www.zejournal.mobi
Mercredi, 27 Nov. 2024

La Ligue des droits de l’Homme et Israël, la main dans la main avec le terrorisme international

Auteur : Mehdi Messaoudi | Editeur : Walt | Jeudi, 28 Mars 2024 - 11h08

En principe, depuis les révélations concernant la corruption de la commission des «Droits de l’Homme» dans toute l’Europe (émargeant par exemple aux abonnés absents pendant le génocide en cours en Palestine occupée), ayant impliqué Maria Arena, la première responsable de cet organisme européen, prise la main dans le sac du haschich, avec le bakchich de «leurs amis les rois», on pensait que ses satellites (FIDH, LDH, Trial, etc.) allaient faire un effort d’humilité pour se faire un peu oublier sur le terrain de la manipulation des masses, au moyen des «valeurs humaines», en fait véritables armes de guerre contre les peuples du Sud en général, et contre le peuple algérien en particulier.

Pour rappel, ce Parlement européen, dirigé par la bourgeoisie financière mondialisée, a voté pas moins de 5 résolutions d’urgence contre le peuple algérien, présentées dans le cadre des opérations printanières de «BHL» pour «sauver les populations civiles» ; et rien pour mettre fin au génocide dont est victime le peuple palestinien ! Mieux encore, l’Europe continue de fournir les équipements militaires nécessaires à sa monstrueuse «progéniture» pour l’accomplissement du génocide du siècle, tout en versant des «larmes de crocodiles» sur les dépouilles des victimes palestiniennes, transformées en bourreaux par toutes les classes politiques et les médias dominants.

En principe encore, avec le génocide en cours contre le peuple palestinien, par ces «monstres à visage humain» du régime des généraux de Tel-Aviv, reconnu même par la Cour internationale de Justice (quant à la Cour pénale internationale, comme elle le précise dans l’un de ses communiqués, elle n’a pas les moyens de voir ce dont le monde entier est témoin depuis 1948, et notamment depuis presque 6 mois (que durent ces monstruosités), les multinationales du commerce des droits de «l’Homme» devraient se faire un peu plus discrètes avec leurs attaques militaires (sous-couvert d’être des «sociétés civiles») contre le peuple algérien, avec les armes rouillées du colon Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de la France coloniale, en guerre contre le monde entier.

En principe à nouveau, depuis que nous avons étalé tout cela publiquement, avec des preuves irréfutables, il n’y a eu aucune contestation des faits relatés de la part de ces «épiceries du commerce des Droits de l’Homme», concernant les financements, ainsi que les commanditaires philanthropiques du grand capital boursier ; ceux-ci manœuvrent en effet, derrière les rideaux de leur théâtre politique de «Justice» au profit des puissances impérialistes… On pensait que leurs satellites (FIDH, LDH, Trial, …) allaient faire un effort de discrétion, et ralentir un peu leur trottinette qui brasse du vent sur le terrain de la manipulation des masses. La LDH (Ligue des droits de «l’Homme»), comme nous avons eu l’occasion de le démontrer, n’est qu’un nid de manipulateurs, qui a travesti les valeurs humaines en armes de guerre contre les peuples qui refusent la domination occidentale.

La LDH (au même titre que les autres multinationales des «Droits de l’Homme»), instrument de guerre néocoloniale au service du nouveau monde des puissants, continue de propager la haine du peuple algérien, à travers diverses publications ; celles-ci sentant la haine viscérale, et le phosphore des bombes israéliennes larguées sur le peuple palestinien, pour le «civiliser» au moyen du génocide «démocratisé» par le régime des généraux du régime de Tel-Aviv.

À ce sujet, au moment où leur état fétiche sans frontières (pour avaler les peuples d’Orient et méditerranéens sans défense) est poursuivi pour génocide devant la Cour internationale de Justice, les casernes des «droits de l’Homme» n’ont trouvé aucun général israélien à poursuivre devant les tribunaux pour tous ces crimes ! Aucun des responsables politiques, qui appellent publiquement dans les médias (tous coloniaux) en France à l’extermination du peuple palestinien, ni aucun des 4185 soldats franco-israéliens qui participent à ce macabre projet destructeur de l’Humanité, pourtant visé directement par les articles 211-1 à 215-3 du Code de procédure pénale sur les crimes de génocide.

