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Vendredi, 19 Avr. 2024

Le grand réveil : Notre-Dame, l'incendie cache un énorme secret

Auteur : Oleg de Normandie et le Collectif Citoyen | Editeur : Walt | Jeudi, 01 Juill. 2021 - 17h16

Voici le premier article de la série « Notre-Dame, le grand réveil » qui va révéler l’énorme secret de Notre-Dame, lié à l’incendie du 15 avril 2019. La charpente d’époque qui brûla, était en réalité une véritable pièce à conviction, une preuve pour la révélation. Notre enquête s’appuiera entre autres, sur le roman « Notre-Dame de Paris » de Victor Hugo, qui révèle de manière hermétique la vérité sur Notre-Dame, car le romancier et l’architecte Viollet-le-Duc connaissaient le secret. 

« Mais il est peut-être d’autres lecteurs qui ont bien voulu en lisant Notre-Dame de Paris, se plaire à démêler sous le roman autre chose que le roman, et à suivre le système de l’historien et le but de l’artiste à travers la création telle quelle du poète » Victor Hugo, Notre-Dame de Paris.

Nous lisions l’article de Frédérique Vidal « Il est temps de se souvenir de qui nous sommes » avec plaisir et adhésion, mais il lui manque la réponse à cette question fondamentale : Qui sommes-nous réellement ? Quelle est l’identité profonde de notre peuple, quels sont les principes pour lesquels nous sommes prêts à nous battre ? Après la crise politico-sanitaire et ses tartufferies médiatiques, le peuple n’a pas réagi, trop faible psychologiquement, en manque de philosophie et de sacralité : la liberté, la justice et la vérité sont des valeurs sacrées que nous devrions défendre comme la prunelle de nos yeux, mais « nous » n’avons rien fait, car ce « nous » n’existe plus. Heureusement, il a bien existé un temps où le peuple était fort et conscient, Notre-Dame, temple du peuple, est un témoignage de cette force latente. 

C’est plusieurs siècles après la construction des cathédrales Notre-Dame dans toute la France que notre peuple a été vidé de sa substance spirituelle. C’est lors de l’inquisition que notre passé et notre identité nous ont été totalement retirés, et depuis lors, tel un amnésique à qui on a raconté des mensonges pour le manipuler, notre peuple n’a été qu’un aveugle guidé par l’appétit de ces marionnettistes. 

Nous ne cesserons jamais d’insister sur le fait que nous ignorons que nous sommes ignorants de notre passé, car nous croyons savoir. Tout s’explique pourtant facilement : nous avons subi un génocide ethnico-religieux. Dès 1562 ce fut les guerres de religion, qui restent à ce jour les plus meurtrières de l’histoire (30 millions de morts rien qu’en Allemagne), puis ce fut la terreur des bûchers de l’inquisition qui prit le relais jusqu’à environ 1700. Cette période de notre histoire est à la fois la plus dramatique et la plus importante, pourtant elle ne fait que quelques lignes dans les programmes, et aucun historien officiel ne traite la campagne de désinformation étatique qui accompagna l’inquisition, ce fut le « grand reset » durant lequel on fit disparaître la culture, l’histoire et l’identité des peuples occidentaux. Et cet obscurantisme n’a pas cessé après les « Lumières » de la Révolution Française, non il continua de manière sournoise et sélective, on gouverne mieux un peuple d’aveugles.

C’est dans ce contexte que Notre-Dame de Paris et les autres cathédrales du Moyen-âge ont un rôle de ré-information à jouer, car elles sont des livres de pierres, les derniers livres à ne pas avoir été brûlés pendant l’inquisition ! La pierre ne brûle pas, « papier pas pierre » ! Les monuments anciens étaient des médias :

« Jusqu’à l’arrivée de l’imprimerie, l’architecture était le grand livre de l’humanité » Victor Hugo, Notre-Dame de Paris

On efface plus facilement une histoire écrite sur du papier, qu’une écrite sur un monument de pierre.

