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Vendredi, 26 Avr. 2024

Des femmes avec un faux pénis s’exhibent devant des enfants dans un square, avec l’autorisation de la Mairie de Paris

Auteur : Le Média en 4-4-2 | Editeur : Walt | Mercredi, 07 Juin 2023 - 21h03

Une représentation d'extrême-gauche avec des costumes suggestifs a eu lieu à proximité des aires de jeux bondées d'enfants.

Le samedi 3 juin 2023 vers 17h, une scène déconcertante s’est déroulée au Kiosque du square du Temple-Elie Wiesel, situé sous les fenêtres de la Mairie de Paris. Une représentation d’extrême-gauche a suscité l’indignation des parents et passants. Des femmes portant des tenues hautement sexualisées se sont exhibées en public.

Les aires de jeux, bondées d’enfants, se trouvaient à moins de 2 mètres de la scène. Certains enfants étaient en larmes à cause de la musique angoissante, tandis que d’autres observaient ce spectacle inapproprié et choquant où les wokistes exhibaient des faux phallus et des poitrines aux nez des bambins venus profiter du toboggan. Les parents, scandalisés, ont demandé l’intervention de la police, mais malheureusement, celle-ci n’a pas pu intervenir en raison d’une autorisation accordée par la Mairie de Paris. La page Facebook annonçait l’évènement « C’est une initiative de François Massut du collectif « Poésie is not dead » qui a su séduire la Mairie de Paris et ses kiosques en fête (youhou !) notamment grâce à son amour des parcs et jardins ».

Ce qui aurait dû être un samedi ensoleillé en famille au square s’est transformé en un cauchemar sonore et visuel, soulevant des questions sur l’idéologie de la Mairie de Paris et de l’intérêt de vouloir traumatiser les très jeunes filles et garçons innocents. Cette représentation était orchestrée par le collectif Famapoil dirigée par Sonia Kuipers. Une autre participante, Clothilde Salmon, connue pour son comportement insultant et vulgaire, n’a pas hésité à exhiber un faux pénis devant les enfants.

***

Pendant ce temps:

Genderofolie en berne : La Norvège interdit les changements de sexe des enfants

par Francesca de Villasmundo

Le bon sens et la science l’emportent peu à peu : la Norvège revient sur la folie transgenre en interdisant les changements de sexe des enfants. Elle rejoint ainsi la Finlande, la Suède et le Royaume-Uni dans un certain rejet de l’idéologie arc-en-ciel.

La commission norvégienne d’enquête sur les soins de santé ne considère plus les soi-disant «soins affirmant le genre» comme fondés sur des preuves.

La semaine dernière, la commission norvégienne d’enquête sur les soins de santé a annoncé qu’elle réviserait ses directives actuelles concernant les soi-disant «soins affirmant le genre» pour les mineurs, car elle ne les considère plus comme fondées sur des preuves. Le conseil a également reconnu que le nombre croissant d’adolescentes s’identifiant comme des hommes après la puberté reste sous-étudié.

Selon les lignes directrices mises à jour proposées, l’utilisation des bloqueurs de la puberté, des hormones sexuelles croisées et de la chirurgie liée à la transition serait limitée aux contextes de recherche et ne serait plus offerte en milieu clinique. La Norvège rejoint la Finlande, la Suède et le Royaume-Uni pour introduire une plus grande protection des enfants. Aux États-Unis, huit États ont jusqu’à présent interdit la prise en charge transgenre des personnes de moins de 18 ans, le Tennessee étant le dernier à adopter une telle législation.

Une victoire du réel sur la folie de l’idéologie du genre

Le docteur Debra Soh, neuroscientifique du sexe, souligne :

«Il est bon que davantage d’organisations professionnelles reconnaissent la nature expérimentale de cette approche chez les enfants. Un ensemble de recherches existantes montre que la plupart des enfants atteints de dysphorie de genre deviennent à l’aise dans leur corps après la puberté et que ceux qui souhaitent effectuer une transition soudaine après la puberté peuvent subir une contagion sociale. Ces études ont été rejetées parce qu’elles ne correspondent pas au récit militant préféré».

Et d’ajouter :

«Ce récit, cependant, continuera de s’effondrer. Un article récent dans la revue académique Archives of Sexual Behavior explique comment l’effet placebo n’a pas été suffisamment pris en compte lors de l’interprétation des nouvelles découvertes soutenant la transition chez les enfants. Bien que le terme «effet placebo» désigne généralement la réponse d’un patient à une intervention inefficace, il peut également décrire les effets psychologiques et physiques bénéfiques associés au traitement, par opposition au traitement lui-même».

Bien que cela puisse sembler n’être qu’un petit pas en avant, le fait que la Norvège décide de changer de cap et qu’un article universitaire, creusant davantage les failles dans l’idéologie du genre, soit publié avec succès simultanément, est une victoire.

source : Médias-Presse-Info


- Source : Le Média en 4-4-2

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