En revanche, Patrick Baudouin et les franchises néocoloniales ont déployé beaucoup d’énergie, malheureusement sans succès pour lui, pour faire condamner Abdelkader Mohamed et son frère, citoyens des groupes d’autodéfense du peuple algérien (qualifiés de «miliciens» par Patrick Baudouin), contre les fascistes égorgeurs du GIA, produits dans les laboratoires de la France, du Maroc et d’Israël, qui manifestent aujourd’hui sous protection policière en France.

L’implication directe de la LDH et de son président Patrick Baudouin dans cette opération de blanchiment judiciaire du terrorisme international, apporte la preuve de leur implication dans le chaos organisé contre le peuple algérien dans les années 1990 (période appelée «décennie noire»).

Ils ont voulu inverser les rôles entre les groupes d’autodéfense, qu’ils ont qualifié de «miliciens», et les groupes d’égorgeurs du GIA téléguidés par des employeurs communs, qui ont été brevetés en démocrates !

Patrick Baudouin et ses franchises des «Droits de l’Homme» ont eux aussi été déboutés dans le procès intenté contre Khaled Nezzar, ancien ministre de la Défense nationale, et dans le complot de la France coloniale qui a abouti à l’exécution des moines de Tibhirine en 1996 ! Jean Charles Marchiani, ancien préfet et ancien agent de la DGSE, avait nommément désigné Alain Juppé et son clan (dont fait partie le haineux Xavier Driencourt) dans cette opération macabre, pour en faire porter la responsabilité à l’Armée nationale populaire (ANP) de défense du peuple algérien. Ce qui explique le fait que Patrick Baudouin a élu son domicile médiatique chez les groupes de «coupeurs de têtes» de la décennie noire, promus par le système colonial français au rang de «démocrates» dans la colonie israélienne.

Il s’agit du complot le plus meurtrier infligé au peuple algérien depuis l’Indépendance par la France coloniale, au moyen des monstres que François Mitterrand, l’ancien président-guillotineur de Fernand Yveton, voulait installer en Algérie. Ce projet infernal a été déjoué in extrémis par les services de sécurité et les citoyens de l’autodéfense de l’Algérie, appelés «milices» par le sinistre Patrick Baudouin, qui les a trainés devant les tribunaux français, qui l’ont débouté. Qui réparera les dégâts occasionnés à ces citoyens algériens, victimes d’une double peine : celle des guillotineurs des GIA, et celle de l’injustice de Patrick Baudouin ?

Pour marquer de son empreinte coloniale, d’obédience complotiste contre le peuple algérien, pour le compte du régime d’Apartheid des généraux de Tel-Aviv, Patrick Baudouin aurait reçu à son cabinet d’avocats (le 6 juin 2023) le groupe terroriste du MAK, avec à leur tête Ferhat Mehenni.

Ces terroristes berbéristes (partenaires d’Eric Zemmour, de Riposte Laïque, des Identitaires), dont les groupuscules sont recrutés parmi les ivrognes, dans les brasseries de Montreuil, de Saint-Denis, de Bobigny, dans le 20ème et dans le 18ème arrondissements de Paris, sont ceux qui ont participé à la grande messe islamophobe du «choc des civilisations» de toute l’extrême-droite européenne, à l’Espace Charenton, dans le 12ème arrondissement de Paris, le 18 décembre 2010. Sans oublier que ces terroristes, partenaires de la LDH et de son président, sont ceux-là même qui manifestent à Paris avec le drapeau israélien, et à qui on a fait adopter le salut nazi dans leurs rassemblements! Ce qui ne semble choquer ni Patrick Baudouin, ni Gilles Manceron, ni personne à la LDH !!!

