Le FEM demande aux dirigeants mondiaux de faire progresser l’agenda de la « grande réinitialisation »

Le Forum économique mondial (FEM) a lancé une alerte à ses membres mondialistes et a exigé que les dirigeants mondiaux commencent à faire avancer le déploiement du programme de « grande remise à zéro » de l’organisation non élue.

Le FEM a adressé une sommation urgente aux dirigeants mondiaux afin qu’ils élaborent des stratégies pour accélérer son programme mondialiste.

Le groupe de puissants influenceurs mondiaux, dirigé par des entreprises, se réunira dans le courant de l’année pour « accélérer la mise en œuvre » des plans du fondateur et président du FEM, Klaus Schwab.

Ce programme implique la création d’une société marxiste dans laquelle les gouvernements en place et les élites mondialistes contrôleront tous les aspects de la vie publique.

L’accès à la nourriture et à d’autres produits de base, ainsi qu’au logement et aux transports, serait contrôlé par des bureaucrates et des élites corporatistes.

Après la « grande remise à zéro », le public ne « possédera rien » et tout le monde travaillera pour le « bien commun ».

Le FEM et les Nations unies ont souligné que, bien que la Grande Réinitialisation, également connue sous le nom d' »Agenda 2030″, soit presque à mi-chemin, une réunion est « urgemment nécessaire » pour accélérer sa mise en œuvre.

L’organisation a déploré que les progrès aient été entravés ces dernières années par « des revers imprévus dus à la pandémie de COVID-19, aux impacts négatifs majeurs du changement climatique et à l’augmentation du coût des denrées alimentaires et des carburants partout en raison du conflit en Ukraine ».

Toutefois, la pandémie a été considérée par la suite comme un banc d’essai pour les restrictions futures, tandis que le « changement climatique » est un outil permettant d’atteindre cet objectif par le biais de cibles « net zéro ».

La frustration engendrée par ces retards a conduit à la convocation d’une réunion afin d’élaborer une stratégie pour accélérer ce que l’organisation basée à Genève a présenté comme « sans doute la plus grande entreprise humaine jamais réalisée pour créer des sociétés pacifiques, justes, égales et durables ».

Le FEM encourage également activement la « participation civique » pour faire avancer ses plans de Grande Réinitialisation.

Cela permettra de faire avancer les éléments marxistes du plan en ciblant « l’inégalité économique, les déséquilibres entre les sexes, la corruption et la dégradation de l’environnement ».

Le fondateur et président exécutif du FEM, Klaus Schwab, a fait référence à sa « grande réinitialisation du capitalisme » comme un moyen d’inaugurer la « quatrième révolution industrielle » du monde ».

Cette soi-disant « révolution » apportera une nouvelle ère d’industries basées sur l’intelligence artificielle qui ont peu d’utilité pour le grand public.

L’organisation a révélé sa finalité souhaitée en 2018 avec plusieurs « prédictions » pour une future utopie communiste.

Dans la vision du FEM pour l’humanité, « vous ne posséderez rien et serez heureux… tout ce que vous voulez, vous le louerez ».

« La viande sera un plaisir particulier ». 

In 2018 WEF made predictions for 2030,

"You'll own nothing
And be happy"

"Meat will be a special treat"

Today WEF pressures farmers to do that,

The WEF created this... pic.twitter.com/SuXBkrr7nF

— Josephine Cashman (@Josieamycashman) July 15, 2022

Le père de Schwab, dirigeant du FEM, aurait travaillé pour « l’appareil du parti nazi ».

En 1971, il a fondé son armée d’élite marxiste composée des dirigeants les plus puissants du monde dans les domaines des affaires, de l’université, de la politique et des arts.

Le groupe est entouré de mystère – l’accès à la presse est strictement limité – et semble n’avoir de comptes à rendre à aucune personne ou entité autre que lui-même.

Une publication du Rapport mondial sur le développement durable 2023 rédigée par le Département des affaires économiques et sociales de l’ONU indique que « des solutions susceptibles d’accélérer les progrès sur les [Objectifs de développement durable des Nations unies (ODD)] seront nécessaires de toute urgence ».

Les 17 ODD de l’Agenda 2030 ont été définis lors du sommet Rio+20 de 2022 dans un document intitulé : « L’avenir que nous voulons« .

Les ODD ont été créés en 2015 et « approuvés par 191 gouvernements d’États membres de l’ONU, mais pas nécessairement par leurs électeurs ».

En utilisant un terme qui peut sembler étrangement familier à beaucoup, le FEM a déclaré que dans sa « quête pour mieux reconstruire, la société civile propose de nouvelles façons d’atteindre les ODD et de créer un meilleur monde post-pandémique ».

Ce monde est envisagé comme un monde dans lequel chacun travaillera pour le « bien commun » et renoncera volontairement aux libertés et aux opportunités du capitalisme qui offrent l’indépendance financière et la liberté.

Traduction par Aube Digitale