L’agro-industrie-alimentaire : c’est surtout immangeable
La Nature, qui en sait tellement plus que nous, a créé les molécules vivantes. Avec une bonne raison. Des escrocs avides viennent foutre le bordel dans tout cela par le «cracking» de ces molécules. Soit plus de vie, que de l’artificielle alimentation… Un de leurs cyniques, face aux aliments ultra-transformés, ose «en fait c’est la même pâte qui sert à tout, entremets, confiseries, fausses viandes. Etc. C’est un SEUL aliment juste avec des additifs et des emballages différents». L’horreur dans le simplisme ! C’est à cause de «ça» que les vrais paysans sont persécutés ? D’où l’agro-business (l’agro-industrie-alimentaire), vraiment discrédité, va voir se déployer un immense texte collectif contre lui.
1. Le texte collectif
Chaque apport (le vôtre aussi bien) sera rajouté au texte au fil des jours ! Un exemple (puisqu’il faut bien commencer !). Ensuite nous verrons comment politiquement ceci peut se structurer :
Dans la rubrique «c’est immangeable et, en plus, cela trop nuit à la santé»
1- Colonel «Pour info sachez que l’exosquelette des insectes, la chitine, n’est que très difficilement absorbée par l’organisme humain pas conçu pour ! seul les animaux insectivores ont un système digestif adéquat, pas nous ! de plus quid de leur toxicité possible ??
J’ai plus confiance dans ma côte de porc que dans un steak à base d’insectes…»
2- Riverdance 2.0 «La médecine devrait également avoir ce même type d’approche vis à vis du corps humain, mais il faut réellement savoir comment celui-ci «fonctionne» avec ses lois, tout comme la terre, le monde végétal et animal.
Les divers produits chimiques nous coupent du monde vivant.
Enfouis dans le sol, cela «étanchifie» les plantes des forces telluriques et par aspersions, des forces cosmiques.
La plante a une partie dans le sol (racine qui pompe les nutriments) et la partie aérienne (humidité de l’air, soleil, lune, planètes, constellations, etc. etc.)
3- EN PLUS les faux dirigeants NE MANGENT PAS CETTE SALE NOURRITURE :
… tout comme ils ne se vaccinent pas, comme ils protègent leurs enfants des écrans, etc., les faux dirigeants ne mangent pas la merde de la fausse alimentation : Riverdance 2.0
«À votre avis, quel type d’aliments mangent ceux qui nous écrasent ?»
Les plus grands vins de France, sont en biodynamie.
Lors d’un repas avec les plus «grands» un individu cite les différents produits de ce mode de culture… Bref, ils refilent lâchement tous les tracas au peuple et se monopolisent les vrais… paysans.
2. Nous entrons enfin enfin dans l’ère où tout se voit AUTREMENT
Un paysan ne fait pas de publicité : pas besoin, ses produits sont sains. Seuls les escrocs font de la publicité. Pubs qui retrouvent leurs sales réputations de tromperies partout. Mauvais point pour l’agro-business, elle ruisselle de pubs dégueulasses qui lassent !…
Tant de nouveaux concepts ? S’y habituer avant de foncer !
*** le retour à la multiculture nourricière avec des techniques raisonnées et non les démentes monocultures qui tuent les terres ex-fertiles !
*** lutter contre les déshumanisations de tous les secteurs. N’est plus dit élevages de poulets mais «usines de poulets !»… Plus de cultures de légumes mais des «chantiers», etc..
Enfin, les 2 buts principaux poursuivis ??
1- Direct chez les producteurs = plus d’intermédiaires ! Tendances accrues à se grouper fort autour des vrais paysans… les marges anormales de la grande distribution vont être réintégrées au collectif
2 – Collectif qui va texter afin de faire vomir tout l’immangeable !
Buts animés par ce 3)…
3. Le Bouclier Santé
• En endommageant l’estomac la malbouffe
En endommageant l’estomac, la malbouffe l’empêche d’indiquer au cerveau qu’il est plein, donnant l’impression de n’être jamais rassasié. Ce qui explique les obésités non désirées. Mais, aussi, fait émerger un ensemble d’interrogations tranversales à toute la Société : est-ce ainsi que nous voulons vivre ? La réponse est non !!!
Alors – Comment avec peu d’argent s’échapper de cette spirale ?
Voir les vidéos plus-disantes :
Il existe toujours des solutions – le rôle de la propagande reste de nous empêcher de les découvrir et le les mettre largement en œuvre !
Est-ce que ce système obsolète est appelé, lui, à durer ?
