Confinement au Royaume-Uni: l’abus d’enfants «caché par les sous-déclaration»

C’est l’épidémie cachée dont personne ne veut parler…

Suite à la fermeture du COVID-19 ordonnée par les gouvernements, les adolescents et les enfants sont victimes d’abus physiques en nombre record, avec des cas impliquant des enfants en Angleterre et au Pays de Galles à leur plus haut niveau depuis 2014, selon un récent rapport de la NSPCC.

Même la prestigieuse revue médicale Lancet admet finalement que les mesures de fermeture prises par le gouvernement lui-même ont entraîné une augmentation de la mortalité – due aux restrictions de mouvement imposées pendant la prétendue « pandémie ».

En raison de la politique de panique du gouvernement et de son obsession pour le « nombre R » (Nombre de reproduction de base), les rapports de dépression, de suicides et d’abus d’enfants ont également grimpé en flèche au Royaume-Uni.

La situation s’est tellement aggravée que même les grands médias – comme la BBC – sont obligés de rendre compte de l’ampleur de la dégradation sociale causée par les politiques de confinement  malavisées du gouvernement.

La BBC a rapporté…

Une baisse significative du nombre de cas d’abus d’enfants signalés à la police pendant le confinement masque la véritable ampleur de ce qui est arrivé aux enfants vulnérables, affirment les chefs de police.

Les données du Conseil national des chefs de police montrent que les signalements en Angleterre et au Pays de Galles ont diminué de 25 % entre avril et août, par rapport à la même période en 2019.

Mais les policiers ont déclaré à BBC Newsnight que cela ne représente pas la réalité.

Et les officiers supérieurs avertissent que le nombre de renvois à la protection de l’enfance va maintenant augmenter.

Le chef de la police Simon Bailey a déclaré qu’il soupçonnait que la baisse de 25 % était « une image fausse et trompeuse » de ce que les enfants ont pu vivre pendant ces mois.

« Les enfants qui auraient été exposés à ces expériences négatives pendant le confinement, cela n’apparaîtra que lorsqu’ils passeront du temps dans l’environnement sécurisé d’une école, en contact avec leurs enseignants, qui sont très, très bons et habiles à identifier ces signes – les indicateurs que quelque chose ne va pas dans la vie de cet enfant », a-t-il déclaré.

Le surintendant Chris Truscott, de la police du sud du Pays de Galles, a convenu que les enfants vulnérables n’avaient que peu de possibilités, pendant le confinement, de révéler des comportements dangereux, qui ne commenceraient à se manifester que lorsque les écoles seraient de retour.

Il s’attend lui aussi à une augmentation du nombre d’aiguillages que les agents n’auraient pas eu la possibilité d’identifier pendant le confinement.

« S’ils étaient vulnérables avant la pandémie, alors il est probable que la vulnérabilité aura augmenté au cours de cette période », a déclaré le surint…

Continuer cette histoire à la BBC…

Traduction Aube Digitale