Les OGM parlent aux OGM : Macron expose la méthodologie de Davos
Après la pratique, la théorie : ayant, entre 2019 et 2022, transformé – sous prétexte d’« urgence sanitaire » – une majorité de français en OGM, Macron leur explique à présent que cette façon de procéder est en tout point conforme à la doctrine de sa secte.
Soucieux d’entretenir l’illusion – vitale pour le régime – qu’il existe dans cette galaxie des formes de vie à la fois intelligentes et intéressées par les opinions d’une star du théâtre lycéen d’Amiens, E. Macron a cru bon de confier à tel ou tel titre de la presse subventionnée (je ne prends plus vraiment la peine d’essayer de les distinguer) ses réflexions, profondes comme un SMS d’Ursula, sur le serpent de mer du bruitage médiatique intitulé « IA ».
Sans aucune intention de revenir à cette pseudo-question sur laquelle je ne me suis que trop exprimé jusqu’à présent, j’ai néanmoins tiqué sur un passage ô combien croustillant de ces déclarations :
« Le modèle anti-OGM qui consiste à interdire la recherche au prétexte que l’on ne maîtrise pas toutes les conséquences d’une technologie, ce n’est pas le mien ».
Sans blague ?
On aurait pu penser qu’à force de se faire – avec la complicité dudit mari de Brigitte – empoisonner sous prétexte de combattre une pandémie imaginaire par tous les laboratoires capables de cotiser au WEF, le Gaulois – que Macron prend, décidément, pour le dernier des ministres du gouvernement Borne – aurait fini par comprendre de lui-même que Macron ne retarderait jamais d’une seconde aucune expérimentation marrante d’un de ses sponsors de Davos, sous prétexte, par exemple, d’épargner des vies (de toutes façons surnuméraires) de gens qui ne sont rien.
À vrai dire, même sans la tentative d’empoisonnement de masse des années 2020-21, la simple appartenance du Petit à cette « famille » politique qui place « l’Europe » – c’est-à-dire la réévaluation métaphysique de l’Anus – au centre de sa symbolique et de son onomastique, aurait pu nous suffire à comprendre de quoi il en retourne.
Après tout, le féminisme, la famille « reconstituée », l’homme « déconstruit » et l’usage récréatif des enfants « fluides », c’est aussi une technologie dont « on ne maîtrise pas toutes les conséquences » – même si, Dieu merci, la démographie commence à nous livrer des éléments de réponse.
- Source : Le Courrier des Stratèges