• Les 10 chiffres vraiment fous de l’alimentation
«Ce sont des chiffres que l’on peine à croire. Aujourd’hui, la volaille d’élevage représenterait, en masse, 70% des oiseaux de la planète. Et 75% de l’alimentation mondiale reposerait sur seulement douze plantes et cinq espèces animales»… le lien développe les autres aberrations qu’aucun… média mainstream N’OSE nous montrer… Évidemment ces fous ont soutenu uniquement ces autres fous ! et en 2024 ils crèvent de honte…
• Industrie agroalimentaire et pharmaceutique le cartel du poison
«On a entre nos mains le pouvoir de soigner la Terre, on a entre nos mains le pouvoir de soigner nos corps, et de réparer nos démocraties en souffrance en… enlevant le pouvoir au cartel du poison»… Pas plus compliqué que cela : le vouloir c’est le pouvoir !
• Notre planète.info / causes de mortalité monde
De très loin la pollution de l’air tue le plus… or il n’est parlé que d’obésité (plus de moitié moins) d’alcool idem et de tabagisme bien moindre… car cela n’accuse que les particuliers ! Mais… l’air… assassiné accuse la pitoyable… oligarchie et sa stupidité de croire et faire croire que si elles s’enrichissent cela … enrichit les pays… eh non cela les appauvrit… dans Tous les domaines !
LA BOUFFE QUI N’EST PAS POUR LA BOUCHE ?!!
.• Des aliments présentés pour les vendre pas pour les manger !
Tout à l’identique : la Nature n’est plus utilisée que comme des… tailles à calibrer, des normes toujours plus monomaniaques (afin d’éviter de l’emploi humain). Dans les pommes, la merveille des goûts se voit entièrement sacrifiée JUSTE pour un calibrage. La «bonne «taille», le bon aspect mais plus aucun attrait sensuel. L’avis des consommateurs sans cesse oui jeté à la poubelle. «Il y a une pression incroyable des industriels pour tuer toutes les alternatives. L’objectif, c’est qu’il n’y ait pas d’autres systèmes qui fonctionnent. Si vous reconnaissez de la qualité ailleurs que dans le système industriel, vous faites l’aveu que ce système productiviste c’est tout sauf de la qualité» (p.229 – Isabelle Saporta – «Le livre noir de l’agriculture», 2011). Ainsi, le but affiché par la société vers du «progrès» s’inverse en ce qu’il n’y ait… pas de progrès. Aucun choix autre que ceux imposés par les lubies des grandes surfaces, si bardées de préJugés, qui juge sans jamais examiner à l’avance.
Oui, des mensurations de rêve ont contraint les producteurs à s’endetter jusqu’à la démence «d’onéreuses machines, capables de calculer la coloration du fruit ou du légume, de précalibrer les pêches ou les oranges» (…) afin de… «faire le tri entre les différentes tailles de fruits et d’en fixer les prix. Le système de précalibrage est décidemment bien pratique. À chaque calibre son prix» (p.185 – ibidem.). Le bébé attardé grande distribution, bourrée de tics et de compulsions insensées, se prouve chaque jour plus… débile. Tout ce qui n’est pas HOMOGÈNE n’a pas le droit de cité dans la maison de poupée irréaliste de leur vie hors sol, hors réel et hors conséquence assumées de leurs prédations. Leur effarante fainéantise mentale les rend indignes (et nous indigne !) de toute prise de décision collective ! La nourriture est trop sacrée pour la laisser entre les mains d’une telle industrie de la stupidité. La subsistance c’est pour manger pas pour faire des profits immérités !
Cadrer, calibrer, quadriller à la folie va, peut-être, détruire la planète. Puisque ces cerveaux qui imposent À SENS UNIQUE ces caprices fantaisistes refusent, compulsivement, d’être eux- mêmes soumis au «cadrer, calibrer, quadriller». Ignorant et voulant ignorer toute la réalité. «Aujourd’hui il y a tellement de cadavres dans les élevages que le camion passe toutes les semaines» (p.69 – ibid.). Ou bien, encore, les conséquences monumentales des idioties de «non-conformité» unilatérales (alors que la grande distribution n’est surtout pas «conforme» sur tant de points essentiels !) «Les raisons de non conformités sont multiples et souvent insignifiantes, mais ça représente des volumes énormes [donc… d’illégaux… gaspillages alimentaires !]» (p.83 –ibid). Et nombre de yaourts parfaitement mangeables partent à la poubelle… Les conditions d’élevage sont devenues telles «qu’on doive gaver ces bêtes d’enzymes pour qu’elles puissent digérer des céréales qu’elles ne devraient pas manger» (p.116 – ibidem.) ! Au final, les élevages ne gagnent plus, uniquement les vendeurs d’additifs… Partout, de telles indéfendables absurdités. Alors que le circuit de production supporte seul ces aléas, les conséquences des caprices tyranniques des grandes surfaces – elle ne partage absolument pas la valeur ajoutée de toute la filière. Elle met, ainsi, en péril tout le futur. L’antisocialité de l’industrie agroalimentaire est allée bien trop loin !
