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Mardi, 07 Oct. 2025

Macron a même réussi à tuer le gouvernement

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Mardi, 07 Oct. 2025 - 13h30

C’est la tragi-comédie de la Ve république crevarde. Macron, le dernier-né du Système, achève la Bête de l’événement, avant d’avoir pu lancer sa guerre contre la Russie et d’avoir pu chiper la place de l’ordure Leyen.

Décidément, ce dernier président a tout foiré, même sa sortie, le cul collé au fauteuil moisi, devant les carreaux cassés à cause des pavés lancés d’en bas. Les Français ne vont pas lui jeter des tomates, parce qu’elles ont pris cher, depuis 2017 et les 1 000 milliards de dette en plus – merci à la « grosse merde » Le Maire (dixit Rachida), le valet de l’escroc –, mais des quolibets, ce qui est somme toute gentil.

Le Président, enfermé dans son bunker de Paris-Berlin, refuse de croire que les Russes sont à trente mètres, et il convoque le gros Larcher, son dernier général, pour bouter l’opposition – soit 90 % des Français – hors de sa vue. Le Mozart de la finance internationale est seul, avec son plan génial d’avoir vendu le pays aux Américains.

Les poches pleines d’argent mal gagné, où va-t-il s’enfuir ? En Autriche, avec Brigitte-Antoinette, ou dans son palais marocain, avec ses petits amis ? Au fond, on s’en fout, il s’en sortira bien, c’est tout, sans problèmes de fins de mois, comme la majorité de ses concitoyens, même s’il se pensait au-dessus. Des sous-concitoyens, alors…

La France mérite un autre chef d’État, d’autres partis car les précédents n’ont pas su le bouter hors du palais, et surtout une autre élite, moins corrompue, moins voleuse, moins pédo, plus saine, quoi. Plus honnête, pas forcément, parce qu’il faut être un peu margoulin dans la vie, surtout au pouvoir, ne soyons pas naïfs. Mais moins dégueulasse, ça c’est sûr.

Et que la police tape sur les bonne personnes, pas les mauvaises, ce sera déjà une bonne avancée sociale. La France vomit son Macron et tout ce qu’il touche, qui se transforme en merde. L’or, lui, est parti, comme les 430 tonnes (mieux que le braquage du train postal !) sous Sarkozy, promis aux verrous. Mais, dame, qu’est-ce que ça a été difficile de condamner un délinquant, tout ça parce qu’il a été président, c’est-à-dire au-dessus des lois !

Il a fallu dix ans, des tonnes de documents, un acharnement de tous les instants, des morts, aussi, des suicides, meurtres ou accidents, on s’y perd, mais une chose est sûre, le destin de Sarkozy doit résonner aux oreilles de Macron, sous sa moumoute.

Le futur n’est pas écrit, les responsables du chaos actuel, même si ça prend du temps, ne devront pas rendre des comptes, non : ils rendront des comptes un jour. Qu’on en finisse avec cette mauvaise comédie qui a coûté si cher aux Français, une pièce mal écrite, par des escrocs en écriture, qui voulaient juste prendre le pognon des spectateurs et improviser du théâtre.

Malheur au pays dont le président est un comédien, qui plus est, un enfant. Ce type a transformé le pays en cirque, parfois en HP, et il faudra du temps pour que les électeurs refassent confiance à un homme po. Et à un journaliste, n’oublions pas cette race de racailles avec leur mensonges dangereux qui ont provoqué une flambée d’AVC et de cancers.

Tout un pan du Système est en train de disparaître sous une nouvelle plaque tectonique. Ça risque de bouger, on ne vous dit que ça.

Pour ceux qui ont envie de rigoler

***

France : Le gouvernement s’évapore avant le café du matin

Jacques Frantz dresse le portrait d’une France engluée dans le marasme institutionnel après la démission éclair du gouvernement Lecornu. Entre un président tenté par les pleins pouvoirs et une classe politique en décomposition, il décrit un pays en dérive, las de ses élites et désenchanté de la démocratie.

RT France

*

par Jacques Frantz

Le Premier ministre Sébastien Lecornu a annoncé la démission de son gouvernement. Tout d’un coup, la France se retrouve ramenée dans les années cinquante où les gouvernements duraient deux jours. Il faut dire que la nomination du nouveau gouvernement n’avait rien de véritablement «nouveau». De fait, cela ne donnait pas l’impression d’un respect de la volonté populaire.

La réalité est que les institutions sont à bout de souffle. Ces gouvernants n’arrivent plus à gouverner. Les institutions n’arrivent plus à fonctionner. Le grand corps malade qu’est la France ne répond plus à aucun traitement. Bruno Le Maire (celui qui a mis l’économie russe à genoux) n’aura même pas eu le temps de faire ses valises pour revenir de Suisse où il faisait du gras.

Bien malin celui qui est en mesure de dire à l’heure où j’écris ce qui va se passer dans les prochaines heures. Pour essayer de comprendre, il convient de faire le point sur les informations que l’on a pas.

Entre 20 heures et 09h55 se sont produits des événements encore mal connus du grand public. Même les journalistes ont été pris de cours. À l’Élysée on a pas hésité une seconde à accepter la démission du gouvernement, j’ai envie de dire, du «cabinet», ça fait plus IVe République.

Et si c’était Emmanuel Macron lui-même qui avait sollicité la démission du Premier ministre ? Et si le président avait l’intention d’invoquer l’article 16 de la Constitution qui lui donne les pleins pouvoirs ? Certains disent qu’il en rêve, ce qui n’est pas étonnant pour quelqu’un qui s’est toujours vu en dictateur.

La journée promet d’être riche en rebondissements. En attendant, ceux qui détiennent les leviers du pouvoir sont plus que jamais isolés et déconnectés de la misère de la population.

source : RT France

***

Moins de 24h : le plan Chaos de Macron ? Gouvernement express ou calcul ?

par Béatrice Rosen

Moins de 24h : un record historique. Le dernier gouvernement d’Emmanuel Macron s’est effondré en moins d’un jour, créant un séisme politique inédit.

Erreur de casting ou chaos organisé ?

Dans cette analyse, on décortique les choix les plus surprenants, les profils les plus controversés, et les enjeux cachés : article 16, instabilité politique, rôle de l’Union européenne et recomposition du pouvoir.

Pourquoi Bruno Le Maire se retrouvait-t-il aux Armées ? Pourquoi Elisabeth Borne revient-elle à l’Éducation ?

Et surtout… que cherche vraiment Emmanuel Macron à travers ce chaos ?

Gouvernement express, stratégie du désordre, transfert de souveraineté… on analyse tout pour comprendre ce qui se joue derrière ce record politique.

source : Béatrice Rosen

 


- Source : E&R

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