Ce bébé gazaoui, victime de la malnutrition causée par le blocus israélien, lutte pour sa survie
Cette image choquante d'un bébé gazaoui victime de la malnutrition doit nous réveiller. Il est temps de briser le silence et de mettre fin au blocus israélien qui tue des enfants innocents.
Un bébé gazaoui, maigre jusqu’aux os, lutte pour sa survie. Cette image glaçante, capturée et postée sur Instagram par un journaliste et photographe palestinien à Gaza, est devenue le symbole de la crise humanitaire qui sévit dans la bande de Gaza, une crise exacerbée par le blocus imposé par l’État sioniste d’Israël.
Chaque jour, des cas de déshydratation et de malnutrition atteignent l’hôpital Kamal Adwan, dans le nord de la bande de Gaza. Plus de 25 enfants y ont déjà perdu la vie, victimes de la faim forcée par le blocus israélien qui interdit l’entrée de la nourriture, de l’eau, des médicaments, anesthésiant… Les enfants meurent littéralement de faim au 21ème siècle, sous le joug d’un État qui a déjà ôté la vie à plus de 30 000 personnes et qui compte maintenant la famine parmi ses alliés.
Selon les statistiques des Nations Unies, 12 193 enfants ont perdu la vie dans des conflits à travers le monde entre 2019 et 2022. Le ministère de la Santé de la bande de Gaza a révélé que plus de 12 300 enfants ont été tués dans le territoire palestinien entre octobre et la fin du mois de février. « Cette guerre est une guerre contre les enfants. C’est une guerre contre leur innocence et leur futur », a martelé Philippe Lazzarini, condamnant fermement les actions d’Israël.
Il est temps de briser le silence et de dénoncer avec vigueur ces actes inhumains. Il est temps de mettre fin à ce blocus meurtrier et de permettre aux enfants de Gaza de vivre, de grandir et de rêver à un avenir meilleur. Il est temps de rendre justice aux victimes et de tenir l’État sioniste d’Israël responsable de ses actes.
La communauté internationale ne peut plus fermer les yeux sur cette tragédie humanitaire. Il est de notre devoir à tous de nous lever et de dire : « Ça suffit ! Plus jamais ça ! »
- Source : Le Média en 4-4-2