Poisons Pfizer et Moderna : la crise éclate en Australie… En France, toujours l’omerta
Une crise sanitaire sans précédent éclate en Australie, suscitant une vague de consternation et d’inquiétude au sein de la population et des professionnels de santé.
Des révélations troublantes montrent que les vaccins COVID-19 de Pfizer et Moderna, largement administrés à la population australienne, contiendraient des niveaux alarmants d’ADN synthétique, exposant les vaccinés à de graves risques pour leur santé et celle de leurs descendants.
Des niveaux de contamination ADN effarants : le silence des autorités exposé
Selon un rapport explosif du Dr David Speicher, virologue canadien, les doses des vaccins Pfizer et Moderna testées révèlent une contamination par ADN synthétique allant jusqu’à 145 fois la limite tolérée par la Therapeutic Goods Administration (TGA), l’organisme de régulation des produits de santé en Australie. Ces quantités dépassent largement les normes de sécurité, exposant ainsi les individus à des risques de modifications génétiques incontrôlées.
L’élément le plus choquant de cette découverte est la présence de la séquence génétique SV40 dans les vaccins Pfizer, un promoteur connu pour favoriser l’intégration génomique et lié à un risque accru de cancers. Cette séquence SV40 facilite l’insertion de l’ADN étranger dans le génome humain, un processus qui pourrait déclencher des mutations génétiques et favoriser le développement de cancers. Cette contamination, initialement non déclarée aux régulateurs, marque un manquement grave à la transparence et met en danger la santé publique de façon flagrante.
Une mobilisation urgente des élites médicales et politiques : appel à suspendre immédiatement les vaccins
Face à ce scandale sanitaire, des personnalités politiques et scientifiques de renom, dont le député australien Russell Broadbent, ont adressé une lettre ouverte au Premier ministre Anthony Albanese, appelant à la suspension immédiate des vaccins Pfizer et Moderna. Appuyé par 52 médecins et chercheurs, cet appel exige une enquête indépendante et la transparence sur les risques associés à cette contamination. La lettre avertit des conséquences potentiellement dévastatrices, non seulement pour les vaccinés, mais également pour les générations futures. «Ce niveau de contamination ADN, amplifié par des nanoparticules lipidiques permettant une dispersion dans l’ensemble des organes humains, représente un risque de santé publique sans précédent», écrivent les signataires, dénonçant la négligence des autorités et appelant à un arrêt immédiat de la distribution des vaccins incriminés.
Les risques : cancers, anomalies génétiques, et transmission héréditaire
Les analyses détaillées dans le rapport du Dr Speicher pointent des risques graves : instabilité génomique, dérèglements du système immunitaire, cancers, et effets héréditaires qui pourraient toucher les enfants des personnes vaccinées. Le rapport indique que l’ADN synthétique encapsulé dans les nanoparticules pourrait circuler dans tout le corps humain, infiltrant les organes vitaux et franchissant les membranes cellulaires, s’introduisant ainsi dans le noyau des cellules où il pourrait altérer le matériel génétique humain. Les effets potentiels sur les cellules reproductrices soulèvent des préoccupations majeures : si cet ADN contaminé s’intègre dans les cellules germinales, il pourrait non seulement provoquer des malformations ou des fausses couches, mais également conduire à la naissance d’enfants génétiquement modifiés
Une réponse tardive de la TGA et du ministère de la Sante : les Australiens réclament des comptes
Le manque de réaction de la TGA face à ces découvertes scandaleuses a suscité une colère grandissante. Malgré les avertissements répétés de la part d’experts depuis 2021, les autorités de santé ont ignoré les appels à la vigilance, poursuivant la distribution de ces vaccins à des millions de citoyens. Pour les signataires de la lettre ouverte, il s’agit d’une faute grave et impardonnable de la part de la TGA et du ministère de la Santé, qui semblent avoir placé les intérêts économiques et politiques au-dessus de la sécurité publique.
Une urgence sanitaire d’une ampleur mondiale
Ce scandale pourrait bien marquer le début d’une crise sanitaire mondiale si les gouvernements ne prennent pas immédiatement les mesures nécessaires. Alors que des millions de doses ont déjà été administrées, la perspective d’un arrêt de la distribution devient incontournable pour éviter une catastrophe de santé publique.
Conclusion : le cri d’alerte des experts et la nécessité d’une action immédiate
En Australie et à travers le monde, les appels à suspendre l’utilisation des vaccins de Pfizer et Moderna retentissent comme une alerte sanitaire et éthique. La population exige la transparence et la protection de sa santé, face à des risques de contamination génétique qui pourraient se propager sur plusieurs générations.
L’heure est grave : si les autorités ne réagissent pas immédiatement en suspendant ces vaccins et en lançant une enquête transparente, elles risquent de perdre la confiance de leurs citoyens et d’exposer des millions d’individus à des conséquences sanitaires potentiellement irréversibles.
• https://porthedland.wa.gov.au/special-council-meetings/special-council-meeting-11-october-2024
- Source : Le Blog de Patrice Gibertie