Notre-Dame est un témoignage encore vivant de notre passé, de notre identité profonde, de notre philosophie et de notre vie spirituelle oubliée de force par l’inquisition. Les cathédrales gothiques sont les chefs d’œuvre de l’occident, vieilles de huit siècles, elles sont des vaisseaux issus du passé, toutes codées par des symboles et des signes, elles sont de véritables livres. 

15 avril 2019, Notre-Dame de Paris brûle, dans l’ombre, les inquisiteurs ont fait leur retour : la censure, la désinformation dans les médias, la montée des religions monothéistes et le harcèlement contre ceux qui n’obéissent pas à la pensée obligée en sont les symptômes. L’incendie de Notre-Dame est à la fois souvenir et renaissance de l’inquisition.

Le symbole est au livre de pierre ce que les mots sont au livre de papier.

Victor Hugo savait tout l’importance de Notre-Dame de Paris, il en connaissait la fonction suprême de messager : Notre-Dame vogue à travers le temps, à travers les époques, à travers les mondes, tel un cheval magique ramenant un message écrit par nos plus lointains et nos plus sages ancêtres. Ce message philosophique et spirituel contenant notre « nous », nos contemporains en ont plus que jamais besoin, nos âmes sont affamées de sagesse, nous sommes aussi riches matériellement que nécessiteux spirituellement. Messagère allégorique pour l’œil du sage, princesse majestueuse pour l’œil commun, Victor Hugo décida de sauver la princesse Notre-Dame lorsqu’il comprit son rôle supérieur intemporel, il nous le dit dans la préface du roman « Notre-Dame de Paris » :

« Il y a quelques années en visitant, ou, pour mieux dire, en furetant Notre-Dame, l’auteur de ce livre trouva, dans un recoin obscur de l’une des tours, ce mot gravé à la main sur le mur :

?Ν?ΓΚΗ.

Ces majuscules grecques, noires de vétusté et assez profondément entaillées dans la pierre, je ne sais quels signes propres à la calligraphie gothique empreints dans leurs formes et dans leurs attitudes, comme pour révéler que c’était une main du moyen-âge qui les avait écrites là, surtout le sens lugubre et fatal qu’elles renferment, frappèrent vivement l’auteur.

Il se demanda, il chercha à deviner quelle pouvait être l’âme en peine qui n’avait pas voulu quitter ce monde sans laisser ce stigmate de crime ou de malheur au front de la vieille église.

Depuis, on a badigeonné ou gratté le mur, et l’inscription a disparu. Car c’est ainsi qu’on agit depuis tantôt deux cents ans avec les merveilleuses églises du moyen-âge. Les mutilations leur viennent de toutes parts, du dedans comme du dehors. Le prêtre les badigeonne, l’architecte les gratte […]

C’est sur ce mot qu’on a fait ce livre.  Victor Hugo Février 1831 » 

« La forêt » comme on la surnomme, est partie en fumée. Les bâtisseurs de cathédrales avaient pour coutume de laisser leurs signatures sur les charpentes…

Ainsi l’incendie de 2019 n’est pas un cas à part, comme le dit Victor Hugo, depuis 1600 environ, on modifie la cathédrale, on la corrompt, on efface, on gratte les signes. Cette époque de dégradation correspond pourtant à la période de la toute-puissance de l’église catholique et de son ordre des jésuites, grand inquisiteur. N’est-il pas étrange que l’inquisition chrétienne s’en prennent à une église, et que Victor Hugo, terrible adversaire de l’église et fervent défenseur de la laïcité, fut l’homme qui sauva Notre-Dame ? En effet, l’édifice du XIIe siècle était menacé et c’est son roman qui le sauva. 

Enfin, comment expliquer que l'Église catholique mit à l’index le roman de Victor Hugo ? « Considéré comme une lecture pernicieuse par l'Église catholique, Notre-Dame de Paris fait partie des romans mis à l'Index en 1834 » source Philippe Boutry. 

Vous ne rêvez pas, c’est bien un laïc, Victor Hugo, qui sauva Notre-Dame, et des chrétiens qui l’ont négligée ! Cette dernière « étrangeté » trouve son explication dans l’histoire authentique de Notre-Dame et de la France, dont nous venons d’amorcer la désoccultation, rendez-vous au prochain article ! 


- Source : FranceSoir

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