Surtout depuis qu’ils persécutent les vrais paysans avec de la vraie nourriture !!!
Y’A PLUS DE GOÛTS !!
• Le goût de la vie préfère quelle alimentation ?
La tendance est donc de supprimer tout effort pour le consommateur traité comme un grand malade. Et ce serait, aussi, à sa demande ? La société du haut, en général, sombre dans une fainéantise générale : tous les problèmes s’accumulent à la porte mais son auto-laxisme l’empêche de lever le petit doigt afin de, seulement, ouvrir la porte.
Ceci peut se déduire, directement, du fait que cette société se montrer imperméable à toute réprimande. Elle n’a plus de fierté. Les engueulades ne la touchent plus. Elle a perdu tout honneur, cette société. Et «sait», intimement, que face à, à plus du tiers (40%) de ses membres (les libéré(e)s du système), elle ne peut plus assumer. Elle se sent réellement inférieure à elles/eux. Sa chute est trop grande. Etc. Là, les réponses tiennent la route. Et ressemblent à des pensées d’adultes. Que faire alors ?
SURTOUT LORSQUE … l’offre…
L’offre de saveurs se rétrécit dramatiquement. Ce qui vient de deux sources égale en nuisances collectives :
1) «Avec l’augmentation des rendements agricoles, nos aliments sont devenus des coquilles vides… de nutriments. Combien de pêches, d’oranges, de brocolis faut-il ingurgiter pour retrouver les bienfaits d’il y a un demi-siècle ?»
Oui 100 pommes pour une… seule des années 1950. Imaginons-nous ingurgiter 100 pommes à chaque fois. La déchéance commune dépasse l’entendement… Nous assistons bien à une inversion de tous les… progrès !!!
Fuyant ce constat contrasté : l’agro-indus-alimentaire réduit, du même coup, les coûts… et les goûts. Mais le consommateur est, aussi, «collabo» et ne combat pas les dérives qui sont contraires à ses intérêts… vitaux.
… alors que LA TERRE RESTE FERTILE… Fertile d’elle-même
• La terre fertile d’elle même
«Allez savoir pourquoi (on y va !) jusqu’à présent on a mis beaucoup plus d’argent dans l’élaboration de produits phytosanitaires que dans la recherche pour faire plus bio» (p.237 – Isabelle Saporta – «Le livre noir de l’agriculture», 2011). La preuve flagrante d’un monde vraiment à l’envers. Celui où l’irrationalité veut dicter sa déraison à la Raison.
La Terre s’auto-fertilise ducon… à moins que tu veuilles (souillon, malpropre, salopeur, dégueulasse) la faire aller plus vite que ses cycles = soit ces intrants chimiques que nul corps ne peut… manger.
«Pois, féveroles et lupin sont des protéines écolos par excellence. Elles fixent l’azote de l’air et n’ont pas besoin d’engrais azoté (…) Bref, elles enrichissent les sols sans avoir besoin de les fertiliser et, cerise sur le gâteau, elles ne sont pas très gourmandes en eau. Eurêka, Bruxelles commencerait à verser des subventions…» (p.121- ibid). Reste à contourner… les techniciens des coopératives… anti-paysans ! Ce qui inverse le capitalisme en la vision d’une pandémie très nuisible, c’est justement la… mono-maniaquerie de l’argent unique. Le profit qui détruit toute raison, toute rationalité, tout sens des mesures comme toute solution… économe. Et donc sensée. Et qui nous est ramenée, sans cesse, avec la gueule pitoyable d’une excuse… pour fous furieux ! Ah bon ! À ce point malades… oui oui, mon pov’ monsieur, faut les laisser faire !!! Solution : reterritorialiser les aides. Faire de l’Alimentation un SERVICE PUBLIC !
