« Dépopulation et migration » : François Asselineau dénonce l’opacité du Bilderberg et la complicité des médias

La discrète réunion annuelle du groupe Bilderberg, clôturée ce 15 juin, a une nouvelle fois réuni des figures politiques et économiques mondiales. Parmi elles, Gabriel Attal et Édouard Philippe, dont la participation soulève des questions sur l’influence de ce cénacle sur les décisions publiques.

Un agenda qui interroge

Parmi les thèmes officiellement abordés figurait la « dépopulation et les migrations », un sujet explosif en pleine campagne électorale européenne. Pourtant, aucune déclaration, aucun compte-rendu : le silence des participants contraste avec l’importance des enjeux. François Asselineau, critique habituel du manque de transparence, interpelle : « Pourquoi les journalistes ne demandent-ils pas des comptes ? » Une absence de curiosité qui nourrit les soupçons.

L’hypocrisie médiatique

Il y a dix ans, évoquer le Bilderberg valait une accusation de complotisme. Aujourd’hui, des ministres français s’y rendent sans s’en cacher… mais sans s’expliquer. François Asselineau rappelle l’embarras des médias en 2017 face à ses questions sur le sujet. Preuve que certaines portes restent verrouillées, malgré l’ère des réseaux sociaux et des fuites incontrôlables. La démocratie mériterait-elle moins de lumière que ces réunions privées ?