Trente années de documents gouvernementaux confidentiels révèlent la supercherie vaccinale
Si vous avez des enfants, vous êtes plus que probablement déjà au courant des "Calendriers de vaccination" des centres de contrôle et de prévention des maladies, qui recommandent aujourd'hui un stupéfiant lot de 29 vaccins à donner entre la naissance et six ans, y compris les vaccins annuels contre la grippe, ainsi qu'entre cinq et seize autres vaccins entre 7 et 18 ans. Mais un récent rapport d'enquête rédigé par le Dr Lucija Tomljenovic, dévoile des documents confidentiels du gouvernement restés confidentiels pendant plus de 30 ans et qui décrivent ces calendriers de vaccination comme un canular complet, sans parler du mensonge des vaccins eux-mêmes, censés assurer une réelle protection contre les maladies.
Bien que son étude se concentre principalement sur le système élaboré de dissimulation du système de santé britannique concernant la triste vérité de son propre
programme de vaccination national, les conclusions fondamentales de l'étude s'appliquent toujours aux calendriers de vaccination en général, qui sont généralement conçus dans le but de servir les
intérêts des entreprises plutôt que la santé publique. Il s'avère que les autorités gouvernementales, qui tentent actuellement de satisfaire les objectifs privés de l'industrie du vaccin, ont
délibérément dissimulé aux parents des informations pertinentes sur les dangers et l'inefficacité des vaccins afin de maintenir un taux
élevé d'acceptation de la vaccination. Et dans le processus, ils ont risqué des effets secondaires graves et des décès pour des millions d'enfants.
Cacher la vérité et dissimuler les données pour encourager l'acquiescement aux vaccins
Grâce à plusieurs demandes en vertu de la loi sur la liberté des informations, le Dr Tomljenovic a pu obtenir les transcriptions de séances privées qui ont eu lieu
depuis des années entre le Comité mixte sur les vaccins et la vaccination (JCVI en anglais), un soi-disant ''comité consultatif d'experts indépendants" qui fait des recommandations au
gouvernement sur la politique vaccinale, et divers ministres britanniques de la santé. Et après s'être penchée sur cette pléthore d'informations préalablement voilées au public, le Dr Tomljenovic
a fait des découvertes dérangeantes.
''Le JCVI a déployé des efforts continus pour refuser des données critiques sur les réactions indésirables graves et les contre-indications à la
vaccination aux parents et aux professionnels de la santé afin d'atteindre les taux de vaccination généraux qu'ils jugeaient être nécessaires pour ''l'immunisation du troupeau'', concept qui...
ne repose pas sur des preuves scientifiques solides'', explique le Dr Tomljenovic comme introduction à son document.
"Les documents officiels obtenus par le ministère britannique de la Santé et le JCVI révèlent que les autorités sanitaires
britanniques se sont engagées dans cette pratique depuis 30 ans, apparemment dans le seul but de protéger le programme national de
vaccination."
Ce sont des accusations graves, mais les informations recueillies par le Dr Tomljenovic parlent d'elles-mêmes. Non seulement le JCVI ignore régulièrement les
questions de sécurité comme il en ressort d'un calendrier de vaccination en pleine expansion, mais le groupe a censuré activement et volontairement les données défavorables qui jettent une
lumière «négative» sur les vaccins afin de maintenir l'illusion que les vaccins sont sûrs et efficaces. De plus, le JCVI a régulièrement
menti à la fois au public et aux autorités gouvernementales à propos de l'innocuité des vaccins, afin de veiller à ce que les gens continuent de faire vacciner leurs enfants.
Vous pouvez accéder à l'article complet du Dr Tomljenovic ici (en anglais).
Le JCVI était pleinement conscient des dangers du vaccin ROR dès 1989, mais l'a caché.
À la page trois de son rapport, le Dr Tomljenovic commence à décrire les détails sordides des réunions organisées dès 1981 où le JCVI s'est clairement engagé dans
la fraude, la dissimulation, et les mensonges pour protéger l'industrie du vaccin, et non les enfants, des maladies . Des procès-verbaux de ces réunions révèlent que le JCVI a activement tenté de
dissimuler de graves effets secondaires associés aux vaccins courants comme ceux contre la rougeole et la coqueluche, qu'on a tous deux clairement reliés à l’apparition de graves lésions
cérébrales chez un pourcentage important d'enfants qui les ont reçus.