Au sein de la LDH, ces groupes «berbéro-terroristes» sont représentés notamment par Ahmed Dahmani et Yazid Temim (un rabatteur professionnel sur YouTube), qui organisent le racolage politique et la haine contre le peuple algérien, sous-couvert des droits de «l’Homme».

Ces deux médiocres animateurs politiques travaillent en tant qu’attachés militaires pour Ali Ait Djoudi, cet architecte du terrorisme international en Algérie, dont le travail consiste à cimenter les violents courants de guerre «islamo-berbéristes» contre le peuple, et derrière la bannière coloniale, pour une Riposte-Internationale Sioniste. 

À côté de Aïssa Rahmoune, le promoteur du terrorisme ethnique au sein de la FIDH, Ahmed Dahmani et Yazid Temim, les choristes des «droits de l’Homme blanc» pour les indigènes (appartenant à la même obédience du terrorisme), sont des personnes de confiance au sein de la LDH, cette organisation dictatoriale qui gargarise ses pages de guerre coloniale, avec les slogans purgés de leur sens de «liberté» et de «démocratie».

Si elle était aussi démocratique qu’elle le prétend et attachée à la liberté d’expression, pourquoi alors a-t-elle sournoisement poussé à la dissolution d’un groupe autogéré appelé «PALISRA (Palestine-Israël)»?

En effet, des ligueuses et des ligueurs, qui estimaient que la voix de la justice, dans la guerre que mène Israël au peuple palestinien, était (et reste) étouffée, se sont alors organisés en interne au sein de cette organisation, sous l’appellation «PALISRA», afin de permettre l’émergence d’un peu de «Droit» au sein de cette organisation totalement dominée par le courant sioniste.

La direction de la LDH a poussé à la dissolution ce groupe auto-organisé, qui avait à son actif plusieurs publications diffusées sous le manteau aux sections de cette organisation.

Si la LDH était si démocratique qu’elle le prétend, et défendait vraiment la liberté d’expression (slogan commercial des politiques néocoloniales), ses militants seraient-ils obligés de vivre dans la clandestinité ?

Ne supportant pas l’existence de ce courant de militants en faveur des droits du peuple palestinien, même vivant dans la clandestinité, la direction de la LDH avait insidieusement organisé un processus de sa dissolution, tout en réactivant un groupe comateux intitulé «Maghreb-Moyen-Orient» (qui se consacre principalement à l’Algérie, et accessoirement à la Tunisie) rappelant curieusement le projet du «Grand Moyen-Orient» cher au régime d’apartheid sioniste. 

La LDH qui pratique la censure sur ses propres militants, qu’elle oblige même à vivre dans la clandestinité, voudrait nous faire croire qu’elle veut exporter la liberté d’expression jusqu’à vers les autres nations, notamment aux peuples des anciennes colonies victimes de crimes contre l’Humanité commis de la part de la France. Avant de vouloir «démocratiser» les autres nations du monde, la LDH devrait d’abord se libérer elle-même du colonialisme sioniste, dont les généraux occupent les plateaux de désinformation généralisée en France.

Non seulement la LDH ne s’est pas contenté de poursuivre Saadia et Hussein, deux militants pro- palestiniens du BDS 34 (Boycott Désinvestissement Sanction contre l’État d’Israël) en 2015, aux côtés des filiales sionistes de France (LICRA, BNVCA de l’extrémiste sioniste Samy Gozlan, et d’«Avocats sans Frontières» de Gilles-William Goldnadel), mais elle a même jeté en pâture à l’opinion publique Bénédicte Bauret, la présidente de la section LDH de Mantes-la-Ville (département des Yvelines) qui était en pleine bataille contre le maire d’extrême droite –FN- Cyril Nauth (qui lui avait intimé l’ordre, le 24 février 2015, de quitter le local avant le 31 mars 2015).

Au lieu de défendre la présidente d’une de ses sections, la direction de la LDH a rendu public un communiqué accusateur envers Bénédicte Bauret, le 8 mars 2015, journée internationale des femmes. Une terrible violence à l’égard de cette femme militante contre l’apartheid du régime des généraux de Tel-Aviv, à qui la LDH a infligé un régime digne de celui du Maréchal. 

