Coronavirus – Bill Gates intrigue contre l’hydroxychloroquine
MPI vous a déjà signalé comment la Fondation Bill et Melinda Gates et les industries pharmaceutiques sont devenus de très gros bailleurs de fonds de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), ce qui permet d’expliquer les positionnements de cette institution internationale au sujet de l’épidémie de coronavirus.
Mais continuons à nous intéresser au rôle de Bill Gates et de ses réseaux. Arrêtons-nous aujourd’hui sur le Docteur Fauci.
Le Docteur Anthony Fauci a élaboré un «Plan d’action mondial pour les vaccins» avec Bill Gates. C’est également l’une des personnalités du monde médical américain qui a semé la panique au sujet du coronavirus, prévoyant des millions de morts. Et c’est encore lui qui tente de dissuader les Etats-Unis doutes de soigner les malades du coronavirus avec un traitement à l’hydroxychloroquine.
Le Dr Anthony Fauci, qui est devenu un prophète chéri des médias du système, fomentant l’hystérie de masse parmi le public américain au milieu de la pandémie de coronavirus, a déjà travaillé avec l’oligarque technocratique Bill Gates sur son «Plan d’action mondial pour les vaccins».
Le journaliste indépendant Mike Coudrey a attiré l’attention sur ce fait sur son compte Twitter dimanche:
"Le Dr Fauci a joué un rôle de leadership sur le «Plan mondial pour les vaccins» grâce à un partenariat avec la fondation Bill et Melinda Gates.
Naturellement, il repoussera le traitement Hydroxychloroquine + Azithromycine et optera plutôt pour un vaccin breveté". pic.twitter.com/FCkOIAsHW2 – Mike Coudrey (@MichaelCoudrey) 6 avril 2020
Le «Plan d’action mondial pour les vaccins» a été annoncé en 2010 en tant que partenariat public-privé de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et de la Fondation Bill & Melinda Gates.
“Ce plan s’appuiera sur les succès des travaux en cours pour atteindre des étapes clés dans la découverte, le développement et la livraison de vaccins vitaux aux populations les plus vulnérables dans les pays les plus pauvres au cours de la prochaine décennie”, écrivait l’OMS dans son communiqué de presse sur le projet.
Comme directeur du NIAID, le Docteur Fauci a aidé à guider le plan de vaccinations en tant que membre de son équipe de direction. Il a été rejoint par d’autres chefs de file mondialistes, dont Anthony Lake, Directeur exécutif de l’UNICEF; Margaret Chan, directrice générale de l’OMS; Joy Phumaphi, présidente du Comité consultatif international et secrétaire exécutive de l’African Leaders Malaria Alliance; et Tachi Yamada, président de Global Health à la Fondation Bill & Melinda Gates.
Le projet a été conçu pour rassembler certains des acteurs mondialistes les plus puissants de la planète et imposer leurs vaccins à travers le monde.
«Le Plan d’action mondial pour les vaccins permettra une plus grande coordination entre tous les groupes de parties prenantes – gouvernements nationaux, organisations multilatérales, société civile, secteur privé et organisations philanthropiques », a écrit l’OMS dans son communiqué de presse sur le programme.
Fauci a été la principale voix des Etats-Unis à exhorter le public à être sceptique vis-à-vis de l’hydroxychloroquine, un traitement pourtant efficace contre le coronavirus. Fauci est resté très critique à l’égard de l’hydroxychloroquine malgré les indications de plus en plus nombreuses au sujet de l’efficacité de ce traitement pour aider les personnes atteintes à se remettre de la maladie.
“Non. La réponse est non », a déclaré Fauci en mars dernier après avoir été interrogé sur la question de savoir s’il existait ou non des preuves montrant que l’hydroxychloroquine pouvait être efficace dans le traitement du coronavirus.
Lorsqu’il est devenu clair que l’hydroxychloroquine peut être efficace dans le traitement du coronavirus, Fauci est légèrement revenu sur ses propos tout en insistant sur son scepticisme et surtout sur la nécessité d’un véritable vaccin.
Quant à Bill Gates, il a déjà proposé l’injection d’implants de suivi numérique dans la peau des gens pour que les autorités puissent plus facilement appliquer leur calendrier de vaccination.
- Source : MPI