Un journal danois s’excuse de ne pas avoir mis en doute le roman covidien du gouvernement, BFMTV acquiesce !
Article assez intéressant, sur la repentance du journal danois Ekstra Bladet. Faute avouée, faute à moitié pardonnée dit-on. Il semble que c’est la stratégie de ce journal pour retrouver la confiance perdue du public. Il semble aussi que cette stratégie sera reprise par d’autres médias européens, parce que désormais, le public a pris conscience qu’il s’est fait arnaquer par la propagande qui lui annonçait des lendemains qui chantent si seulement il voulait bien croire en la science et aller se faire vacciner.Même BFM commence à avouer, du bout des lèvres, avoir été manipulé et donc avoir manipulé, c’est dire ! Voir après l’article danois traduit ci-dessous.
L’un des principaux journaux du Danemark a publié des excuses publiques pour avoir diffusé les mensonges du gouvernement sur le COVID-19 et des récits sans scepticisme suffisant tout au long de la pandémie.
Ekstra Bladet a publié le mois dernier un article intitulé « Vi fejlede », qui signifie « Nous avons échoué ».
Depuis PRESQUE deux ans, nous – la presse et la population – sommes presque hypnotiquement préoccupés par le quotidien coronal des autorités.
NOUS AVONS REGARDÉ les oscillations du pendule des nombres en ce qui concerne les personnes infectées, hospitalisées et décédées du corona. Et on nous a donné la signification des moindres mouvements du pendule tracés par des experts, des politiciens et des autorités, qui nous ont constamment mis en garde contre le monstre corona dormant sous nos lits. Un monstre qui n’attend que nous pour nous endormir afin de pouvoir frapper dans l’obscurité et l’obscurité de la nuit.
LA vigilance mentale CONSTANTE nous a tous énormément épuisés. C’est pourquoi nous, la presse, devons également faire le point sur nos propres efforts. Et nous avons échoué.
NOUS N’AVONS PAS été assez vigilants à la porte du jardin lorsque les autorités ont été tenues de répondre à ce que cela signifiait réellement que des personnes soient hospitalisées avec le corona et non à cause du corona. Parce que ça fait une différence. Une grosse différence. Exactement, il a été démontré que les chiffres officiels d’hospitalisation sont 27% plus élevés que le chiffre réel du nombre de personnes à l’hôpital, simplement parce qu’ils ont le CORONA. Nous ne le savons que maintenant.
BIEN SUR, ce sont avant tout les autorités qui sont chargées d’informer la population de manière correcte, précise et honnête. Les chiffres du nombre de personnes malades et décédées du corona auraient dû, pour des raisons évidentes, être publiés il y a longtemps, nous avons donc obtenu l’image la plus claire du monstre sous le lit.
EN TOUT, les messages des autorités et des politiques au peuple dans cette crise historique laissent beaucoup à désirer. Et donc ils mentent comme ils l’ont fait lorsqu’une partie de la population perd confiance en eux.
UN AUTRE exemple : les vaccins sont constamment appelés notre « superarme ». Et nos hôpitaux sont appelés « superhôpitaux ». Néanmoins, ces super-hôpitaux sont apparemment soumis à une pression maximale, même si la quasi-totalité de la population est armée d’une super-arme. Même les enfants ont été vaccinés à grande échelle, ce qui n’a pas été fait dans nos pays voisins.
EN D’AUTRES MOTS, il y a quelque chose ici qui ne mérite pas le terme « super ». Qu’il s’agisse des vaccins, des hôpitaux ou d’un mélange de tout cela, c’est l’offre de chacun. Mais au moins la communication des autorités à la population ne mérite nullement le qualificatif de « super ». Au contraire.
Neil Oliver, un présentateur de télévision écossais, a réagi aux excuses du journal danois pour la couverture du COVID-19 au cours des deux premières années de la pandémie.
« Je soupçonne que ce qui se passe, c’est que c’est simplement ce journal, cette organisation qui s’est rendu compte que la situation était tendue. Vous savez qu’ils ont été pris au dépourvu », a déclaré Neil lors de l’interview avec GB News .
« Ils essaient maintenant de s’expliquer et de se sortir du trou dans lequel ils se trouvent. Je suppose que les organisations médiatiques, les médias grand public au Royaume-Uni et ailleurs essaieraient la même tactique, mais encore une fois, je dis que je pense que c’est trop tard », ajouta-t-il.
Traduction google
Comme avec toutes les idolâtries, comme avec toutes les fausses idéologies, il n’y a pas de lendemains qui chantent à la clef, seulement des lendemains qui déchantent, des réveils avec la gueule de bois.
Cela me rappelle l’apostrophe de Churchill à Neville Chamberlain, artisan de la politique d’« appeasement » (accommodements raisonnables) avec Hitler : You were given the choice between war and dishonour. You chose dishonour and you will have war. Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur. Vous avez choisi le déshonneur, et vous aurez quand même la guerre.
Cette phrase est tout à fait d’actualité et on peut la reformuler ainsi : vous aviez à choisir entre le vaccin et la privation de liberté. Vous avez choisi le vaccin et vous avez quand même subi la privation de liberté. Ce constat amer d’un vaccin qui n’a rien résolu, d’une tromperie généralisée à laquelle les médias ont joyeusement collaboré, se fait jour dans les consciences. Première à faire son mea culpa, Celine Pigalle, directrice de la rédaction de BFMTV, qui reconnaît à demi-mots que sa chaîne mentait (mais pour la bonne cause bien sûr). Elle dit ainsi :
« Dans un moment où on vous dit qu’on est guerre et dans un esprit de cohésion générale de la société, vous êtes rappelé au fait qu’il ne faut pas non plus trop troubler les gens. Finalement même si on a tenté au maximum de s’extraire de tout cela, il ne faut pas trop aller à rebours de la parole officielle pour ne pas fragiliser un consensus social ». Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises !… Ou comment repeindre en rose le choix assumé cesser d’informer et de bâillonner toute parole dissonante, pour devenir le relais de la parole gouvernementale. Elle ne le faisait pas de gaieté de cœur (« on a tenté au maximum de s’extraire de tout cela ») mais il fallait bien contribuer à l’effort de guerre ! On l’en remercierait presque ! Les Gilets Jaunes avaient tapé dans le mille quand ils criaient « BFM collabos ! » (cf. https://francais.rt.com/france/55846-bfm-collabos-trois-journalistes-conspues-mobilisation-toulousaine-gilets-jaunes-video )
- Source : Résistance Républicaine