L’industrie pharmaceutique va commencer à insérer des micro-puces dans des médicaments
L’ère du micro-puçage pharmaceutique est maintenant devant nous. Novartis AG, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques dans le monde, a dévoilé un projet afin de commencer à implanter des micro-puces dans des médicaments dans le but de créer une technologie de « pilule intelligente ».
La technologie de micro-puçage est brevetée par Proteus Biomedical à Redwood City, Californie. Une fois activée par l’acide de l’estomac, la micro-puce intégrée commence à détecter son environnement et à émettre des données à un récepteur utilisé par le patient. Ce récepteur est également un émetteur qui peut envoyer les données par Internet à un médecin.
L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.
Les meilleurs programmes mis en avant…
En surface, tout cela paraît bien, mais les lecteurs de NaturalNews (site original de l’article) ont certainement tout un tas de questions sceptiques à propos de cette technologie. Pour commencer, Novartis ne prévoit apparemment pas de réaliser des essais cliniques qui pourraient prendre en compte les problèmes de sécurité liés à l’ingestion de micro-puces. « Novartis ne s’attend pas à devoir conduire des essais cliniques approfondis afin de prouver que les nouveaux produits fonctionnent », rapporte Reuters. « A la place, son but est de réaliser de soi-disant tests de bio-équivalence afin de montrer que ce sont les mêmes que les originaux. » (http://www.reuters.com/article/idUSTRE6A754720101108)
Mais j’ai une question : quels produits chimiques ou quels métaux lourds sont-ils présents dans la micro-puce elle-même ? Une micro-puce qui transmet des données doit évidemment posséder une source d’énergie, ce qui signifie qu’elle doit avoir une très petite batterie ou un genre de condensateur. Les matériaux utilisés dans les condensateurs et les batteries, à ma connaissance, sont toxiques pour le corps humain et ne devraient jamais être avalés.
Les micro-puces ne sont pas de la nourriture et le fait de les avaler semble dangereux pour votre santé, particulièrement si vous ingérez plusieurs micro-puces par jour.
La confidentialité des données
Un autre problème important soulevé par les micro-puces qui transmettent des données concerne leur confidentialité. Si ces micro-puces émettent de l’information, alors cette information peut évidemment être collecté par tout ce qui se trouve à proximité, y compris éventuellement par des individus peu scrupuleux ou des organisations qui pourraient en faire une mauvaise utilisation.
Par exemple, supposons qu’une pharmacie locale installe un détecteur de signal de micro-puce dans leur porte d’entrée principale dans le but de suivre les gens qui émettent des données de « médication ». Ils pourraient alors théoriquement décoder cette donnée et l’utiliser afin de déterminer quelle maladie affecte le client, et puis vendre des produits pharmaceutiques génériques faisant office de substitution.
Des agents gouvernementaux pourraient être équipés de « scanners à micro-puce pharmaceutique » qui déterminent quelles pilules vous prenez en ce moment. Ceci pourrait être utilisé afin de violer votre vie privée en partageant cette information avec d’autres agences gouvernementales ou même en la vendant à un tiers, comme des sociétés de marketing.
Je doute clairement du fait que les données transmises par ces micro-puces dans ces pilules seront codées car le cryptage nécessite une véritable puissance de traitement, et dans ces toutes petites micro-puces, il n’y a pas vraiment de place pour une unité de traitement ou une source d’énergie. Très probablement, elles vont transmettre des signaux bruts, non traités, qui peuvent être détectés et décodés plutôt facilement.
Souvenez-vous de prendre vos médicaments
Mais la partie la plus effrayante à propos de ces micro-puces médicales est le fait que cette technologie sera utilisée afin de s’assurer que les gens prennent bien leur traitement. Les compagnies pharamaceutiques perdent des milliards de dollars par an (d’après elles) à cause des patients qui oublient de prendre leurs pilules. Bien entendu, l’une des raisons pour lesquelles ils oublient de prendre leurs pilules est qu’une grande partie des produits pharmaceutiques provoquent des dégâts aux fonctions cognitives, mais cela est ici hors-sujet.
Cette technologie de pilule micro-puce intelligente va donc probablement être utilisée pour traquer les pilules que les patients auront prises afin qu’il leur soit « gentiment rappelé » de prendre les éventuelles pilules qu’ils auraient oubliés de prendre. Dans le domaine du marketing, cela s’appelle un « programme de continuité ». C’est un moyen destiné à s’assurer que des ventes répétitives se produisent de façon régulière.