Particulièrement préoccupante est la façon dont le JCVI a manipulé les données défavorables sur le vaccin ROR controversé (contre la rougeole, les oreillons et la
rubéole). Dix ans avant que le Dr Andrew Wakefield ne publie son étude sur le vaccin ROR dans The Lancet, le JCVI était déjà pleinement conscient du lien clairement établi par l'Institut National
des Standards et Contrôles Biologiques entre le vaccin ROR et la méningite ainsi que l'encéphalite d’origine vaccinale. Mais plutôt que de présenter cette information et demander d'autres
évaluations de sécurité sur le vaccin, le JCVI a préféré censurer cette information critique au public, et a manifestement menti depuis des années au sujet de la sécurité du vaccin
ROR.
«L'ampleur des préoccupations du JCVI pour les implications
de l'évaluation scientifique de l'innocuité du vaccin sur la politique vaccinale, explique pourquoi ils se sont opposés à toute surveillance à long terme des troubles neurologiques graves après
vaccination », écrit le Dr Tomljenovic. "Au lieu de réévaluer la politique de vaccination, au moins jusqu'à ce que les problèmes de
sécurité aient été pleinement évalués, le JCVI a choisi de soutenir la politique existante basée sur les preuves incomplètes qui étaient disponibles à ce moment-là."
En d'autres mots, le JCVI était plus soucieux de protéger la réputation du dangereux vaccin ROR, ainsi que de nombreux autres vaccins douteux, que de protéger les
enfants des dommages sévères dus aux vaccins. En ce qui concerne le vaccin ROR, cette information cruciale non seulement renforce la légitimité des découvertes du Dr Wakefield dix ans plus tard,
qui avaient été déclarés irrecevables et frauduleuses par l'Establishment médical, mais montre aussi la durée douloureusement longue de cette escroquerie.
Les fabricants de vaccins invités à manipuler les fiches techniques et à falsifier les études sur la sécurité pour
promouvoir les vaccins.
Comme si cela n’était pas suffisant, le Dr Tomljenovic a aussi peiné sur la somme conséquente d'informations concernant les habitudes de longue date du JCVI d'encourager les fabricants de vaccins à modifier volontairement et conformément à leurs recommandations, leurs fiches de données, afin de produire des vaccins dangereux et inefficaces qui semblent sûrs et efficaces. Lorsque le guide des contre-indications du JCVI pour le vaccin ROR, par exemple, ne correspond pas à celles du fabricant du vaccin, le JCVI chargeait apparemment le fabricant de modifier ses fiches techniques pour éviter les ''problèmes juridiques''.
De même, la politique officielle du JCVI était de sélectionner les études
fiables soutenant ses propres opinions sur les vaccins plutôt que de prendre en compte des études indépendantes et scientifiquement solides pour formuler les recommandations de politique
vaccinale. Une fois de plus, la position du JCVI sur la sécurité et l'efficacité du vaccin ROR en est un excellent exemple, lorsque le
groupe a d'arrache-pied ignoré de solides études sur le ROR, pour favoriser des études de pacotille soutenues par l'industrie, comme le tristement célèbre compte-rendu de Cochrane en 2005, qui ne
prouve techniquement rien sur la prétendue sécurité du vaccin ROR parce que les 31 études évaluées n'ont même pas répondu aux critères méthodologiques du groupe de base.
''Au cours des années, le JCVI n'a cessé de promouvoir le vaccin ROR comme
étant sans danger, en se basant sur des études qui se sont révélées soit non pertinentes, peu concluantes ou méthodologiquement contestables", explique le Dr Tomljenovic, ajoutant
que le JCVI choisit systématiquement de s'appuyer sur des études épidémiologiques imparfaites attestant d’une''association'' plutôt que ''d’un lien de causalité'', une imprécision plutôt ironique
en regard de la manière dont l'establishment examine généralement les études qui contredisent ses propres positions.
L'article de 45 pages de
révélations continue avec des explications sur la manière d'établir les calendriers vaccinaux par une minimisation calculée des problèmes de sécurité vaccinale et la
surestimation des avantages des vaccins, la promotion frauduleuse de nouveaux vaccins dangereux dans le calendrier pédiatrique, le refus d’études sur la sécurité
vaccinale, et le lavage de cerveau généralisé du public par le biais de la manipulation et des tours de passe-passe des scientifiques.
Traduit par Hélios (Bistrobarblog)
Source: NaturalNews