Réchauffement climatique : qu’en est-il de la masse de glace de l’Arctique ?
Un réchauffement global doit engendrer une fonte globale de glace aux pôles arctique et antarctique. Les réalisateurs du documentaire « Climate Change », adeptes du réchauffement climatique, avaient l’intention de filmer la fonte des glaces en Arctique.
Leur bateau le MS MALMO s’est arrêté le 3 septembre 2019 au large de Longyearbyen, dans l’archipel de Svalbard (Spitzberg) bloqué par les glaces. Cette année, il est le dernier d’une longue liste de navires coincés dans la glace arctique étonnamment épaisse.
Le navire suédois, construit en 1943 et rénové en 2014, effectuait un « tour de l’Arctique » avec la noble mission de transporter au-delà du cercle polaire une équipe spécialisée dans les documentaires sur le réchauffement climatique. L’objectif de l’équipe était de filmer la fonte catastrophique de la glace claironnée par les médias mainstream. Cependant, cette fonte tarde toujours à se concrétiser malgré des décennies de ferveur aux Nations Unies et au GIEC.
L’équipe des réalisateurs réchauffistes a dû être évacuée par hélicoptère pour éviter de finir congelés comme des hibernatus. Tous sont sains et saufs.
Une fonte estivale normale
En 2019, il n’y a rien eu d’extraordinaire pendant la fonte estivale arctique. Le rapport épaisseur/volume de la banquise arctique n’a pas changé par rapport à sa moyenne de 2004-2013. L’Institut Danois de Météorologie (DMI) publie les données ci-dessus, qui démontrent que fontes et glaciations arctiques sont dans la norme, depuis 2006. Aucune fonte anormalement élevée n’est à signaler.
Données du DMI
Les données modélisées par l’Institut météorologique danois (DMI) montrent que la banquise a cessé de se raréfier depuis 13 ans, contrairement aux prévisions antérieures des climatologues et des modèles.
En fait, les stations côtières de l’Arctique se refroidissent plutôt que de se réchauffer. Cela en a surpris plus d’un ! Chaque 1er juin, la saison de fonte arctique commence. C’est le moment de calculer le volume de glace arctique. En 2018, la tendance fut surprenante. Au lieu de diminuer rapidement, comme l’affirment souvent les scientifiques alarmistes et certains médias, la banquise a un peu grandi. En fait, le volume de glace n’a pas diminué depuis 13 ans !
Ces résultats scientifiques sont basés sur des calculs effectués à partir du modèle opérationnel HYCOM-CICE du DMI.
Il est aujourd’hui plus important que jamais de se concentrer sur des données scientifiques réelles faite in situ.
Données de Environnement Canada
Cet institut est chargé de calculer l’équivalent eau des glaces et neiges dans l’hémisphère Nord. Or, selon ses calculs, la couverture de glace en août 2019 était supérieure à la normale de 15 km3 dans l’hémisphère Nord. Les données de Environnement Canada montrent qu’une partie de la glace sensée disparaître à cette époque de l’année n’avait pas fondu.
Le Pentagone annonce un refroidissement global
Le département de la Défense du Pentagone a commandé un rapport, afin de prévoir l’impact d’un changement climatique brutal sur la sécurité des États-Unis. Or, les conclusions se sont révélées si alarmantes que les plus hautes autorités ont tout fait pour l’étouffer.
Ses auteurs, Peter Schwartz et Doug Randall, s’appuient sur des études de l’évolution générale des conditions climatiques à l’échelle terrestre. A partir de 2010, ils envisageaient de brusques refroidissements du climat. Or, il semble que la période 2019-2020 marque un changement climatique majeur avec une augmentation progressive des masses de glace aux pôles.
L’« élite » sait depuis longtemps que nous nous dirigeons vers un refroidissement planétaire. Cependant l’idée du réchauffement permet de créer des taxes et profits oligarchiques qui vont spolier outrancièrement les populations. Une taxe « glaciation » n’aurait sans doute pas le même effet…
Neige dans le Névada le 10 septembre 2019
C’était encore techniquement l’été. Pourtant l’hiver s’est invitée quelques jours dans le haut pays, rapporte CBS-local. Beaucoup de gens se demandaient si le déluge n’était pas autre chose que de la neige fondue. Selon le NWS Reno, il s’agissait de « graupel », flocons de neige recouverts de glace.
Neige dans le Colorado le 12 septembre 2019
Le Colorado semble lui aussi être passé de l’été directement à l’hiver. Un front froid de fin d’été a amené des orages et un léger soupoudrage de neige dans les régions montagneuses au-dessus de 10 000 pieds, a rapporté CBS Denver. De la neige est tombée dans le bassin d’Arapaho, dans le centre de Keystone, rapporte CBS News.
Neige dans le Montana le 29 septembre
Plus de 60 cm de neige sont tombés et des lignes électriques ont été détruites dans les Rocheuses. Browning a été recouvert de 58 cm et East Glacier Park de 53 cm. L’avis de « tempête d’hiver » du National Weather Service pour certaines parties du centre-nord du Montana était en vigueur. Ivan Cabrera, météorologue à CNN, a déclaré qu’il pourrait tomber encore 30 à 60 cm de neige. La ville de Great Falls, au Montana, a été couverte par 24 cm de neige. C’est un nouveau record de chutes de neige battant le précédent de 1954 avec 9,1 cm à la même date.
La ville de Choteau était déjà touchée par des chutes d’arbres et de lignes électriques, ce qui rendait les routes dangereuses selon KRTV, filiale de CNN.
« Ces conditions météorologiques surpasseraient la tempête hivernale de 1934, qui a été pour de nombreuses régions la plus forte chute de neige en début de saison jamais enregistrée » a déclaré M. Cabrera sur CNN.
« Il pourrait s’agir d’un épisode de neige en début de saison d’une importance historique », a déclaré le service météorologique national de Great Falls, au Montana.
Neige au Chili le 1er octobre 2019
Dans l’hémisphère Sud, au printemps, la neige et le givre ont surpris les habitants de La Araucania, au Chili. Ces informations ont été transmises par les habitants via les réseaux sociaux.
On note des refroidissements record en Chine, en Russie, en Finlande, aux USA, au Canada et dans l’hémisphère Sud. Des températures relevées en Russie, en Chine et au Canada ont affiché jusqu’à -50° Celsius. Ce sont les froids habituels de l’Antarctique. Si cette tendance se confirme, il deviendra difficile de soutenir la propagande réchauffiste, malgré les attaques climatiques de cet été en Europe.
- Source : Morphéus