De quoi s’agit-il ? Bénédicte Bauret dénonçait l’entreprise Pharm’Adom qui encourageait les pharmaciens à se fournir en produits pharmaceutiques génériques auprès de la firme israélienne «TEVA», afin de bénéficier d’avantages commerciaux et de voyages en Israël.

La firme israélienne TEVA, de l’industrie pharmaceutique du générique, grâce à une législation taillée sur mesure (décret n°99-486 du 11 juin 1999) par le système, permet au régime des généraux de Tel-Aviv de transférer les cotisations de la sécurité sociale française au profit du colonialisme israélien.

La firme TEVA fait d’ailleurs partie des multinationales cibles du boycott international par le mouvement BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions contre Israël).

Les officines sionistes sentant que Madame B. Bauret avait été lâchée par sa propre organisation (comme si la LDH donnait le tempo) se sont mises en branle, et la vie de cette militante avait tourné au cauchemar, comme d’ailleurs celle de toute sa famille : convocation au commissariat ; «canular téléphonique sordide» qui rappelle les méthodes de l’expert en la matière, un certain Ulcan, le franco-israélien protégé des généraux du régime génocidaire de Tel-Aviv ; menaces à son égard et à l’égard de sa famille; pressions professionnelles ; etc. 

La LDH ne demande pas directement au gouvernement français, complice du génocide en cours en Palestine occupée, l’arrêt de l’approvisionnement en armements des généraux du régime génocidaire de Tel-Aviv, alors qu’elle avait engagé le 12 juillet 2021, en compagnie d’une jolie brochette néocoloniale (Agir ensemble pour les droits humains – AEDH – ; Cairo Institute for Human Rights Studies – CIHRS – ; Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie – CFDA – ; Réseau EuroMed Droits ; Fédération Euro-Méditerranéenne contre les disparitions forcées – FEMED – ; Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) ; Ligue des droits de l’Homme – LDH – ; Riposte Internationale), un courrier au gouvernement de la France (qui éborgnait alors et mutilait les Gilets jaunes), une lettre dans laquelle elle demandait l’arrêt des ventes de grenades lacrymogènes à l’Algérie, afin que leurs agents terroristes (appelés pour l’occasion «société civile») puissent achever leur travail chaotique dans l’ancienne colonie.

Procès contre les patriotes algériens, procès contre l’armée algérienne (ANP), procès contre les militants (BDS) du Boycott Israël, désengagement du Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens, viol étouffé d’une ligueuse, financement par les philanthropes de la finance mondialisée, censure et clandestinité pour des ligueuses et ligueurs, association avec des groupes terroristes, dénonciation publique d’une Présidente de l’une de ses sections, etc.

C’est Patrick Baudouin, le président de la Ligue «contre» les Droits de l’Homme celui pour qui nous serions un «journal de caniveaux» qui va être content de nous voir enrichir le Curriculum Vitae de son entreprise de démolition du dernier espoir de justice, auquel peuvent encore un peu espérer les citoyens en France, mutilés, éborgnés, agenouillés, et dont même les retraites ont été subtilisées par les puissants, grâce aux conseils du cabinet de conseils McKinsey. 

Et en y regardant de plus près, l’agent sioniste Ferhat Mehenni, le gourou du groupe terroriste du MAK, n’avait-il pas débuté en 1980 sa carrière politique sous la bannière «berbériste» des droits de l’Homme en Algérie ? Il était aussi dans la règle du jeu de sa lumière BHL, lors du détournement de l’avion d’Air France, assurant le vol Alger-Paris le 24 décembre 1994, au moment où Xavier Driencourt, le très croyant catholique avait sacrifié son jour de Noël et «la nuit sacrée» pour assurer la permanence au Quai d’Orsay.

Envoyé par Amar Djerrad


Cela peut vous intéresser

Commentaires

Envoyer votre commentaire avec :



Fermé

Recherche
Vous aimez notre site ?
(230 K)
Derniers Articles
Articles les plus lus
Loading...
Loading...
Loading...