Trans, les nouveaux intouchables
Le phénomène drag, massivement promu par les médias aux ordres, a pour objet d’effacer les frontières entre les sexes, mais aussi entre les âges.
Le Diable s’habille en draga
La pénétration des drags – c’est-à-dire d’hommes généralement homosexuels déguisés en femmes – dans les écoles, et par écoles on entend écoles élémentaires ou maternelles, est hautement symbolique et dangereuse, dans une France qui montre le mauvais exemple, voir le Château.
La conséquence, ce sont des centaines d’enfants, à peine pubères, pour qui le changement de sexe est la solution à tous leurs problèmes, qui vont évidemment exploser plus tard. Nous n’entrerons pas dans les détails de cette boucherie à la fois physiologique et psychique. Et s’opposer à cela, c’est s’opposer à la justice !
Condamné en octobre dernier en première instance à quatre mois de prison ferme et 2.900 euros d’amende pour avoir été le porte-parole d’une action pacifique du groupe L’Oriflamme de Rennes menée en mai 2023, durant dix minutes, contre la lecture animée par des drag-queens devant des enfants de trois à six ans dans la médiathèque de Saint-Senoux (Ille-et-Vilaine), ce militant vient d’être relaxé en appel des quatre chefs d’inculpation.
La Cour d’appel souligne qu’il existe un « droit essentiel à la liberté d’expression » qui doit permettre « d’exprimer des opinions ou des idées qui heurtent, choquent ou inquiètent dans les limites fixées par la loi ».
Il est tout de même curieux de considérer que vouloir préserver des enfants de trois à six ans d’une propagande LGBT prononcée par des hommes travestis en femmes est à ranger dans les « idées qui heurtent ou choquent ».
C’est Médias-presse.info qui a relayé cette victoire (en appel) de la morale sur la dépravation, en diffusant le jugement qui, on l’espère, fera jurisprudence, malgré les excités qui hurlent à la transphobie à chaque critique des conséquences de la transition chez les enfants.
On a le droit de critiquer les trans, mais pas touche à « Samantha »
Les trans se sont en effet ajoutés à qui-vous-savez dans la catégorie des (presque) intouchables. On le voit ici avec un procès complètement délirant où l’auteur de messages téléphoniques, il est vrai assimilés à du harcèlement, risque la prison : 20 mois ferme et 10 000 euros d’amende ont été requis par la proc. Ça nous rappelle quelque chose...
« J’avais énormément de propos homophobes, via des petites chansonnettes ou via des propos très agressifs. Ça pouvait durer plusieurs minutes sur les enregistrements. (...)
J’espère déjà qu’il sera condamné. Après, si jamais il y avait une condamnation avec un dédommagement, ce serait utile. Il servira à des actions de type sociales qui permettent de faire connaître la transidentité au plus grand public ».
Non à la transmania
Transmania est dans le viseur de la mairie de Paris, qui a fait retirer les affiches promotionnelles du livre. Marguerite Stern et Dora Moutot sont invitées chez Pavlenko.
Dora Moutot est cette femme qui a dit un jour au premier maire trans de France qu’il était un homme, et elle a osé l’appeler « monsieur ». Un blasphème en Trans-France...
Dora est ici attaquée par Enora Malagré, l’ex-potiche de Cyril Hanouna, dont l’argumentaire nous rappelle quelque chose...
Merci à @EnoraMofficiel pour le coup de pub pour le livre et de faire la porte parole ???? du service public et de l’arcom … sur un ton de menace. ????
— Dora Moutot (@doramoutot) April 25, 2024
Sorry Enora, mais le vrai féminisme c’est NOUS et les milliers de femmes avec NOUS ! ( dit avec la même panache que ce cher… pic.twitter.com/4fsrQ2vE2w
Après « trans », « grosse » et « lesbienne » sont des mots interdits
- Source : E&R