L’abattage des Français est en marche
La guerre des champs est déclarée. Les agriculteurs, provoqués par un régime macronien qui veut les éradiquer, se sont mués en Gilets jaunes.
Au début, certains pleuraient quand les gendarmes venaient sécuriser les vétos collabos pour abattre les troupeaux. D’autres se suicidaient. Aujourd’hui, ils se battent : c’est mieux. Pourquoi offrir au pouvoir européiste une victoire facile ? Mieux vaut perdre (provisoirement) dans l’honneur, comme nous.
C’est pourquoi nous ne sommes pas trop pour l’agenouillement, mais si ça peut permettre de sauver quelques bêtes...
🇫🇷En Ariège, les agriculteurs se mettent à genoux face aux forces de l’ordre, restées debout, boucliers et matraques en main. La tension est extrême.
— Tocsin (@Tocsin_Media) December 12, 2025
Puis un geste inattendu : un gendarme pose son bouclier à terre. Pierre-Guillaume Mercadal @CochonsLaineux s’avance et… pic.twitter.com/88gyHagHDV
Crise agricole: "Hier soir il y a des gens qui sont venus vraiment pour casser du CRS" déplore Jérôme Bayle, éleveur de bovins en Haute-Garonne pic.twitter.com/CzvhSDz4gC
— BFM (@BFMTV) December 12, 2025
Dans toute guerre, il y a des salauds, des traîtres, des corrompus. Guillaume Bayle est devenu le collabo de l’opération dermatose, ce couillonavirus des vaches. C’est vrai qu’il a un CV assez fourni, côté pouvoir. On ne serre pas la main, à genoux, impunément à Gaby !

Mais s’il n’y avait que l’ancien Premier ministre... Il y a aussi Marine, l’écolo en carton reconditionné, qui pactise avec le pestiféré. Sait-elle que la peste politique se transmet par simple contact ?
Non, rien. pic.twitter.com/o4bqvAU5aJ
— Destination Télé (@DestinationTele) December 13, 2025
La Confédération animale décrète la fin des abattages, et les blocages d’autoroutes commencent. La chance de la Macronie, depuis novembre 2018 et le soulèvement des Gilets jaunes, c’est de n’avoir affronté que des soulèvements corporatistes, sociologiquement cloisonnés, pas encore un soulèvement généralisé. La convergence des luttes est un exercice complexe, surtout quand les syndicats officiels, désormais à la solde du gouvernement, font tout pour fractionner la lutte.
C’est pourquoi tout commence toujours dans le chaos, la désorganisation, l’improvisation. Mais toujours, la lutte se structure, et toujours de la même façon. Il y a un moment où les révoltés n’ont plus peur de la matraque, et là, le pouvoir est confronté à une question simple : faut-il transiger avec les gueux ou tirer dans le tas ?
On n’y est pas encore, mais vu la pression intérieure que subissent les Français, on y viendra immanquablement. Peut-être Macron sera-t-il déplacé juste à temps par le pouvoir profond (ou par l’étau des forces internationales, suivez notre regard), qui risquerait trop gros à le garder, devant une jacquerie généralisée...
Mais pour l’instant, tout tient. C’est branlant, mais ça tient. Le politique est totalement déconsidéré à l’image du trio maudit Macron-Pivet-Larcher, les médias mainstream se font chaque jour lyncher sur les réseaux sociaux, l’argent des ménages commence à se dissiper, comme par magie, comme une mer qui recule dangereusement, signe d’un tsunami prochain.
Au fait, quid des 600 millions investis dans une usine à faire de la farine à partir d’insectes, et qui vient de se casser la gueule ?
🔴🇫🇷🚜 ALERTE VIDÉO | Patrick Legras, président de la Coordination Rurale dénonce ce qu'il s'est passé en Ariège, dénonce aussi les politiques.
— Jon De Lorraine (@jon_delorraine) December 12, 2025
Il rappelle que 600 millions ont été mis dans une usine pour faire des insectes mais pas pour aider les paysans.pic.twitter.com/yCuYa1MmNn
Confédé paysanne : évitez l’écriture inclusive, c’est mauvais signe
💥📢✊🚜#DNC : la Confédération paysanne appelle à des blocages partout ! Paysan·nes, agriculteur·rices, syndiqués, pas syndiqués, retraité·es, citoyen·nes... Agriculture et alimentation sont l'affaire de tous et toutes. Cette politique sanitaire mortifère doit cesser !@afpfr pic.twitter.com/2NAfgIxJs1
- Source : E&R