Oui oui «planter des pois avant le maïs, ça permet de réduire l’apport azoté de 30 à 40 kilos par hectare. Non seulement le pois n’a pas besoin d’engrais, mais il servira d’engrais pour les cultures qui lui succéderont» (p.227 – ibid)… Est- ce si difficile à comprendre ? Ne pas faire le léger effort de le faire s’appelle, clairement, un crime contre l’humanité. Chez les prétendus dirigeants, quelques gestes simples et les pollutions diminuent très visiblement. Trop inexcusable de ne pas le faire à la seconde !!! Des garanties pour les citoyens ? Oui comment le contrôler ? Simple aussi. Tous les champs de toutes les couleurs représentent l’équivalent de «la nourriture comme médicament c’est de mettre toutes les couleurs dans votre assiette». Et Isabelle Saporta de rappeler : «il n’y a plus de couleurs dans les champs, il n’y a plus de diversité dans les auges, le système s’est très appauvri et l’on est obligé de compenser ces carences à grands coups d’additifs chimiques. Un aliment pour poulet, c’est 4 denrées végétales et 30 additifs» (p.116 – ibid). Et là où il n’y plus de diversité ils ont le culot de sales gosses de clamer que «nous avons encore le choix». Choix de quoi ? De mettre fin à cette anti-agriculture ! Claire insulte à toutes les traditions.
Nous sommes tellement aliénés que l’idée que la terre puisse être féconde par elle-même ne peut parvenir jusqu’à nous. Nous nous la représentons si inerte et malade que nous lui injectons pleins de drogues artificielles. Or, il y a 100 ans, un excédent de fertilité, accumulé sur des millions d’années durant le Carbonifère, était disponible. L’agriculture intensive (sauf pour l’intelligence comme nous allons le découvrir !) s’est crue à «l’origine» de cette fécondité. Elle l’a pillée et gaspillée en 100 ans.
Ce n’est pas preuve de… perspicacité que de laisser les sols appauvris, exsangues et stériles. Tout en ayant dilapidé un trésor commun de millions d’années en un minuscule siècle. Preuve éclatante, s’il en est, que le capitalisme ne connaît rien aux vraies affaires, celle qui durent des siècles et des siècles : les trésors que l’on ne brûle pas mais que l’on gère et protège. Lui, le capitalisme, il fait plutôt tout disparaître, dans de gigantesques gaspillages (inexcusables !) en quelques secondes spéculatives !!!
Mieux, afin de quitter pour toujours «leur» système…
La permaculture triomphe ! Le jardin d’ÉDEN est un «jardin» où la Nature se fertilise elle-même. Ce jardin est bien plus productif que l’ABSTRACTION inhumaine de l’agriculture artificielle. Qui «omet» de lister tant de désavantages et de désavantages – qu’elle provoque – qu’elle parvient à faire «croire» (foi toute métaphysique et non preuves physiques… ) qu’elle peut remplacer la Nature. Qui démasque bien la vraie folie furieuse qui siège dans l’idée d’une telle agriculture. Ses concepts sont si détachés du réel qu’ils ne répondent plus de rien sur ses destructions. Qu’ils ne sont plus aptes à répondre du réel vu qu’ils se conduisent en étrangers (alien) sur Terre. Étymologiquement, signifiant «agriculture permanente», et non culture du seul «champ», agro-, la permaculture va vaincre !!!
La permaculture s’appuie sur la Nature et c’est pour cela que son intelligence s’en irradie. Beaucoup de pays du Tiers monde ne veulent pas du tout de la «croissance occidentale» – ils optent, à la place, pour les modèles intelligents comme la permaculture (afin de lire la suite, allez sur le lien en toute fin de texte).
D’avoir, ainsi, voulu artificialiser la Nature à coups de drogues imbéciles – remplaçant ses cycles bénéfiques par pleins d’intrants (qui ne peuvent faire de bien à la santé !), allant du pétrole et autres énergies fossiles jusqu’aux OGM – représente en fait une très nette régression de civilisation. Tant de destructions de liens sociaux – tant d’anti socialités venant des si fausses élites. Ces hideux cancres !
«c’est si immangeable»… leur bouillie idéologique !! Surtout si elle se voit fermement remise à sa place… C’est en train de dévaler en 2024 !
4. Faire de l’Alimentation un grand SERVICE PUBLIC
Ainsi, ces derniers jours – leurs trop de satisfactions… anormales à entuber les vrais paysans… ont semé ces graines qu’ils ne comprennent pas…
et Nous récoltons tout à Leur Place !!
fait !!
Oui oui faire de l’Alimentation un grand SERVICE PUBLIC !
Faire de l’Alimentation un SERVICE PUBLIC sans but lucratif.
- Source : Imagiter