipe de recherche ont fait « l une des choses les plus spectaculaires [qu’ils] ont faites » en 1989, alors que l’OMS recommandait un nouveau vaccin contre la rougeole pour les campagnes de vaccination en Guinée-Bissau et au Sénégal.
Le professeur Aaby et son équipe ont montré que le nouveau vaccin était associé à une mortalité féminine deux fois plus élevée [3].
Des résultats similaires ont été observés en Haïti et au Soudan par d’autres chercheurs.
Après avoir initialement ignoré les conclusions d’Aaby, l’OMS a finalement retiré le nouveau vaccin contre la rougeole « sans aucune explication réelle » et sans « tenter de comprendre ce qui s’est passé. » Comme l’explique Aaby:
« Un vaccin qui protège pleinement contre une maladie spécifique mais qui est associé à une mortalité élevée … ce n’est nulle part dans les manuels ».
Actuellement en Afrique, les essais de phase III du vaccin antipaludique RTS, S / AS01 ont identifié trois problèmes de sécurité :
- Des risques plus élevés de méningite
- De paludisme cérébral
- Une mortalité féminine doublée
Les professeurs Peter Aaby et Christine Stabell Benn
L’analyse BMJ indique:
« Une décision précoce après 24 mois pourrait être biaisée en faveur du vaccin, qui était plus efficace au cours de la première année de suivi des essais de phase III ; les risques relatifs de paludisme cérébral et de mortalité féminine ont augmenté après la dose de rappel à 20 mois ».
Le professeur Aaby a fait de grandes vagues dans les communautés scientifiques et médicales avec ses étude de 2018 intitulée Preuves d’augmentation de la mortalité après l’introduction du vaccin contre la diphtérie[4], le tétanos et la coqueluche chez les enfants âgés de 6 à 35 mois en Guinée-Bissau : un temps de réflexion ? Aaby et son équipe ont conclu :
«… Les enfants de 6 à 35 mois vaccinés au DTC avaient tendance à avoir une mortalité plus élevée que les enfants non vaccinés au DTC. Toutes les études sur l’introduction du DTC ont révélé une augmentation de la mortalité globale ».
Les auteurs du BMJ suggèrent à l’OMS d’adopter un sens commun et une approche scientifique en recommandant que les études pilotes utilisent la « mortalité globale » pour évaluer les performances du vaccin plutôt qu’un substitut artificiel. De plus, ils recommandent que les populations soient suivies et étudiées pendant 4 à 5 ans avant qu’une décision de déploiement ne soit prise.
Le problème de surveillance de la sécurité de l’OMS n’est pas seulement un incident isolé sur un continent lointain.
En 2017, le Informed Consent Action Network (ICAN) a envoyé [5] un avis juridique au département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS), cherchant des réponses à une liste de questions de base concernant ses fonctions de surveillance de la sécurité des vaccins aux États-Unis.
Les agences américaines de réglementation et de santé affirment que les vaccins sont soumis à des tests de référence et à une forte surveillance de la sécurité.
Mais la victoire de l’ICAN devant les tribunaux a révélé que la documentation du HHS sur laquelle il s’appuie pour autoriser les vaccins – recommandé aux bébés à deux mois de vie – était trop courte pour saisir les problèmes de santé chroniques qui en résultent.
Réponse du Informed Consent Action Network aux États-Unis aux services de santé et aux services sociaux, décembre 2018HHS affirme dans sa réponse à l’ICAN [6] qu’il a accordé une « priorité à la sécurité des vaccins » et utilise le Vaccine Safety Datalink (VSD) et le système de surveillance rapide de la sécurité des vaccins (PRISM) après l’homologation pour évaluer si les événements indésirables sont liés à la vaccination.
Pourtant, il n’y a eu aucune tentative d’utiliser les données publiques VSD pour comparer les résultats de santé totaux des populations vaccinées par rapport aux populations non vaccinées.
Après que les scientifiques ont commencé à accéder au VSD pour mener des études qui ont révélé des dommages liés au vaccin, en 2001, HHS a transféré le VSD à une association professionnelle de l’industrie de la santé.
Cela a rendu les données VSD plus soumises à FOIA, et assuré que seuls les scientifiques et les études approuvées par le HHS sont capables d’utiliser le VSD. D’autres abus et comportements contraires à l’éthique entourant la suppression des études à long terme sur l’innocuité des vaccins utilisant les données VSD sont détaillés dans la réponse de l’ICAN au HHS. Il est accessible ici. [7]
Toute personne qui reçoit un vaccin est considérée comme une surveillance post-commercialisation. La science habile des laboratoires a forcé les citoyens, à leur insu, à participer à la phase finale des tests médicaux pour la sécurité des vaccins.
Vous a-t-on donné le consentement éclairé que vous êtes un sujet de recherche, avant d’accepter votre vaccination ?
Connaissiez-vous et comprenez-vous les événements indésirables graves que votre vaccin était susceptible de provoquer avant l’injection ?
Traduction pour Cogiito
Notes:
[1] https://www.bmj.com/content/368/bmj.l6920
[2] https://www.jeffereyjaxen.com/blog/why-you-should-know-about-peter-aaby
[3] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8671571
[4] https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpubh.2018.00079/full
[5] https://www.icandecide.org/
[6] https://www.icandecide.org/wp-content/uploads/2019/09/ICAN-Reply-1.pdf
[7] https://www.icandecide.org/wp-content/uploads/2019/09/ICAN-Reply-1.pdf#page=76
- Source : The Highwire (Etats-Unis)