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Mercredi, 09 Oct. 2024

Vincent Mc Doom : « La sexualité des enfants doit rester privée. Pas de place pour les drag-queens à l’école »

Auteur : Le Média en 4-4-2 | Editeur : Walt | Mardi, 15 Août 2023 - 17h06

Dans une interview accordée au site « Le Peuple », Vincent Mc Doom s’exprime avec fermeté et dénonce la sexualisation précoce des enfants. Pour lui, la sexualité des enfants doit rester leur domaine privé et l’intervention de drag-queens dans les écoles est inappropriée. L’entretien révèle son point de vue sur les conséquences de cette exposition précoce à des concepts liés à la sexualité et son opinion sur les changements culturels qui touchent la jeunesse d’aujourd’hui.

Vincent Mc Doom, nous sommes entrés en contact après que vous avez relayé un de nos articles concernant les lectures de drag-queens destinées aux enfants. Pourquoi vous y opposez-vous ?

La sexualité d’un enfant lui appartient et la place d’un travesti n’est pas dans une école. Si on montre les drag-queens dans les classes, pourquoi ne pas emmener les enfants directement dans les cabarets et boîtes de nuit ? Désormais, un petit débute son aventure sexuelle à l’âge de 5-6 ans car on lui demande de faire un choix. Tout le processus est dérangé, notamment la période de 13 à 18 ans, l’adolescence, où l’on se cherche, expérimente et découvre ses attirances tout seul.

L’enfant devient adulte, sexuellement parlant, trop tôt. On impose des livres dans les écoles qui illustrent des rapprochements entre garçons ou entre filles ; ce sont des choses qui me choquent. Moi à 5-6 ans je jouais avec des poupées et des voitures. Si j’avais un enfant, je ne l’enverrais pas à l’école pour apprendre la sexualité.

Êtes-vous conscient que cela puisse surprendre venant de vous ?

Je suis bien placé pour parler de ces sujets parce qu’on m’a souvent vu comme un transsexuel. Pourtant, je me suis toujours considéré comme un homme. Je n’ai jamais imposé ma sexualité à personne. Mon genre est masculin et la façon dont je l’emballe ne concerne que moi. Mon emballage n’avait aucun message à véhiculer. Les gens m’ont relégué dans un groupe auquel j’ignorais même appartenir. Depuis quelques années, une communauté a été formée, qui est censée englober beaucoup d’autres communautés qui ne s’entendent pas entre elles. Je parle bien sûr des LGBT+, que je préfère appeler la communauté alphabet.

Lire la suite de cette interview : https://partager.io/publication/lepeuple/post/2427


- Source : Le Média en 4-4-2

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