COP 29 : plus grand monde ne croit aux mensonges sur le CO2… on discute maintenant des grosses subventions
La COP 29 s’est tenue à Bakou (Azerbaïdjan), pays qui vit de son pétrole et en est très fier… Cette COP ne s’accompagnera d’aucun record de projection de gaz carbonique dans l’air pour le transport des participants : ils sont peu nombreux et l’absence de chefs d’État est remarquable…
«La planète brûle» répété par Guterres, le secrétaire général de l’ONU, a fait long feu. Les slogans de l’ONU deviennent de plus en plus excessifs et l’apocalypse thermique fait chaque année moins d’incendies de forêt. Et, surtout, le fait que les récoltes soient chaque année, en moyenne, meilleures s’accorde mal avec une menace thermique. On va jusqu’à inventer des causes climatiques à des catastrophes naturelles qui se répètent depuis des siècles…
Quand on sait que les météorologues chinois ou japonais n’ont mesuré aucune élévation de la température depuis qu’ils ont des thermomètres, cette réalité trouble les alarmistes. Pire : les USA ont refroidi…
La COP 29 est réputée devoir organiser la distribution des impôts (ou des emprunts à la Chine) des pauvres des pays riches aux riches dictateurs des pays pauvres. On peut comprendre certaines hésitations… Ajoutons que «la grande menace pour le climat est l’élection de Donald Trump» : il ne croit pas au rôle prêté au CO2 par les croyants de l’ONU (IPCC).
Qui dit vrai ? En science, le consensus a le niveau zéro pour démontrer une thèse. Mieux : la plupart des découvertes ont ruiné un consensus et le fait est que l’ONU (IPCC) reconnaît à l’occasion n’avoir aucune preuve d’un effet thermique du gain actuel en CO2… ONU qui a évidemment la charge de prouver sa thèse !
Pire : en 2022 deux physiciens allemands, Harde et Schnell, ont mesuré en laboratoire l’effet thermique du CO2 : il est réel mais minime et si les 8 milliards d’humains influencent le climat, ce n’est pas par le CO2 industriel.
Lors de son premier mandat, le président Donald Trump a demandé au professeur William Happer d’organiser une conférence où les «accusateurs» et les «défenseurs» du CO2 présenteraient pour la première fois leurs mesures et, ensuite, critiqueraient les thèses adverses présentées. Devant l’urgence de la situation, les «accusateurs» se sont désistés. Et, quelques années plus tard, le futur roi Charles III d’Angleterre a déclaré que nous avions 8 mois pour éviter le désastre thermique lié au CO2. Un homme aussi important pourrait-il se tromper ??
Rien de spécial n’a été observé depuis. Et nous savons depuis des millénaires que le climat peut être féroce, que l’homme ne peut le commander, qu’il doit s’y adapter pour survivre…
La planète a continué à produire chaque année plus de nourriture pour faire face à l’explosion démographique – merci aux chercheurs ! – et le temps reste très favorable aux récoltes et le CO2 augmente…
Après 36 années de hurlements de terreur «thermique» qui ont succédé aux années de terreur devant la «guerre froide» et la menace nucléaire, il semble que nos maîtres devront trouver une autre menace pour nous exploiter.
Mon texte «Des preuves de la culpabilité du CO2»vous permettra de mesurer l’impuissance des «accusateurs» du CO2, Jean-Marc Jancovici en tête, mais ceux qui s’enrichissent grâce à cette escroquerie n’ont aucune envie de perdre leur emploi, leurs revenus… Espérons qu’à force de crier au feu, l’ONU (IPCC) finira par fatiguer ses victimes…
- Source : Les 7 du Québec (Canada)