Hold-up sur la médecine
Cette appellation m’est apparue à la suite de l’article de Me Poggia: Hold-up démocratique. La dynamique de hold-up a aussi inspiré un livre au Dr François Choffat: Hold-up sur la santé. Est-ce que la santé mérite de subir pareillement des hold-up?
Apparemment oui puisque le système politique le gère et, à travers Swissmedic, commet aussi un hold-up sur les produits thérapeutiques. En favorisant la liste des spécialités, il soutient grandement les industries pharmaceutiques au détriment de remèdes connus de longue date ou même qui ont été testés par des scientifiques alors que mis de côté par la science officielle.
Par exemple les huiles essentielles d’autant plus qu’elles donnent une alternative aux antibiorésistences.
Nous subissons aussi un hold-up sur la prévention. Ainsi, les instances gouvernementales mettent en place une organisation très importante, avec les frais nécessaires et imposants, pour favoriser des vaccinations, ce qui permet une main-mise importante des industries pharmaceutiques sur un mode de procéder alors que l’immunité dépend de maints facteurs qui, quand ils sont encouragés, protègent de bien davantage de maladies que lorsqu’on vise un microbe ou un virus, lesquels présentent en outre quelques souches qui nécessitent la modification des vaccins et, en attendant, de nouvelles infections.
On en vient par là au hold-up sur les lois de la nature. On veut nous faire croire qu’on peut éradiquer une maladie alors que la nature a bien d’autres tactiques pour changer la forme de ses créatures, ce qui peut même aggraver les morbidités. Ou encore, la maladie reste coi un moment car les conditions générales pour son développement manquent.
La recherche sur quelques vaccins illustre un hold-up sur les recherches, lesquelles coûtent un temps fou, énormément d’argent, des instituts limités et sollicitent des chercheurs qui pourraient développer des recherches dans des domaines plus variés. Un exemple nous est donné avec les annonces d’un vaccin contre le sida qui a accaparé beaucoup d’énergie de toutes sortes depuis longtemps plutôt que de chercher des pistes originales pour guérir ce symptôme d’immunodéficience acquise qu’on a cherché à simplifier par l’appellation de maladie du virus HIV. On peut parler ici d’un hold-up sur les recherches scientifiques!
Les hold-up ne s’arrêtent pas là. Nous découvrons aussi le hold-up sur les connaissances scientifiques. Ainsi, en focalisant sur une donnée biologique par exemple, on peut créer un produit pharmaceutique qui rapportera des milliards. Tel est le cas du « mauvais cholestérol » qui a permis un commerce florissant des statines, à quoi s’ajoutent le coût des effets secondaires.
Cet accaparement de la médecine et des êtres humains se produit aussi dans ce qu’on peut appeler le hold-up des corps. Le système actuel cherche à s’arroger le droit d’utiliser les organes d’un mort ou, à la rigueur d’un adulte consentant sur le papier.
En parallèle, il y a aussi hold-up des corps dans les GPA qui esclavagisent des femmes et créent une commercialisation des êtres humains.
Et nous arrivons au hold-up sur l’argent des assurés dont le système dispose selon des critères discutés au Parlement, ce qui est décrit dans l’article hold-up démocratique de Me Poggia. et non selon les besoins fondamentaux de la gestion de la santé, ressentis par les assurés eux-mêmes.
Avec toutes ses dynamiques de hold-up, les individus ne peuvent que parer les coups et ne pas prendre conscience de tout ce qui est à leur portée pour recouvrer la souveraineté de leurs corps.
- Source : Le blog de Bien-être-soi (Suisse)