Nouveau pactole en vue pour l’industrie pharmaceutique : le vaccin contre le diabète…
Le diabète de type 1, ou diabète insulino-dépendant, est le plus rare des diabètes (5 à 10% des diabètes). Il est généralement découvert chez les jeunes (enfants, ados ou jeunes adultes). Ses causes ne sont pas du tout connues et pour les chercher, on se rattache à des notions aussi floues que le terrain, la génétique (antécédents familiaux), facteurs environnementaux, etc. On sait tout de même que le facteur immunitaire joue un grand rôle, sans pour autant savoir pourquoi. Ce serait donc une maladie auto-immune, c’est-à-dire que les anticorps se retournent contre les cellules de l’organisme (en l’occurrence les cellules béta du pancréas). Dans nos schémas pasteuriens actuels, qui dit anticorps, dit toxines ou agression extérieure (virus, bactéries, etc.).
C’est là qu’entrent en scène, en se frottant les mains, les fabricants de vaccins. Tous les ingrédients sont présents : virus + enfant = vaccin = beaucoup de pognon. Il se trouve que l’on a retrouvé chez certains diabétiques de type 1 un virus appartenant à la famille des entérovirus, le usual suspect pour des tas de maladies. Il s’agit du Coxsackievirus B1. Cela a suffi pour lancer des recherches pour un vaccin qui, s’il est trouvé, a de fortes chances de devenir obligatoire pour tous les enfants, puisque personne ne sait lequel de ces enfants serait susceptible d’être atteint.
L’année prochaine, en 2018, un prototype de vaccin destiné à prévenir le diabète de type 1 chez l’enfant passera ses premiers tests cliniques, selon ScienceDirect. Des tests ont déjà été effectués chez la souris, il ne reste plus qu’à le faire chez l’homme, ou plutôt chez des enfants sains, car en effet, il ne sert à rien de vacciner des enfants déjà atteints.
Les entérovirus, qui sont cause de poliomyélite, de certaines méningites, pour ne citer que ces deux maladies, ont rempli les caisses de l’industrie du vaccin. Avec l’arrivée de ce nouveau venu, ce sera le jackpot.
- Source : Réseau International