Essais cliniques, autorisation de mise sur le marché, et biostatistique avec Christine Cotton (Vidéo)
Pierre Chaillot, notre statisticien de Décoder l’Eco, reçoit deux personnes qui ont travaillé sur les documents officiels des organismes de santé.
Ces deux invités pour cette présentation sont :
- Christine Cotton, bio statisticienne de métier, elle a travaillé pour l’industrie pharmaceutique pendant 23 ans. Plus de 500 essais cliniques de thèmes différents pour de gros laboratoires ont été étudiés, elle a aussi mené des enquêtes post AMM (post autorisation de mise sur le marché) et a eu sa propre entreprise dans le domaine de la biostatistique. Elle est donc experte sur les bonnes pratiques cliniques lors d’élaboration d’essais qui englobent tout un tas de règles à respecter.
- Pierre qui a travaillé dans l’intelligence économique et le traitement de gros volume de données informatique et est aussi parieur professionnel. Il s’est alors intéressé sur les essais Pfizer motivé par les travaux d’un ami australien sur la question.
Tous deux reviennent sur ces tests effectués avant le déploiement mondial de l’injection Covid, tests (Pfizer international) principalement réalisés en Argentine et USA. Ces essais préalables à la mise sur le marché mettraient en relief une volonté de diminuer le nombre de tests positifs PCR en cas de symptômes (légers comme rhume, toux etc) plutôt que de protéger les personnes contre le virus concerné.
« Cet essai clinique comporte de graves manquements méthodologiques invalidant les résultats. » Christine Cotton
En effet, il y a :
- Un manquement au protocole
- Des procédures non respectées
- Une suppression de personnes de l’essai à ne pas confondre avec l’exclusion de personnes (cette dernière définition pouvant faire partie d’un protocole d’essai, femme qui tombe enceinte par exemple)
La totalité de l’essai est à revoir, le cadre réglementaire n’étant pas respecté. Dès le départ, le processus de l’essai est révélé comme frauduleux. A ce titre, Christine Cotton demande un audit depuis Janvier 2022 (nous sommes en Juin 2023…), audit porté sur les documents officiels étudiés.
Capture vidéo : « Pfizer : scandaleuses révélations sur l’essai clinique »
Les différentes phases sont détaillées et expliquées, nous retrouvons le nombres de volontaires, la tolérance, les placebos et les détections d’effets indésirables.
- Le nombre de sujets ayant participé est très restreint, manifestement 195 volontaires
- La phase 2 est non développée
- La phase 3 est réalisée avec des laboratoires locaux et centralisés.
Normalement, on attend la fin d’une phase pour passer à la suivante, ce qui n’est pas le cas observé ici. Depuis le début, dès les premiers papiers sortis et accessibles, on a bien l’information comme quoi rien n’est étudié sur l’efficacité de la transmission…
La FDA (contrôle des médicaments, USA) a toléré des essais sur 3 mois maximum dès Octobre 2020 dont 50% des patients avaient moins de 2 mois d’essais surveillés ! Les 2 groupes, placebos et sujets ayant reçu le vaccin, n’ont pas non plus été suivi de la même façon avec manifestement une orientation bénéfique vers le vaccin… Ensuite a été vacciné le groupe placebo… ce qui supprime ni plus ni moins le groupe témoin ! Il y a aussi un effet « Bait and Switch » qui implique que le produit mis sur le marché n’est pas celui qui a été testé sur l’essentiel des sujets ! Les gens qui ont été vaccinés n’ont pas reçu les produits essayés ! C’est la raison pour laquelle l’EMA (agence européenne du médicament) avait tardé a donné son autorisation en faisant cette remarque de changement de fabrication de produit.
L’Eurodéputée Michel Rivasi s’attaque aussi sur ce sujet (en + de l’affaire des SMS cachés entre Pfizer et Ursula VDL).
- Il y a aussi des anomalies sur la répartition des participants entre les groupe « aveugle » et « non aveugle », certaines personnes liées à l’étude n’étant pas en aveugle.
- Des effets secondaires graves sont aussi non enregistrés ou sinon requalifiés comme avec un cas de péricardite requalifiée par le labo de « soupçon de covid ».
- Par recoupement des données, nous voyons qu’il y a eu potentiellement un problème avéré avec lot de vaccins injectés, les personnes identifiées victimes de ce lot seraient supprimées du test : suppression du problème ?
- Il y a le cas de 301 sujets manquants normalement identifiées par le data-management.
Capture vidéo : « Pfizer : scandaleuses révélations sur l’essai clinique »
- Source : Le Média en 4-4-2