Dans ce contexte, le micro-puçage des pilules profite aux compagnies pharmaceutiques, mais pas nécessairement aux patients. C’est particulièrement vrai lorsque l’on considère ces produits pharmaceutiques qui sont nocifs pour la santé humaine – et nous savons tous que le marché pharmaceutique est rempli de pilules dont on a plus tard découvert qu’elles étaient extrêmement dangereuses voire mortelles (quelqu’un se rappelle-t-il du Vioxx ?).
Le futur : les scanners à médicaments de la police et les scanners à médicaments des employeurs
Maintenant, il y a peut-être un effet secondaire intéressant à propos de tout cela : les employeurs qui réalisent des entretiens pour des candidats à un travail potentiel pourraient être capable d’acheter (ou de fabriquer) un simple scanner à médicaments qui détecte la présence d’un signal de transmission d’une micro-puce pharmaceutique.
Ceci pourrait être très utile pour des employeurs qui ne souhaitent pas engager des personnes sous traitement. Ils vous invitent pour un entretien et scannent discrètement à la recherche de données de transmission médicales. Une lumière rouge les prévient lorsque vous émettez des données médicales, et ils vous disent calmement que l’entretien est terminé et « nous vous recontacterons ».
Les employeurs sont en ce moment dépassés par les coûts de l’assurance maladie. Cela pourrait fournir une méthode simple et facile pour les entreprises afin qu’elles évitent de recruter quelqu’un susceptible d’être un fardeau pour leurs programmes d’assurance maladie (d’après leurs opinions). Je ne suis pas nécessairement d’accord avec cette utilisation de cette technologie; Je dis juste que c’est une méthode qui sera probablement utilisée par les employeurs afin d’acarter les employés qui sont sous traitement.
Les policiers pourraient également utiliser un scanner similaire afin de déterminer si un conducteur sur une scène d’accident pourrait être affecté par des médicaments. Voilà une utilisation que je cautionne. Les routes d’aujourd’hui sont remplies de conducteurs affaiblis mentalement qui sont littéralement drogués aux médicaments. A propos, le problème est en fait bien plus grave que des conducteurs ivres, et pourtant jusqu’à présent rien n’est fait afin de combattre ce problème de « conducteurs sous médicaments » (la plupart des personnes ne savent même pas que ce problème existe).
Si les personnes qui prennent des médicaments émettent ces informations par l’intermédiaire de toutes les micro-puces qu’elles avalent, dans ce cas, analyser la présence de médicaments est simple. C’est même encore plus simple qu’un alcootest car cela ne nécessite aucune action de la part du sujet test. Le policier appuie simplement sur un bouton, patiente deux secondes, et peut alors déterminer si vous émettez des données médicales. Jusque là, vous pourriez être arrêté en étant suspecté de « conduite sous traitement ».
Une autre raison de ne pas prendre de médicaments
Il y a bien évidemment une tonne de questions sans réponses et même des risques potentiels quant à l’ingestion de produits pharmaceutiques à micro-puces. Pour certaines personnes, les problèmes de vie privée sont les plus importants de tous, car évidemment, qui souhaite émettre des données sur le fait qu’il prend des médicaments ?
Je ne prends pas de produits pharmaceutiques, évidemment, et la plupart des lecteurs de NaturalNews les évitent également. Le fait que les médicaments seront bientôt micro-pucés est encore une fois une bonne raison de trouver une façon plus holistique de prendre soin de notre santé. Ne misez pas votre vie (et votre vie privée) sur les pilules de l’industrie pharmaceutique. Optez pour un mode de vie holistique et sain basé sur des aliments biologiques, nutritifs, de l’exercice régulier et le refus de tous les produits chimiques (synthétiques) d’origine humaine, et vous n’aurez probablement jamais besoin de produits pharmaceutiques durant votre vie entière.
L’ère du micro-puçage des peuples et du micro-puçage des médicaments se trouve devant nous. Etant donné ce que fait l’agence nationale Américaine de sécurité dans les transports (TSA) avec les scanners corporels (http://www.naturalnews.com/030100_naked_body_scanners_airport.html), vous pouvez clairement imaginer ce que Big Brother fera avec vos données médicales que vous pourriez émettre depuis l’intérieur de votre corps.
En fait, l’idée même d’avoir une micro-puce qui émet des données depuis l’intérieur de votre corps pourrait vous faire signaler comme terroriste potentiel par la TSA, qui pourra alors procéder à une fouille des parties génitales et à une pression de la poitrine dans le cadre de leur nouvelle technique incertaine de « fouille approfondie » (http://www.naturalnews.com/030302_TSA_naked_body_scanners.html).
La meilleure façon d’éviter tout cela est de simplement manger vos légumes et boire vos superfoods. Ne devenez pas un sujet traçable et micro-pucé de l’industrie médicale qui souhaite transformer votre corps en un centre de profit par produits chimiques.
- Source : Sante-Nutrition