Le «globazisme» s’installe
Ce néologisme sorti de mon imagination est bien réel. Il fait à l’évidence référence au nazisme dont la gauche progressiste occidentale s’est nourrie sans cesse depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale à la suite du «sauvetage» de dizaines de milliers de hauts responsables nazis allemands qui ont progressivement répandu leur idéologie au sein des sphères dirigeantes et financières. Il n’est pas global au sens littéral du terme mais couvre l’Occident traditionnel c’est-à-dire l’Amérique de Nord, l’Europe et les autres colonies américaines que sont la Corée, le Japon, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. La gauche occidentale européenne a d’abord soutenu durant le dernier conflit mondial le régime nazi et a ensuite combattu cette idéologie à la suite de l’opération Barbarossa mais ce soutien a laissé quelques traces dont en particulier cette velléité de domination idéologique qui fut le fil directeur de la gauche communiste. Et après la chute du mur de Berlin conduisant inévitablement à l’effondrement du bloc communiste dominé par Moscou le communisme ne s’est pas relevé de ses cendres. La gauche progressiste avait donc perdu toute inspiration et assez curieusement elle s’orienta alors vers une sorte de renouveau global ressemblant étroitement à la politique que mit en place Robespierre vers les années 1790 en France.
Schématiquement quelle était cette idéologie dite encore aujourd’hui révolutionnaire ? Il était important de faire table rase de toutes les théories sociétales, religieuses et économiques pour bâtir un monde nouveau. C’est exactement ce que firent les bolchéviques dès 1917 et c’est ce qu’il arriva dès 1933 en Allemagne. Assez intelligemment les révolutionnaires français imaginèrent une nouvelle religion, le culte de l’être suprême, alors que ni les bolchéviques ni les nazis allemands et autrichiens ne pensèrent que les peuples avaient besoin de croire en quelque chose de surnaturel pour ne plus être obsédés par l’au-delà. Nous nous trouvons aujourd’hui en Occident exactement comme l’Allemagne en 1933 et on pourrait aussi mentionner 1966, année durant laquelle Mao initia la «révolution culturelle». Ces évènements ont inspiré l’Occident depuis le milieu des années 1960. Nous en sommes donc en Occident à la première étape du rétablissement d’un système totalitaire, cette fois-ci global et non pas limité à un seul pays. Il est nécessaire de citer une panoplie de philosophes français comme Derrida, Deleuze ainsi que Sartre, dont les théories de «déconstruction» apparues au cours des années 1960 ont fait les délices des universités nord-américaines où sont nés les courants de renouveau permettant la naissance de changement auquel on assiste aujourd’hui. Ce premier pas est le wokisme, en d’autres termes la négation – la déconstruction – de tout l’acquis civilisationnel multi-séculaire pour instituer un monde nouveau. Le wokisme est le signe avant-coureur de l’installation d’un régime totalitaire car son but est de déstabiliser les peuples. La stratégie la plus primitive qu’a choisi le wokisme et qui concerne la nature animale de l’homme est le sexe : la propagande «trans-genre» et LGBT n’est alimentée que dans le but de déstabiliser les individus les plus faciles à formater, ceux qui sont incapables de raisonner, et les enfants. Pour des raisons purement mercantiles le corps médical collabore de manière criminelle à cette idéologie. Le wokisme a institué la censure et la délation. Ce sont deux signes indéniables de la naissance du totalitarisme.
Pire encore, l’histoire de la déstabilisation du climat par l’activité humaine a été intégrée à l’idéologie dite woke. Quoi de plus déstabilisateur que d’affirmer que nous sommes condamnés à «griller comme des toasts» si nous ne modifions pas notre style de vie ? La négation de la science objective du climat et la censure qui lui est associée indiquent sans contestation possible que cette histoire est une partie intégrante du «changement», de la «déconstruction», que prône le wokisme. Il est nécessaire de mentionner la mise à l’index de nombreux auteurs et analystes comme Raymond Aron, pour ne citer que cette personnalité, et la réécriture de l’histoire. Souvenons-nous des gigantesques autodafés organisés par les autorités nazies en Allemagne, des épisodes qui se sont répétés en Ukraine récemment, l’Ukraine un pays notoirement infiltré par l’idéologie nazie la plus radicale. L’Occident qui se targue d’être un exemple de démocratie plonge dans le totalitarisme issu du nazisme en dissimulant encore sous ce vernis démocratique l’évolution irréversible vers une forme de totalitarisme qui sera beaucoup plus efficace à l’ère d’internet et des algorithmes que tout ce que le vingtième siècle a pu imaginer.
Comme il était mentionné en exergue dans un précédent article : «Salus populi suprema lex», la santé du peuple est la loi suprême. L’OMS va s’approprier le contrôle de ce bien du peuple et de chaque individu avec la complicité de la Commission européenne, du lobby de l’industrie pharmaceutique et sous les ordres de Bill Gates qui contrôle cet organisme international. L’épidémie de pandémies prévue par l’OMS, organisée ou non dans des laboratoires travaillant sur les gains de fonction comme cela eut lieu avec le SARS-CoV-2, sera le prétexte pour asservir chaque personne individuellement enregistrée par son propre code QR voire une puce implantée sous la peau.
Au terme de ces réflexions l’actualité a rattrapé les propos exposés ici. L’Occident global, depuis l’intervention de l’État sioniste israélien dans la bande de Gaza, n’a pas réagi. Le silence et l’inaction devant un génocide insoutenable dont les images circulent dans la planète entière n’a pas vraiment l’air d’émouvoir les dirigeants politiques ni d’ailleurs une partie de l’opinion publique soumise à une propagande pro-sioniste en harmonie avec les thèses de la secte évangélique nord-américaine qui se déclare ouvertement messianique. Les Gazaoui sont des animaux qu’il faut éliminer et cette terrifiante affirmation du Premier ministre israélien est la copie conforme de l’idéologie nazie de l’Allemagne concernant les juifs et les Tziganes. Le silence et la totale indifférence, pour ne pas dire le soutien tacite des Occidentaux à l’égard de ce génocide planifié avec minutie sont une preuve du glissement vers l’option totalitaire que met en place cet occident devenu d’autant plus abject qu’il défend par ailleurs les droits de l’homme pour dissimuler ses objectifs qu’il n’est plus possible de nier à l’aune de cette actualité terrible. Voilà le totalitarisme tel qu’il se profile dans un proche avenir : l’extermination des faibles, des malades, des «vieux», des récalcitrants et des inutiles …
Lien parmi beaucoup d’autres sources : https://www.youtube.com/watch?v=CRw4
- Source : Jacqueshenry